Registre de langue

l’émetteur et du récepteur) : o 1er cas : la communication n’a pas lieu ; le message est reçu mais non compris : l’émetteur et le récepteur ne possèdent aucun signe en commun. EX : conversation ? entre un allemand et un anglais ignorant leurs langues respectives. o 2ème cas : la communication est restreinte ; les signes en commun sont peu nombreux. EX : conversation entre un anglais et un lycéen marocain étudiant l’anglais depuis un an. o 3ème

à Paris. Le titre : «  Aux champs » Date de parution : le 31 octobre 1882, dans le journal Le Gaulois. Première édition : dans « les contes de bécasse »édité par ‘’Rouveyre et Blond’’ Courant littéraire : Le réalisme. Registre littéraire : Réaliste et pathétique. Registre de langue : Langage familier pour les Tuvache et Vallin, Langage courant pour les d’Hubières.  Point de vue dominant : La focalisation zéro.  Cadre spatial : à la campagne, proche d’une ville thermale «  Rolleport », dans deux chaumières

fantastique ( ex: un paysage qui révèle un état âme ou un portrait physique qui revele un caratere d) quel est le niveau de langue du texte: => style noble => style soutenu ou engagé => style courat => style familier e) Quelle est l'impression dominante donnée par le texte => convainre => suggérer => critiquer f) Quel est le registre (ou les registres) de la page proposée => texte dramatique? => élégiaque? => comique => ironique => polemique => satyrique => tragique

Pinçon son commandant. Pour créer son personnage du narrateur, Céline a utilisé des éléments de sa propre biographie : étudiant en médecine et engagé volontaire, il découvre avec une certaine horreur la réalité de la guerre. Bardamu utilise un registre de langue familier : syntaxe et vocabulaire « tête de pêche pourrie » « gueule de torture » courant voire soutenu - dans quel état physique se trouve-t-il ? la fatigue: « fatigués », « fatigue », « dormir », « sommeil » la peur : « ma peur »   II.Une

sens ( Qu’est-ce que la communication non-verbale ? Apparence, posture, gestes, attitudes, regards, mimiques, débit de parole, ton de la voix, silences … ( Quelles sont les composantes de la communication verbale ? Vocabulaire, syntaxe, registre de langue ( En quoi la communication verbale et non-verbale contribue-t-elle à la construction du sens ? Les acteurs interprètent l’ensemble des signes verbaux et non verbaux. Tous contribuent au partage des significations, à la construction du sens

argumentatif… C. Le(s) registre(s) en présence : lyrique, comique, tragique, satirique… II. Préciser la thématique du texte (idées, thèmes développés) : de quoi est-il question ? III. Analyser la structure du texte. A. La structure générale (paragraphes, strophes, …) B. Le plan du texte : schéma narratif, circuit argumentatif… III. Analyser la langue A. Le lexique 1) Les champs lexicaux 2) Choix du lexique (valorisant/dévalorisant ; abstrait/concret, technique…) 3) Niveau de langue (soutenu, courant

même thème ? - partagent-ils un registre commun ? ont-ils la même tonalité ? B. Lire la question et l’analyser 1. Relire plusieurs fois la question Il faut cibler le but précis de la question en analysant son intitulé. S’agit-il : - de « relever » des différences ou des ressemblances ? - de « repérer » les idées essentielles défendues par les auteurs ? - de « commenter » leurs genres ou leurs registres ? - de trouver certaines figures

le conditionnel de l’éventualité, etc. Au niveau du lexique utilisé, peut-on identifier des champs lexicaux ? Les champs lexicaux permettent bien souvent d’identifier le(s) thème(s) du texte. Quel est le niveau de langue employé (soutenu, courant, familier) ? Les niveaux de langue adoptés peuvent en dire plus sur, par exemple, le niveau social d’un personnage, sur ses sentiments, etc. Le vocabulaire est-il péjoratif ou mélioratif (pour mélioratif, on dit aussi « valorisant » ou encore « appréciatif ») 

LES REGISTRES Le comique : Faire rire ou sourire - Décalage (sujet, style ou niveau de langue) -Procédé de répétition (geste, mots) -Jeux sur les mots -Ironie -Parodie (clichés détournés) Le satirique : Dénoncer… en se moquant -Ironie et l’antiphrase -la caricature : figure de l’exagération (hyperbole) -naïveté feinte ou éloge paradoxale Le Pathétique : Faire éprouver de la pitié ou compassion -Interjections, apostrophes et exclamations

hésiter ! 2- Le niveau de langue est globalement courant toutefois, on trouve de nombreuses marques d’oralité et des termes appartenant au registre de langue familier. « Elle s’est tapé les sales boulots » vers 17, les « gugus » vers 43 « foutent le feu aux autobus » vers 44, un « type » vers 47, de même l’absence de négation dans le vers 22 « elle se laissait plus prendre au piège » ou dans le vers 30 « On veut pas de ça chez nous » sont autant de marques de cette langue familière. II / Un chant