Regard

d’Amélie Nothomb publié en 2000. Les thèmes principaux abordés sont : - le point de vue et le regard - l’eau - le changement de personne il/lui ==> je/moi - la peur (des carpes) - la divinité Le roman raconte les 3 premières années de sa vie. Les deux premières, elle se considèrent comme un être totalement végétatif : elle ne bouge pas, ne crie pas et n’a pas de regard : c’est le tube. La narration est alors à la 3ème personne (le tube, Dieu, il, ...) A l’âge de deux

communiquer et de partager Trois piliers de communication, regard, parole et toucher servent à humaniser les soins; Le regard ; Les qualités de ces regards sont l'amour, la tendresse, la fierté, la protection, l'appartenance, la reconnaissance... Sur le plan de la "technique", le regard répond à 3 critères, il est axial, horizontal, et surtout il dure dans le temps, il est long. On voit bien que ces qualités vont accompagner le regard humain dans la construction des relations tout au long de

Elle éprouve enfin la «joie cuisante» de la vengeance qu'elle se promettait alors. Cela explique que l'évocation de son regard sur la mort des deux complices encadre le paragraphe qui rend compte de leur suicide. On relève dans ces deux paragraphes un champ lexical du regard : «yeux», dans la première et la dernière phrase, «contemplant», «regards», qui trouve son écho dans le regard de pardon échangé entre Thérèse et Laurent. Mais les yeux de Mme Raquin sont, dans le premier paragraphe, «fixes et aigus»

description, et les introduit par le regard : " je la vois, je l’atteins, je lui parle… " Le thème du regard occupe alors une place importante dans la scène de la première rencontre et c’est ce sujet-là que nous traiterons sous ses différents aspects. L’importance du regard est d’abord mise en valeur par le statut omniscient du narrateur puisque sa focalisation nulle permet une description générale de tous les évènements : ceux inconnus par Julien (le regard caché de Mme de Rênal), et la possibilité

temps nous allons voir ce qui fait de cette scène une scène grotesquedans un second temps nous verrons une interprétation sur 3 regards et pour finir nous verrons la vision naturaliste de l'homme. PLAN : Une scène grotesqueA. Une scène au cadre narratif B. L'effet produit chez le lecteur Les 3 regards A. Regards des médecins B. Le Regard de GervaiseC. Le Regard de l'interne Une nouvelle vision : le naturalismeA. Homme philosophiqueB. Roman : « l'odeur du peuple »C. Symbolisme

Lolo. Lolo, c’était comme cela de Louis m’appelé lorsqu’il n’était pas bien. Lily monte dans la voiture de sa mère qui est garé juste devant chez moi. Je salue de la main cette dernière qui me fait un geste amical de la main également. Lily me regarde en me faisant un sourire. Je ferme la porte et je me retourne vers mon petit frère qui venait de prononcer mon prénom. Thibault : C’est quand que Louis arrive ? On l’attend depuis longtemps pour qu’il nous chante une chanson, tu sais comme à la

a aucune participation affective, les autres sont considérés comme des « pantins ridicules ».) On n’est pas naturellement solipsistes, avant tout dialogue, qu’est-ce qui me confirme que l’autre n’est pas objet ? C’est son regard. B) Le regard d’autrui : Le thème du regard a longtemps été étudié par Sartre dans L’être et le néant. (Cf : Huis clos : « L’enfer, c’est les autres »). Le rapport à autrui est par essence conflictuel. Ce qui peut confirmer qu’autrui n’est pas un objet c’est qu’on est

préférée dans sa chambre. Quand elle a regardé dans sa chambre, elle a vu tous ses les vêtements sales dispersés par terre avec tous les jouets. Elle se disait doucement à elle-même, « Il sera difficile de trouver ma chaussure dans cette chambre en désordre ! » Elle a commencé à chercher sa chaussure préférée sous son lit. Tout ce que Sally Sue trouvait était des boules de poussière et quelques vieilles chaussettes qui sentaient mal. Elle a continué à regarder dans son placard et a trouvé ses vêtements

|qui joue nue le rôle de |transposition. Une jeune femme se poudre |la femme à sa toilette (Chardin, | | |Vénus, insistance sur |devant un miroir, mais peu vêtue et en |Watteau). Pas de regard masculin: moins | | |cette nudité plus que sur|présence d'un homme habillé plus âgé: une |explicite  que le tableau de Manet. | | |son talent:  représente |fille entretenue, réalité

Estragon- Pourquoi ? Vladimir- On attend Godot. (Silence.) Estragon (se grattant la tête.)- Qui ça ? Vladimir- Quoi ? Estragon- Qui attendons nous ? Vladimir-(Un temps.)... Godot. Estragon- C'est vrai. (Silence) Vladimir prend son chapeau, regarde à l'intérieur, passe le doigt dans un trou. Estragon s'endort. Vladimir remue son doigt et se met à rire bruyamment. Estragon se réveille en sursaut. Estragon- Je dormais. (Avec reproche.) Pourquoi tu ne me laisses jamais dormir ? Je rêvais de