Réfutations sophistiques

: discours, interlocuteur, argumentation, thèse, argument, rhétorique, lexique appréciatif et évaluatif, adhésion. Les arguments de Tartuffe sont ceux d’un homme voluptueux essayant d’utiliser la rhétorique du discours religieux et du discours sophistique : sa déclaration obéit à une véritable stratégie argumentative destinée à convaincre Elmire. Sa déclaration adopte la forme d’un raisonnement formé de trois propositions, le syllogisme : selon Tartuffe, le dévot, qui est un homme, a ses faiblesses

: discours, interlocuteur, argumentation, thèse, argument, rhétorique, lexique appréciatif et évaluatif, adhésion. Les arguments de Tartuffe sont ceux d’un homme voluptueux essayant d’utiliser la rhétorique du discours religieux et du discours sophistique : sa déclaration obéit à une véritable stratégie argumentative destinée à convaincre Elmire. Sa déclaration adopte la forme d’un raisonnement formé de trois propositions, le syllogisme : selon Tartuffe, le dévot, qui est un homme, a ses faiblesses

rationnalité ( incompatibilité. Elle donne le pouvoir à l’Assemblée des citoyens qui peuvent tous argumenter pour convaincre la cité de prendre telle ou telle décision. = essentiellement le pouvoir de la parole. La démocratie : accompagne donc la sophistique, la technique de l’argumentation (qui ne soucie jamais de vérité mais de persuasion et d’efficacité). La démocratie est une perversion de la rationnalité qui inversent l’ordre du réel des choses : elles soumettent la vérité du discours au désirs

y ait un lien sujet/attribut pour que le raisonnement soit vrai. En Grèce et au Moyen Age, il y avait des concours de démonstration. Le but d’Aristote est de dénoncer les fausses démonstrations. Extrait du 5ème livre de l’Organon : " Les réfutations Sophistiques ". Thrasymarque de Chalcédoine : « De même que dans le cas des comptes, ceux qui ne sont pas habiles à manipuler les cailloux sont dupés par ceux qui savent s’en servir. De même pour les discours, ceux qui n’ont aucune expérience de la force

une sorte de dédain et sans aucun égard pour ces prétentions si turbulentes et par là même si légitimes en apparence (qui ne se laissent supprimer par aucun commandement). Mais de là résulte une dialectique naturelle, c'est-à-dire un penchant à sophistiquer contre ces règles strictes du devoir, à mettre en doute leur validité, tout au moins leur pureté et leur rigueur, et à les accommoder davantage, dès que cela se peut, à nos désirs et à nos inclinations, c'est-à-dire à les corrompre dans leur fond

sorte de dédain et sans aucun égard pour ces prétentions si turbulentes et par là même si légitimes en apparence (qui ne se laissent supprimer par aucun commandement). Mais de là résulte une dialectique naturelle, c’est-à-dire un penchant à sophistiquer contre ces règles strictes du devoir, à mettre en doute leur validité, tout au moins leur pureté et leur rigueur, et à les accommoder davantage, dès que cela se peut, à nos désirs et à nos inclinations, c’est-à-dire à les corrompre dans leur

tantôt le pour, tantôt le contre d’une opinion et ce, en fonction des besoins de la cause. Dimension immorale, cf. la fin justifie les moyens. Sans se livrer à des comparaisons spécieuses parce qu’anhistoriques, ils procèdent comme des avocats, la sophistique serait comme une forme d’art judiciaire sauf qu’ici ce n’est pas dirigé vers le juste fonctionnement d’un des trois pouvoirs qui forment nos démocraties. De plus, les sophistes occupent des postes de pouvoir dans la cité. Ils sont en prise directe

cléments ................24 Dieu demande d'être tolérant et de pardonner..........................................25 Conclusion .................................................................................................26 PREMIERE PARTIE LA REFUTATION DU DARWINISME INTRODUCTION: Pourquoi la théorie de l'évolution?.............................29 CHAPITRE 1: S'affranchir des préjugés ...................................................32 Un matérialisme aveugle ................................

cette structure puisse servir tous les desseins de la providence, que si le grand Créateur était obligé à tout moment d'ajuster les parties du monde et d'animer par son souffle tous les rouages de cette prodigieuse machine. Mais si nous voulions une réfutation plus philosophique de cette théorie, les deux réflexions suivantes pourraient peut-être suffire. Premièrement, il me semble que cette théorie de l'énergie et de l'opération universelles de l’Être Suprême est trop audacieuse pour emporter jamais

n'est point la raison. Très souvent la persuasion sera considérée comme une transposition injustifiée de la démonstration : selon Dumas (7), dans la persuasion on « se paie de raisons affectives et personnelles », la persuasion étant souvent « sophistique ». Mais, il ne précise pas en quoi cette preuve affective différerait techniquement d'une preuve objective. » (4) Richard D.D. Whately, Elements of Rhetoric, Part II : Of Persuasion, chap. II : of persuasion chap. I, § 1, p. 115. Cf. Charles L.