Registre familier

Le XIXème siècle fut riche dans le domaine de la littérature, mais les registres littéraires de ce siècle s'opposent : le romantisme et le symbolisme sont en constraste total avec le réalisme et le naturalisme. Ces deux derniers rejetant l'idéalisation de notre monde ont profondément marqué les esprits et sont très appréciés du public. Du temps où Balzac écrivit ces romans de « La Comédie Humaine » (qui soit dit en passant porte bien son nom étant donné qu' Honoré de Balzac, quand il a écrit cette

déboutonne violemment, il s’assied, il se lève » traduisent son agitation. L’allusion vulgaire au vêtement ne respecte pas la bienséance de la tragédie. On remarque donc une tonalité nouvelle. Le registre de langue est souvent familier « amourette, donzelle, tu m’agrafes ». Cependant, le registre soutenu est sensible à travers les termes « chassé, disgracié ». Ces choix lexicaux sont adaptés à la réalité qu’ils décrivent et font apparaître la complexité des personnages, qui ne sont pas caractérisés

épistolaire, nouvelle, conte, biographie…) ; théâtre (tragédie, comédie…) ; poésie (sonnet, ode,…) ; prose d’idées (essai, réflexion…), apologue… B. La forme ou les formes de discours en présence : discours narratif, descriptif, argumentatif… C. Le(s) registre(s) en présence : lyrique, comique, tragique, satirique… III. Préciser la thématique du texte (idées, thèmes développés) : de quoi est-il question ? IV. Analyser la structure du texte. A. La structure générale (paragraphes, strophes, …) B

interlocuteurs, le but du discours (= intentions) Les intentions de l’émetteur peuvent être d’informer, d’expliquer, de garder le contact, de convaincre, de faire agir, d’émouvoir. Toutes ces conditions entraînent des changements de registres de langue ( soutenu, courant, familier). Il faut distinguer deux systèmes d’énonciation : Le discours ou énoncé ancré dans l’énonciation, ce qui signifie que l’émetteur et le destinataire sont en présence l’un de l’autre, "ici " et "maintenant" sont compréhensibles

d’un mot polysémique n’est perceptible que grâce au contexte syntaxique: je te défend de le faire (idée d’interdiction) je te défend contre lui (idée de protection) d’ordre situationnel La situation de communication influe sur les registres de langue du locuteur (familier, courant, soutenu) activité rémunérée, travail, boulot, job ne sont pas employés indifféremment Sens propre C’est le sens premier d’une unité lexicale, son sens courant, concret: Il a un bon coeur fragile, il ne faut pas l’opérer

les arabes avaient leur émois plus tôt que leur reste de la population. L'auteur peut aussi nous rendre compte du monde, par le langage utilisé et plus exactement le registre familier utilisé, en effet il serait incongru de faire parler une dame de la bourgeoisie avec un registre argotique ou populaire, mais plutôt un registre soutenu témoignant de sa grâce et de son éducation et vice-versa avec un prolétaire. Ainsi cela permet de faire témoigner des personnages en donnant plus de réalité aux

sa souffrance mais que l'abbé ne lui en laisse pas l'occasion. Le décalage entre les 2 interlocuteurs, le dialogue ne fait pas avancer l'action B)Une scène comique L'abbé représente à lui seul le personnage comique: -comique de mots (ou registre familier) : « sac à papier », « mont riboudet », « galopin » -comique de geste : c'est une scène digne des plus grandes comédies « d'un bond il s'élanca dans l'église », « grimpait sur le tabouret », « les prennaient par le collet de la veste » -comique

langage soutenu au langage familier, mais tous ces textes se rejoignent en un même thème, celui de dénoncer une injustice et de défendre une cause humaine avec de nombreux genres et registres différents appartenant au discours argumentatif. Mais on peut se demander, parmi tous ces textes, quel est le registre le plus efficace pour dénoncer une injustice ? Tout d'abord, nous commencerons par définir la notion de registres, secondement nous analyserons les différents registres permettant de dénoncer

Baudelaire. Cf. Cocteau qui veut « dépoussiérer les idées reçues » I. Polyphonie des voix et des interprétations 1. Multiplicité des énonciations : qui parle ? A qui ? 2. Repères temporels brouillés. 3. Mélange des registres : familier et érudit. II. Poésie de l’instantanée et du quotidien : le poète veut nous faire entrer dans sa conscience écrivante. 1. Etude de la structure du poème : fascination du quotidien. 2. Eloge de la forme moderne littérature

Albert Cohen utilise énormément l'ironie dans son texte pour signaler au lecteur qu'il dénigre vivement cette vision de la séduction et de la place de la femme au XXe siècle. Il utilise par exemple le registre familier (pauvrette, « être mure », « un vieux », araignon…) qui, mis en opposition avec le registre soutenu (« ouvertures sur le divin », « violoncellante », « charnelleries perpétuelles », « odeur de lilas », « martyre »…) appuie sur l'ironie du texte. Tout le texte est constamment ironique, autant