Régulier et séculier

Le clergé ¤ Les membres du clergé ont des privilèges (jugé par des tribunaux ecclésiastiques, dispensé du service militaire, exempté d’impôt). ¤ Le clergé a des restrictions (célibat, fonction incompatible). ¤ 2 catégories : clergé séculier (prêtres) et régulier (moines). ¤ Hiérarchisation du clergé : haut clergé (évêque, archevêque, abbés, sont membres de la Haute noblesse, proche du Roi et Pape), bas clergé (curés vivant de la dîme).  Fin de l’AR, l’ordre n’est pas unifié ¤ Epoque Mérovingienne

servile. Dans certains cas, le seigneur peut avoir la succession de la tenure du serf et ainsi il a la main morte. Chapitre 4 : La société, noble, roturière et serfs A part, les clercs (droit canonique). On distingue des clercs séculiers (évêques) et des clercs réguliers (moines). I) Les nobles : diversité des origines et tendance à constituer une catégorie juridique A) Les origines de la noblesse C’est un groupe social doté d’un statut juridique à part. Cela est presque nouveau (magistrats,

l'Eglise. Il va tenter des mettre une partie de l'Eglise or du siècle, qu'elle ne subisse aucune influence extérieur. Il va crée une division dans le clergé entre le clergé qui vit au contact du monde laïque (clergé séculier) et le clergé qui n'est pas dans le siècle (le clergé régulier) qui reconnait l'autorité du pape. Grégoire VII va réunir des concils, notamment en 1095 celui de Clermont qui va affirmer la centralisation du pouvoir de l'Eglise. Désormais aucun homme d'Eglise ne pourra préter hommage

l’évolution des réformateurs. A – L’apparition des « clercs réguliers ». Les théatins, créé par Gaétan de Thiène, sont approuvés par le pape en 1524. A la différence des moines, ils ne sont pas astreints à l’ « office de chœur ». Ils portent un habit et obéissent à une règle. Ils prononcent trois vœux de religion : pauvreté, chasteté et obéissance. Ils portent un costume, d’allure ecclésiastique, la soutane. Les clercs réguliers font des tâches pastorales auprès des fidèles. Antoine Marie Zaccaria

suivant les prescriptions d’une règle et sous la direction d’un chef (abbé, prieur), ils formaient ce que l’on appelle le clergé régulier. Parmi eux, une minorité seulement a fait profession (vœux publics par lesquels on s’engage dans l’état religieux), a embrassé la condition parfaite définie par la règle, ce sont les profès (religieux qui ont fait profession), chanoines réguliers (religieux vivant en communautés tout en se livrant à un ministère extérieur), moines… ; quelques-uns ont reçu la prêtrise

religion : celle-ci ne doit pas empiéter sur la sphère publique. Cette indépendance de la religion se construit donc au départ sur un repli forcé de l'Église dans la sphère privée. De fait, la laïcité a été un combat, et ce combat a été gagné par le séculier. L'Église, confinée dans la sphère privée, a perdu son pouvoir. Depuis les années 1970, nous sommes entrés dans une nouvelle phase. Les grandes fresques religieuses, politiques et philosophiques se sont effondrées. Hier valable pour tous, le sens

Les institutions de l'Eglise Erreur ! Signet non défini. a) Qui est membre de l'Eglise? Erreur ! Signet non défini. b) Clercs et laïcs Erreur ! Signet non défini. 1) La notion de clergé Erreur ! Signet non défini. 2) Clergé séculier / clergé régulier Erreur ! Signet non défini. 3) Associations périphériques Erreur ! Signet non défini. 4) Le nombre des clercs Erreur ! Signet non défini. c) La hiérarchie des pouvoirs dans l'Eglise Erreur ! Signet non défini. 1) Hiérarchie

: Le clergé est, en gros, organisé en deux catégories : le clergé séculier et le clergé régulier. Le clergé séculier car il est dans le siècle, donc dans la vie civile : les curés s’occupant des paroisses et des croyants. Ce clergé séculier a un rôle de proximité très important dans la vie sociale. Il est organisé selon une hiérarchie particulière : un évêque est le chef du clergé séculier. Le clergé régulier : ce sont les personnes vivant à l’écart du siècle : les moines dans les monastères

vives du pays, plus encore peut-être dans les arts que dans la politique ; et l’artiste a besoin pour produire de conserver son indépendance. Le pouvoir féodal n’était certainement pas protecteur de la liberté matérielle ; les rois, les seigneurs séculiers, comme les évêques et les abbés, ne comprenaient pas et ne pouvaient comprendre ce que nous appelons les droits politiques ; on en a mésusé de notre temps, qu’en eût-on fait au XIIe siècle ! Mais ces pouvoirs séparés, rivaux même souvent, laissaient

droits anciennement acquis. Le clergé comprends l’ensemble des clercs. ↪ Clergé séculier : vit dans le siècle, dans le monde. Leur mission apostolique consiste à être en relation directe avec les laïques. Ce sont : * Evêque et archevêque * Chanoines (corps ecclésiastique attaché à cathédrales, collégiales, s’occupant des affaires matérielles) * Curés de paroisse, aidés par vicaires ↪ ≠ clergé régulier : comprend tous les religieux soumis à une règle particulière. Ils appartiennent