Relativisme Culturel

thèse concernant la rectitude des noms, comme mentionnée plus haut. Pendant le débat, Socrate, grand philosophe et professeur de Platon, rapproche la conception « conventionnaliste » d’Hermogène à celle de Protagoras, célèbre sophiste pour son relativisme. Socrate arrive à cette conclusion en questionnant Hermogène et en analysant ses opinions sur le sujet en question. En effet, Socrate n’a pas tort du tout en rapprochant la conception d’Hermogène à celle de Protagoras à propos du conventionnalisme

notre opinion en vaut une autre. En premier lieu , même si nous ne pouvons en aucun cas garantir l'authenticité d’un argument ou d’une opinion, la rationalité est très efficace pour frôler à peu près l'exactitude. D'un autre côté, il y a le relativisme, une doctrine qui était soutenue par les Sophistes qui exprime que tout est relatif, que les valeurs dépendent en fait des circonstances et sont variables de cas en cas. Cela veut donc dire que chaque opinion se vaut. Mais que vaut l’opinion qui

de vérité ? - Le fait que tout le monde soit d’accord garantit-il la vérité d’une proposition ? Et, à l’inverse, si un seul individu pense quelque chose (exemple de Galilée), cela signifie-t-il nécessairement qu’il a tort ? Doit-on admettre le relativisme de la vérité : "à chacun sa vérité" ? Le sujet ne dit pas : l’unanimité est-elle le critère de vérité ? mais un "critère" de vérité. Cette nuance est importante : ceci signifie qu’elle peut constituer une garantie parmi d’autres dans la recherche

En premier lieu, le sens de la question philosophique qui nous occupe sera présenté et analysé. Par « relativisme » on attend, selon la définition de Protagoras, « l’homme est la mesure de toute chose ». D’un point de vue à l’autre, les différences sont telles qu’on ne pourra pas les concilier et chaque point de vue, du fait même qu’il est singulier, a autant de justesse que l’autre. Quant au mot « acceptable » il désigne ce qui mérite d’être pris en considération, à quoi on peut donner son accord

que d’autres vont acheter ce produit, car c’est leur vérité. Dire « à chacun sa vérité », implique donc que l'on se contente de s'en tenir à des opinions incertaines ou à des sensations subjectives ; que l'on se contente donc de s'en tenir à un relativisme du vrai, suivant lequel ce qui est vrai pour moi ne l'est pas nécessairement pour les autres. Le terme de vérité désigne donc ici la relation entre la croyance ou l’opinion de l’individu et la réalité. En disant que quelque chose est vraie, je ne

< contingent > universel / < singulier - Obstiné - Relativisme (tout est relatif) - Fermeture - Théétète - Absolutiste - Sophistique

adéquation entre l'idée et la chose 3°) Quels sont les 2 sens du mot nécessaire ? 1- Ce qui est de l'ordre du besoin, de la nécessité (manger, boire...) 2- Ce qui ne peut être 4°) Qu'est ce que le relativisme et le septisisme ? Relativisme : Toutes les vérités se valent Le relativisme est la porte ouverte au septisisme. Septisisme : C'est une école fondé au 4eme siècle par Pyrrhon d'Elis (360–275 av. J.-C.) est un philosophe sceptique. Ils affirment non que la vérité est inaccessible

de mauvaise foi, qu'on se résigne à clore la discussion par cette formule, dont la sincérité apparaît alors pour le moins douteuse. Ce qu'il faut comprendre Le sujet vise une attitude mortelle pour la philosophie, qu'on peut appeler au choix relativisme ou subjectivisme. Tout effort de pensée devient en effet inutile, si chacun est possesseur de sa vérité et si chercher à convaincre est perçu comme une atteinte à la liberté indivi¬duelle. Sous les apparences de la tolérance, « à chacun sa vérité

le contre avec une égale vraisemblance, - autre marque de force et d’habileté. » (Maritain, page 66-67 in Eléments de philosophie) On comprend alors pourquoi la seule doctrine à laquelle la sophistique ait pu aboutir ait été ce qu’on nomme le relativisme et le scepticisme. Protagoras (480-410) déclarait que « l’homme est la mesure de toutes choses, de celles qui sont en tant qu’elles sont et de celles qui ne sont pas en tant qu’elles ne sont pas » ce qui signifie que tout est relatif aux dispositions

par la réflexion sur le monde et les quelques notions de médecines qui sont distribuées dans cet extrait. II-Apprentissage du relativisme Relativisme : doctrine selon laquelle les valeurs sont « relatives » donc liées aux circonstances. -L’ouverture d’esprit du héros, sa soif de savoir et son émerveillement rappelle le coté humaniste de l’œuvre. De plus, le relativisme est présent par l’acceptation d’un monde très différent du notre, lequel monde est situé dans un corps, lui-même situé dans un