Relation Personnage Lecteur

continuer à lire ? Nous allons tout d’abord nous concentrer sur les personnages présentés en rapport avec leurs parfums dans cet incipit, et analyser l’importance des sens, puis nous verrons les pièces du puzzle mystérieux que Marie-Hélène Lafon commence à mettre ensemble pour annoncer la suite de l’histoire, enfin nous nous intéresserons au style du texte et au but de l’incipit.Nous allons premièrement voir quels personnages sont présentés et comment, le texte commence du point de vue d’Armand

Meursault est l'un d'indifférence. Je vais analyser la relation entre Meursault et certains autres personnages dans le livre. Il manque beaucoup de compétences interpersonnelles, et cela influence sa relation avec les autres. Ce qui signifie aussi, que le lecteur est laissé penser que Meursault est un personnage étrange et parfois naïf. Cet argument soutient l'idée de Camus qu'il y ait «l'étranger» dans la société. Meursault, le personnage principal et narrateur de l’histoire, est un homme que l’on

mal . Le roman s’intéresse a un monstre, à ce qui dépasse, a ce qui est monstrueux. Pourquoi ils existent, pourquoi c’est arrivé. La préface établie déjà une relation entre l’auteur et son personnage (le monstre). Succession des trois verbes je te dépits, je te démasque, l’auteur dit que son personnage l’obsède Pour lui son personnage existe vraiment, quelqu’un a qui il parle. Les deux premiers paragraphes souligne le thème de la souffrance- un terrain hostile. Therese Desqueyroux est dans

lieu lors de cette lecture, ce fut sa grande simplicité dans le style d'écriture. Ici, on ne rencontre point de longues descriptions s'étalant sur des pages et effrayant bon nombre de lecteurs. le roman est d'ailleurs assez court et se lit très vite car tout est concentré sur l'intrigue et les sentiments des personnages. On rentre donc très rapidement dans le vif du sujet. Ce n'est pas pour rien qu'Alexandre Dumas fils fait lui-même référence, dans son texte, à un autre grand classique de la littérature

du théâtre opposé à la représentation, autrement etre seulement un lecteur face à un texte dont la fonction n’est pas essentiellement d’etre lu mais joué. Puis j’ai été confronté au problème de la lecture assez énigmatique de l’univers koltèsien que j’avais déjà vécu avec sa pièce, La solitude des champs de coton. Face à ces deux interrogations j’ai choisit de traiter mon extrait en gardant à l’esprit que je n’étais qu’un lecteur et non pas un spectateur et donc que fatalement il existait un aspect

d’exposition, les deux personnages principaux sont Hyppolite (prince d’Athènes) et Théramène (son gouverneur). On assiste à une conversation privée dans laquelle Hyppolite se confie à son gouverneur, et lui expose à la fois ses souffrances et ses projets. Les grands thèmes de la tragédie sont ici abordés : famille, amour et politique. Dans une première partie, nous détaillerons l’originalité de cette scène d’exposition, puis, dans une deuxième partie, nous étudierons les personnages et leurs rôles à travers

que se pose son lecteur, mais il y répond dès les premières lignes, et instaure ainsi une relation originale avec le narrataire. En effet, ce commencement de roman propose une transformation des éléments traditionnels de l'incipit. Si ces derniers permettent communément d'introduire une histoire dans un contexte en présentant le cadre spatio-temporel et en donnant des informations de base comme le lieu, l'année, le temps et les comportements des personnages afin que le lecteur dispose de suffisamment

de la jeune femme. Le lecteur peut enfin entrevoir la vraie relation, ou du moins la relation perçue au travers d’une lecture simple, que les deux femmes, différentes en tout point, semblent entretenir. Le fond du texte est tout aussi complexe que sa forme et cet extrait en est le témoin principal. Ainsi, nous verrons de quelle manière Duras procède à la mise en place de l’extrait le plus important de son œuvre, par le biais d’une écriture complexe qui peut mettre le lecteur en proie au doute mais

expérience de lecteur. Quand on pénètre dans une librairie, on ne peut qu’être saisi par la quantité et la diversité des ouvrages qui s’offrent au choix du lecteur, quel qu’il soit, d’autant plus que le temps n’est pas très éloigné où l’on pensait que le livre était condamné à disparaître, remplacé par l’ordinateur. Il y a donc des relations privilégiées et mystérieuses entre les livres et les hommes, relations aussi diverses que les livres eux-mêmes et leurs lecteurs.

humoristique, qui relève de la comédie.  Ce texte, extrait du Roman comique de Paul Scarron, raconte les aventures d'une troupe de comédiens ; cette page constitue l'incipit du roman. Un incipit est le début du roman : Il a donc pour fonction d'informer le lecteur, de l'intéresser. Ce passage remplit-il la fonction d'un incipit ? Nous verrons que ce passage ne correspond pas tout à fait à l'idée que l'on peut se faire d'un incipit, en raison notamment du caractère envahissant de la description, puis dans une