Régime concordataire français

la Charte Charte : transition de la monarchie absolue à la monarchie constitutionnelle. Elle est accordée et non imposée par le roi. Louis XVIII est assez fin pour comprendre qu’on ne peut pas revenir aux valeurs et aux institutions de l’Ancien Régime. Il prend l’administration de Napoléon telle qu’elle est. Dans le texte il y a une contradiction très forte entre le préambule assez réactionnaire où il affirme sa légitimité divine et les libertés publiques accordées : égalité, liberté de presse

est apparu au XIXe siècle. « Laïque » s'oppose donc d'abord à « clérical ». Par extension , il peut désigner tout individu qui n'est pas clerc ; il peut aussi désigner l'indépendance par rapport à toute autorité religieuse. Pour les Républicains français de la troisième République, le cléricalisme renvoie, non à la religion, mais à la prétention des clercs à régir la vie publique d'un État au nom de Dieu ou de croyances religieuses. En cela, ils ignoraient le fait que l’Église n'est pas constituée

donne les fondements de ce qu’on appelle les principes républicains. Nous allons voir comment se mettent en place les grands principes républicains, car il y a une influence sur les principes républicains, sur la manière dont se pratique le droit. Tt régime repose sur un postulat, et la République repose sur un postulat. Il y a des difficultés sur la notion même de République, ainsi que des ambiguïtés sur cette notion. La question de la République n’est dc pas aussi simple. Il existe une grande différence

matière n’est ps autonome, qu’elle se nourrit des autres. Mais cette absence d’autonomie est de moins en vraie car des indices dénotent une atomisation de la matière, autrement dit qd un drt sera qualifié de liberté il sera de plus en plus soumis à un régime juridique spécifique. Section 1 : La définition des concepts. 3 notions st svt utilisées indistinctement alors même qu’elles doivent ê distinguées : * Les drt de l’homme, * Les libertés publiques, * Les droits et libertés fondamentaux

clairement, que les mêmes raisons qui ont poussé Henri IV à se convertir au catholicisme, devraient, bien au contraire, pousser tout honnête homme, et surtout tout politique, à quitter cette Eglise. On voit ainsi tout de suite le paradoxe français de cette religion civile: elle refuse l'intolérance mais, pour être tolérante, elle s'oppose à une religion qui, à l'époque, avait seule la légitimité religieuse. Il y a là un aspect conflictuel qui va se concrétiser dès la Révolution française.

Party cherche à faire du politique l'instrument de sauvegarde des valeurs religieuses Jeanne d'Arc → Contribuer à contester la pouvoir politique : fonction idéologique. Rôle des Eglises dans la mise en œuvre de stratégies de remise en cause des régimes communismes en Europe centrale (Pologne, Hongrie). Catholicisme progressif qui se développe en Amérique du sud : contestation des dictatures marxistes et du modèle économique Amérique-latin. Clergé chiite : contestation d’un Chah d’Iran (1978).

s'améliorer l'oeuvre humaine. Cela conduit Portalis a porter une grande attention à l'Histoire, « physique expérimentale de la législation », et aussi a afficher une grande révérence pour les traditions (on voit ici la marque de l'homme de l'Ancien Régime). Pour Portalis, l'action insensible du temps, jointe à l'expérimentation de l'histoire, présente le mérite essentiel de fonder la légitimité des institutions et de fortifier l'unité du corps social. Cette vision du passé et cette croyance à l'action

valeur nous, vient du siècle des lumières, malgré des difficultés à s’imposer après la Révolution. De plus il y avait la tentation d’un régime totalitaire. Finalement la 3ème République va s’imposer comme règle de jeu politique. Au début de la 3ème République le dialogue ordonné est apparu entre les différents partis. Les débats tournés un peu autour des régimes politiques, et c’est ainsi qu’est apparu la forme parlementaire. Ils se sont également intéressés à leurs identités et ils se sont aperçus

culturelle : idée que le noble, le curé et le républicain, c’est la même chose dans l’imaginaire inquiet et angoissé des campagnes. Amalgame fantasmatique qui associe les figures de la menace : le noble (anti-Napoléon III), le curé (associé à l’Ancien Régime) et le républicain (contre le bonapartisme). S’opère une équation victimaire : noble + républicain = prussien (= volonté de renverser Napoléon III et de renverser la nation). L’attachement profond d’une partie des campagnes françaises à Napoléon,

28 octobre : les Prussiens prennent le Bourget 30 octobre: Le général Trochu, laisse sans secours, les combattants parisiens qui depuis deux jours se sont emparés du Bourget) (à vérifier)Ainsi que la proclamation au peuple français de Léon Gambetta. 31 octobre: échec d'une tentative de révolutionnaires parisiens pour renverser le gouvernement provisoire. 1er novembre: proclamation de la Commune à Marseille. 1er-5 novembre: rencontre Thiers-Bismarck