Redistribution Intérêt Et Limites

PME grâce à la loi PACTE Mission 2 : Une intervention publique qui modifie l’activité de l’entreprise Rappel des Fonctions d’un État : « Un État, lorsqu’il est un État-providence, dispose de trois fonctions : régulation, allocation, et redistribution. » https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tat-providence- Fonction d’allocation : L'affectation ou l'allocation des ressources, dans le cas de production comportant des rendements croissants, l'État doit prendre en charge cette production et appliquer

c CHAPITRE 6 : RISQUES SOCIAUX, INEGALITES ET REDISTRIBUTION I – La répartition primaire des revenus : PIB = somme des v.a (=> produite par les E. présentes sur le territoire national) Répartition primaire : c'est la répartition des revenus des différents agents éco en fonction de leurs contributions à l'activité productive. Mes revenus d'activités rémunèrent une participation direct à la production. Ils sont constitués de : revenus mixtes : rémnèrent à la fois un apport en capital

nécessité et nécessitent toujours l’intervention de l’Etat dans l’économie. La doctrine interventionniste de l’Etat dans l’économie. Avec la crise de 1929, le modèle libéral basé sur le laisser-faire devenait caduc parce qu’il venait d’étaler ses limites notamment une crise de surproduction qui a fait plonger les marchés boursiers surtout WallStreet .L’autorégulation du marché n’a pas eu lieu car l’offre ne créait pas sa propre demande comme le prétendaient les classiques en l’occurrence Jean-

résidents > Les opérations de répartition Répartition primaire = partage initial de la valeur ajoutée. VA = Rémunérations des salariés + Impôts liés à la production + EBE + Revenus mixtes. EBE = intérêts + dividendes + S brute + impôts sur les sociétés et le patrimoine > La redistribution. modifie la répartition primaire grâce aux prélèvements obligatoires et aux revenus de transferts. => Prélèvements obligatoires (impôts, taxes, cotisations sociales…) = 45% du PIB : ressources pr l’Etat

centrales : En Europe la Banque Centrale Européenne : Jean-Claude Trichet / Taux directeur 1,5% (pour limiter l’inflation, pas plus de 2%/an) Depuis2011 la BCE est dirigée par Mario Draghi Aux États-Unis la Federal Reserve : Ben Bernanke / Taux directeur ~0% Les banques ont titrisées ces subprimes en en faisant des obligations : ces titres ont ensuite été rachetés sur les marchés européens (interets des ménages  banque  investisseurs.) les prêts sont ainsi remboursés et la banque prête à nouveau

collectifs non marchands ( Ex : tramway)Assurer la redistribution ( impôts) Impôts et taxes Dépenses publiques de fonctionnement (payer les salariés) etd’infrastructure ( financer les lignes de tramway)Prestations sociales Sociétés financières BanquesInstitutions financières Assurance Collecter l’épargne et financer l’éco via le crédit Epargne collectéeIntérêts Produits des services = CA Primes d’assurance Dépenses : Crédits accordés Intérêts Dépenses de fonctionnement indemnisations Reste

produites qui est posée. Sur le plan du mode de vie, des relations sociales, du bien être général, il n’est pas indifférent que cette production supplémentaire soit accaparée par quelques uns ou repartis sur l’ensemble de la population. Devant ces limites la PNUD a proposé deux autres indicateurs : IDH et IPH. L’IDH est un indicateur composite (compris entre 0 et 1) ayant pour objectif de refléter trois aspects du développement économique et social d’un pays : espérance de vie a la naissance, degrés

au 18eme auj « la nouvelle pauvreté »  même défi. Kennedy: « La marée montante élève tous les bateaux » (trickle down hypothesis) Peu importe les inégalités puisque tout le monde profite de l’enrichissement de quelque uns : ruissèlement redistribution entrave efficacité de cette dynamique Réalité: Surtout « ruissellement du risque » Fitoussi : riches n’en prennent plus, les pauvres y sont de plus en plus exposés « Le concept d’égalité, lorsqu’il n’est point précisé, est vide de substance» J

politiques économiques: Durant les années trente 1930 + Age d’or de la politique keynésienne, le débat portait sur : - les moyens de stabilisation de l’économie. - le rôle du secteur public en matière d’allocation des ressources - Les instruments de redistribution nécessaires pour soutenir la consommation et l’investissement. - La gestion du chômage était au cœur de cette politique économique. - cette politique trouve sa légitimité dans le défaut de coordination par les prix. Durant les années 1980 et 1990

décennies en arrière. Abondance au milieu de la pauvreté est le défi à relever dans le monde moderne. Impact de la pauvreté ne peut pas se contenter seulement dans la famine, mais les gens pauvres, en dehors de la famine, la souffrance des revenus limités qui conduit à l'inaccessibilité d'une bonne éducation il les désactive à des carrières stimulantes qui exige plusieurs années d'éducation permanente. Absence de résultats des aliments nutritifs à plus de moralité des enfants parmi les sections défavorisées