Registre familier

manière structurée et surtout pas en passant en revue chaque document l'un après l'autre. La question porte généralement sur : - Les thèmes (repérer si tous les textes véhiculent la même thèse, s'ils se contredisent, se complètent... ). - Les registres (pathétique, tragique, comique, polémique, épique, fantastique...). - Les genres (roman, poésie, théâtre, genre argumentatif ). - Les caractéristiques des genres ( convaincre / persuader ; conte / essai / fable ;nouvelle / conte / roman ; tragédie

conditionnel de l’éventualité, etc. * Au niveau du lexique utilisé, peut-on identifier des champs lexicaux ? Les champs lexicaux permettent bien souvent d’identifier le(s) thème(s) du texte. * Quel est le niveau de langue employé (soutenu, courant, familier) ? Les niveaux de langue adoptés peuvent en dire plus sur, par exemple, le niveau social d’un personnage, sur ses sentiments, etc. * Le vocabulaire est-il péjoratif ou mélioratif (pour mélioratif, on dit aussi « valorisant » ou encore « appréciatif ») 

Bonjour, j'ai étudié ce poème en cours et notre prof nous a fait le commentaire composé de celui-ci : VERLAINE (1844-1896) Mon rêve familier Ce sonnet intitulé Mon rêve familier de Paul Verlaine, extrait des Poèmes Saturniens, parus en 1866, évoque une femme rêvée. Ce poème est le portrait d’une femme mais c’est d’abord la confession difficile d’un homme malheureux. I. La confession difficile d’un homme malheureux a. L’autoportrait d’un homme malheureux Autoportrait surtout moral Le

narrateur est exprimée aussi par le langage employé, sorte de langue parlée populaire. Céline a créé une langue littéraire fondée sur ce qu’on pouvait saisir à l’époque à Paris et sa banlieue. Ici se mêlent habilement registre familier et langage plus châtié. Pour le registre familier, on peut citer : « armés jusqu’aux cheveux » (l. 2), « comploteurs » (l.3), « caracolant » (l.4), « foireux » (l.21), « mariole » (l.30), « carne » (l.31). On peut y ajouter les formes emphatiques empruntées aussi au

narrateur est exprimée aussi par le langage employé, sorte de langue parlée populaire. Céline a créé une langue littéraire fondée sur ce qu’on pouvait saisir à l’époque à Paris et sa banlieue. Ici se mêlent habilement registre familier et langage plus châtié. Pour le registre familier, on peut citer : « armés jusqu’aux cheveux » (l. 2), « comploteurs » (l.3), « caracolant » (l.4), « foireux » (l.21), « mariole » (l.30), « carne » (l.31). On peut y ajouter les formes emphatiques empruntées aussi au

« Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu » (v.6) - Le goût : seulement connoté par le « cresson » (v.6) Ici, la nature semblerait combler tous les sens du personnage. 3) Un spectacle qui parait familier et rassurant Terme affectif : « petit val » (v.4) → Nature à la mesure de l’homme, elle ne le domine pas. « Nature, berce-le chaudement : il a froid » (v.11) → Nature protectrice. Allégorie de la nature en mère protectrice. Métaphore filée car

au contraire, dans certains cas, de la faire oublier et ainsi de divertir le public. Mais le théâtre peut également aborder ces aspects négatifs des hommes et du monde tout en divertissant son public. Les débuts du théâtre faisaient appel au registre tragique, avec, entre-autres, les œuvres d'Eschyle, Sophocle et Euripide. Le modèle antique fut longtemps la référence essentielle et il exerça une influence considérable sur l'histoire du théâtre occidental. Grâce à de nombreux procédés, la tragédie

/Dont les autres sont revêtus. ». Tout cet arrière-plan mythologique est repris dans l'expression « Que j’en commette idolâtrie », qui renvoie à l'idée de sacrifices païens rendus aux dieux. Saint-Amant fait des emprunts plus ou moins dissimulés au registre noble ou littéraire pour faire l'éloge de choses qui n'y appartiennent pas. Eléments pour une introduction Saint-Amant (1594-1661) fait partie de ces poètes baroques1 de la première moitié du 17e siècle, qui ont été un peu oubliés en raison du

LES REGISTRES LITTERAIRES : DEFINITIONS Définition : le registre littéraire d’un texte dépend de l’effet que le texte cherche à produire sur celui ou celle à qui il s’adresse. (A ne pas confondre avec la notion de registre de langue qui distingue les langages soutenu, standard, familier, grossier ; dans ce cas on peut aussi parler de niveau de langue). 1) LE REGISTRE COMIQUE Il vise à provoquer le rire ou le sourire, à amuser. Méthode : pour expliquer en quoi un texte est comique, on peut souvent

lois pour l'empêcher de faire le salaud. » C’est aussi une personnification. * « Con, ordure, peau de vache, j’en ai rien a foutre, merde… » On repère le champ lexical des insultes. * Tout au long du texte, nous avons à faire au langage familier. * Ligne 115 : « Je tiens pas tellement à être heureux, je préfère encore la vie. » * Il préfère ne pas être heureux et etre lucide et en vie que d’être heureux dans un faux bonheur en se droguant, il préfère vivre même si c’est difficile