Réification

De plus elle est jugée comme digne de ses avances puisqu’elle a, à ses yeux, une valeur supérieur à sa conquête précédente, cela apparait à travers l’expression « mieux que l’autre ». Cependant il ne lui accorde aucune supériorité face à lui. La réification de la femme permet de mieux comprendre l’égard qu’il lui porte, elle est en effet comparée à un « bibelot », soit un objet inutile que l’on expose pour se donner de la valeur. Cela est visible à travers l’étude grammaticale des phrases puisqu’elle

certains en raison même de sa perte de signification précise 1, avant d'être l'objet de tentatives de réhabilitation2. Au-delà de l'usage juridique ou psychiatrique du terme, la notion d'aliénation se rattache aussi à d'autres concepts, comme la réification ou l'hétéronomie – termes qui visent généralement à donner un sens plus précis à cette notion d'aliénation. Le phénomène de l'aliénation émerge, chez Hegel, à un moment particulier du processus dialectique permettant le déploiement de l'Esprit

piétinent tous les deux 2- duplicité idéal subjectif • idéal posé sans connaissance fondé • La femme répond à un désir Idéal artificiellement entretenu • fille miraculeuse • volonté d’entretenir une chimère • désir de possession visible à travers la réification • désir de la retenir à jamais à travers sa mort : folie du poète qui veut figer l’idéal 3- le poète satanique et l’aveuglement du poète 2 - - une identité qui pose problème : • c’est moi/ bénédicta : c’est moi la vraie nature animale • loup

« longea » ces idées de mouvement dans l’objet de carriole « exhalait d’eau bouillante ». De plus, nous remarquons certaines personnifications « les mâts, les vergues, les cordages se dressaient tristement dans le ciel ruisselant… » ce qui montre la réification des personnages. L’absence de communication symbolise le mutisme, la mort « on se taisait » ; le pronom « on » qui est impersonnel. Le regard traduit l’absence de vie « œil morne » et l’attitude de petite mère apparait comme un être mort « fermaient

animaux qui sont connus pour leur mimétisme (le singe introduit ici une caricature de l’humain, dont il a la posture et les gestes) ==> cela introduit le thème de l’apparence, avec à la rime l’antithèse entre « être » et « paraître » - puis réification avec les « ressorts » - image de l’indifférence profonde des courtisans, fondée sur des parallélismes, des antithèses et un chiasme (« prêts à tout » // « à tout indifférents ») ==> solitude de chacun à la Cour, mais solitude aussi, paradoxale

devient rationnelle et impersonnelle + logique fonctionnelle CCl : Marx + Weber = socialisation par le marché est à l’époque moderne le centre de gravité de l’organisation sociale mais aussi sur le fait que le monde moderne se caractérise par une réification des struct sociales.

branches. » Victor Hugo, L'Expiation Personnification La personnification est une figure qui confère à des entités abstraites ou à des inanimés des traits de comportement, de sentiment ou de pensée propres aux êtres humains. (procédé inverse : réification). « Les arbres font le gros dos sous la pluie. » (J. Renard) Laisse-moi devenir L'ombre de ton ombre L'ombre de ta main L'ombre de ton chien. (J. Brel) Figures d’amplification Gradation Une gradation est une succession ordonnée de termes

l’exagération : « fendre les mâchoires […], se rapetisser les yeux, s’élargir le visage ». Zola critique ainsi les visiteurs et leur étroitesse d’esprit car ils ne cherchent en aucun cas à en savoir plus sur ce tableau. Pour cela, il utilise des réifications qui déshumanise donc les spectateurs : « flûtes aiguës des femmes » ; « grincements rouillés d’hommes maigres », mais aussi une phrases averbales : « plein air, oh ! Oui, plein air, le ventre à l’air, tout en l’air, tra-la-la-laire ! », digne d’un

mais pas succomber aux signes de la richesse. De plus les personnages sont «condamnés à la conquête» (l 10) c'est comme si leur destinée était de devoir acheter encore et encore. On dirait des robots, on dirait qu'ils sont automatisés, c'est une réification. C'est une manière pour l'auteur de se moquer d'eux. Cet extrait du roman de Georges Perec est donc très riche. Pour critiquer les personnages et leurs envies, il décide de les rendre ridicules. Il le fait en leur faisant espérer s'enrichir

Cette œuvre est aussi engagée. L’auteur dénonce l’aliénation produite par les méthodes de travail fordiste : les ouvriers sont réduits à leur seule force de travail, ils ne sont plus que le geste qu’on leur demande d’exécuter. Céline utilise des réifications, c’est-à-dire, une chosification (métaphore qui transforme en objet) « On en devenait machine ». Quelques phrases sorties du texte : « Ce qu’il trouvait bien chez Ford, (..), c’est qu’on y embauchait n’importe qui et n’importe quoi ». « Tu seras