Régulier et séculier

clergé Tous les hommes d’églises. Deux groupes, les réguliers qui vivent selon une règle. Et les séculiers, ceux qui exercent leur ministère avec leurs paroissiens qui vivent avec leurs siècles. Le monachisme apparaît en Europe dans les premiers siècles de l’ère chrétienne, par saint bénédictin qui va partager le temps entre temps de travail de prière et de repos. Il y a un nombre d’ordre chrétien considérable. Mais les membres du clergé réguliers refusent de vivre dans leurs siècles d’où il préfère

monarchie de droit divin. Le clergé est composé des représentants de la religion d'Etat (le catholicisme). Cet ordre représente 1% de la population et se distingue entre deux sous ordres: - Le clergé séculier, composé des chanoines, des évèques, des curés et des dignitaires ecclésiastique. - Le clergé régulier, composé des ordres religieux et monastiques. A la fin du XVIIIème siècle on peut noter un baisse sensible de leur effectifs. Le clergé assure le sacerdoce qui regroupe la célébration du culte

De se tableau sombre émerge une institution qui aide à la conservation du droit romain : L’Eglise. Pour construire le droit canonique, l’Eglise s’inspire du droit romain. B) Une législation royale annihilée. Les capitulaires ce succèdent à rythme régulier. Par la force des choses les Capétiens vont diminuer les législations royales. Entre le 9ème et 11ème siècles aucune loi nouvelle est créée. En creusant bien on trouve une forme de droit particulière. Chez les Capétiens, on à des décisions unilatérale

vont se dire ceci : « notre royaume nous le gouvernons mais il y à des grand vassaux qui ont des fiefs ». Les saxons vont introduire petit à petit des gens d’Eglise. Il y aura donc des dignitaires ecclésiastiques (évêque : clergé séculier, et des abbé = clergé régulier) qui vont devenir en quelque sorte vassaux du roi. Ils ne seront pas vassaux pour leur fonction religieuse, c’est bien ici l’adjonction à cette dimension spirituelle d’une dimension temporel, politique. A coté des principautés laïque

moyen pour apaiser les conflits (diffa guerre de religion …). Mais qui sont les clercs ? Ce sont des serviteurs de l’église, ceux qui se chargent du ministère de la religion en charge du culte catho. Parmi eux le clergé séculier et le clergé régulier Séculier ceux qui vivent parmi les fidèles dans le siecle dans le monde (archevêques, curée….) la noblesse 420 000 : ceux qui combattent, ils sont distigues par les armes, defnedu letat cest une noblesse d’epee, cest la plus ancienne et la

clergé réguliers et séculiers. Le clergé séculier regroupe des clerc qui vivent au contact des laiques, a aussi une mission d'évangélisation, et a une organisation spécifique et hiérarchisé. Au sommet, nous avons le pape, les archevéchés, les diocèses ( évéques) qui se divise à son tour en paroisse, à la tête de laquelle on trouve un curé. Le clergé régulier vit selon des règles particulières : ils vivent dans les monastères, entre eux, retirer du monde dans un espace fermé. Le clergé régulier n'est

aussi aux Juifs et Musulmans convertis et qu’on accuse de pratiquer clandestinement leur religion. Le clergé est aussi en crise. On distingue le clergé séculier, composé des archevêques, évêques entourés d’officiers (official, vicaires, etc.), des chapitres de chanoines, du clergé paroissial (curés, vicaires) et des chapelains, et le clergé régulier. Il faut aussi distinguer la charge à remplir, l’office, et le revenu lié à cette charge, le bénéfice. Les deux sont souvent dissociés, dans ce cas le

L’organisation du clergéLe clergé est, en gros, organisé en deux catégories : le clergé séculier et le clergé régulier.Le clergé séculier car il est dans le siècle, donc dans la vie civile : les curés s’occupant des paroisses et des croyants. Ce clergé séculier a un rôle de proximité très important dans la vie sociale. Il est organisé selon une hiérarchie particulière : un évêque est le chef du clergé séculier.Le clergé régulier : ce sont les personnes vivant à l’écart du siècle : les moines dans les monastères

Théologique, 1266 Le pouvoir spirituel et le pouvoir séculier proviennent l’un et l’autre du pouvoir divin, [celui-ci n’est soumis à celui-là que] dans la mesure où Dieu l’y a soumis, c’est-à-dire pour ce qui se rapporte au salut de l’âme ; et c’est pourquoi en ces matières, il faut plutôt obéir au pouvoir spirituel qu’au pouvoir séculier. Mais dans les matières qui se rapportent au bien de la Cité, il faut plutôt obéir au pouvoir séculier qu’au pouvoir spirituel, selon cette parole de saint

responsabilités (curé a la charge de la paroisse, l’évêque d’un diocèse). On parle ici du clergé séculier, ie qui vit dans le « siècle » (=monde, renvoie à la société aujourd’hui). A côté des séculiers, il y a le clergé régulier, celui qui vit dans les monastères et suit la règle, souvent de Saint Benoit. Les réguliers prêtent des vœux : le vœu de chasteté, de pauvreté et d’obéissance. Ces vœux mettent les réguliers dans la situation juridique des mineurs. On parle de « mort civile ». rien n’empêche des