Registre de langue

communication A) Les modes de communication : le verbale et le non verbale Pour échanger avec quelqu'un nous disposons deux modes. Tout d'abord, le mode verbale qui repose sur trois registres de langue : le familier, le courant et le soutenue. Chacun de ces registres a une application différente. En effet, le registre familier est un langage plus oral et relâcher qui emploi de l’argot. Le courant est celui de tout les jours il est donc, par conséquent claire et compréhensible de tous et pour finir

réduction de Naag à l'état de vieillard mutilé, impuissant) 2. La parole pervertie Dans quelle mesure la parole ne remplit-elle pas ses fonctions expressives et affectives? a. Modalités du dialogue dénaturé entre Nagg et Nell: - un niveau de langue familier: p. 27 « Qu'est- ce que c'est mon gros? » Et métaphore familière de 'la bagatelle' p. 29 « L'accident de tandem où nous laissâmes nos guibolles » => la relation entre Nagg et Nell apparaît déteriorée, abîmée : expression plutôt rustique,

argumentatif… C. Le(s) registre(s) en présence : lyrique, comique, tragique, satirique… III. Préciser la thématique du texte (idées, thèmes développés) : de quoi est-il question ? IV. Analyser la structure du texte. A. La structure générale (paragraphes, strophes, …) B. Le plan du texte : schéma narratif, circuit argumentatif… V. Analyser la langue A. Le lexique 1) Les champs lexicaux 2) Choix du lexique (valorisant/dévalorisant ; abstrait/concret, technique…) 3) Niveau de langue (soutenu, courant

Etape 1 * Lire et relire le texte * Une fois le sujet choisi, noter au brouillon les différents centres d'intérêts, les thèmes (cela servira à bâtir le plan). * Dégager le(s) ton(s) utilisé(s) par l'auteur (à quel registre de langue se réfère-t-il ? Est-ce du lyrique, du descriptif, du narratif, du comique, de l'ironique, du tragique ?). * Déterminer à quel genre il appartient : poésie lyrique ? épique ? roman ? nouvelle ? récit autobiographique ? * Sur un texte, se poser toujours

de langue (’ Fiche 31). À qui ? Indices : Nom propre. Apostrophe. Pron. pers., pron./adj. poss. de la 2e pers. Le destinataire ou récepteur = celui à qui est destiné le message © HATIER 2009 L’énoncé ou message = la phrase ou le texte produit Le but du message = ce que l’on veut transmettre Le contexte ou les circonstances = le lieu et le temps de l’énoncé Quoi ? À quel sujet ? Indice : Champ lexical dominant. Dans quel but : émouvoir ? informer ? convaincre ? Indices : Registre du texte

influencent-ils la relation entre les deux acteurs ? Afin d’atteindre son objectif, Eléonore essaie de convaincre Mme BERTOLINA qu’elle est la candidate idéale pour ce poste en ayant préparé l’entretien, en utilisant une expression orale précise et un registre de langue soutenu. Elle met Eléonore à l’aise en l’encourageant tout au long de l’entretien avec des signes non verbaux qui favorisent l’échange (sourire) et en reformulant les questions si besoin. Quelle est la distance entre les acteurs ? que traduit-elle

dans cette nouvelle. La narratrice est seule ; nous ne passons pas d’un narrateur à un autre. La narratrice est présente et parle au présent. Procédés stylistiques et figures Il y a quelques discours directs L’auteur utilise un registre de langue standard

Moyen-âge au sein du poème. En second lieu, les procédés d’écriture, soit la phrase interrogative et le registre de langue seront décrit. Particulièrement dans ce passage :«Veux- tu par un doux privilège, me mettre au-dessus des humains ? » ( ). A travers l’expression de ses sentiments, il utilise la phrase interrogative pour exprimer sa demande. Ensuite, Tristan L’hermite utilise un registre littéraire : «Fais-moi boire au creux de tes mains, si l’eau n’en dissout point la neige… » ( ). Tristant

l'ultime scène du drame. Ce genre, illustré dès le XVII° par Shakespeare, a été introduit en France sept ans auparavant en 1830 avec Hernani qui a déclenché une « bataille » entre partisans et conservateurs. Mêlant genres et registres, le dramaturge transgresse les règles classiques (les bienséances et les trois unités) et « tord le cou à l'alexandrin ». Le héros éponyme porte un nom oxymorique puisque Ruy signifie « Roi » et que Blas est un nom de valet. Ce « ver de terre

aussi comme porteur de danger « conseil de ne point parler » puisqu'il révèlerait sa nationalité et donc le signalerait comme ennemi potentiel. // « qui gourmande» : bien que français, le terme (qui est vieilli de nos jours) appartient à un registre de langue soutenu, en décalage avec le langage familier militaire employé par son interlocuteur, comme en témoigne « bêta », « pardi » et « ah çà ! » > échec : Fabrice ne parle donc pas comme les autres militaires. * une action sur laquelle il n'a