Relativiste

deux courants. Courant universaliste : La nature humaine est partout identique : les mêmes règles s’appliquent partout (KANT : seules intentions comptent. Si elles sont bonnes : comportement éthique même si le résultat est mauvais). Courant relativiste : Chaque acte doit être évalué en fonction de ses conséquences pour l’acteur et pour autrui. Dans une situation donnée, il faut faire ce qui conduit au meilleur résultat et non ce qui est juste et bon. En fait, il faut distinguer la morale dans

par le progrès scientifique. Par exemple, la mécanique newtonienne, considérée comme représentant parfaitement le fonctionnement de l'univers au début du 19ème siècle, a été réduite au rang d'approximation aux faibles vitesses par les théories relativistes. Certains de ses fondements implicites, comme l'action instantanée des forces à distance, ont même été reconnues comme étant des erreurs fondamentales, l'action à distance se propageant à une vitesse finie et limitée (celle de la lumière dans le

utilisés à des fins secondes » Hannah Arendt Trois critères d’évaluation d’une œuvre d’art 1. Innovation esthétique 2. Matérialise, condense l’intériorité de l’artiste 3. Dévoile le réel Portée : Intérêt des critères = échapper à une vision relativiste/subjective de l’art Faire la part entre œuvres d’art authentiques/production commerciale Sublimation (Freud) : détournement des pulsions inconscientes de leur but originel (ex : agression)

sein de l'humanité? Il faut reconnaître que chaque norme étant relative à la société qui l'institue, aucun critère universel ne peut être appliqué à l'humanité. Pour éviter de tomber dans l'ethnocentrisme, nous devons adopter un point de vue relativiste. Autrement dit, il nous faut renoncer à découvrir une norme morale absolue au sein de l'humanité. La diversité permet seule de définir l'humanité. En observant les différentes cultures, nous nous rendons compte que ce qui semble juste dans une

désigner son objet est toujours le même? , Vérification de la spécificité philosophique du texte : Certains passages du texte versent-ils dans un discours religieux ou dans un discours scientifique? Glissez-vous par moments vers des idées relativistes? Avez-vous justifié en quoi votre texte fait ce qui est spécifiquement philosophique? , Vérification de l’utilisation des philosophes et sophistes Grecs : Avez-vous présenté les conceptions de Socrate ou de Platon? Avez-vous expliqué en

nous rappelle que la notion de jugement esthétique est inséparable à la notion de mauvais et de bons gouts. Tous les gouts existent mais ils ne se valent pas tous. Le gout tout seul n’existe pas, il y a le bon et le mauvais. Pour conclure : le relativiste commet 2 erreurs. La première est de croire que par les jugements esthétiques ne peuvent être faux ils sont vrais. En vérité ils ne jouent pas à ce jeu. La question n’est pas de savoir si le juge- ment est vrai ou non mais de savoir si c’est de

formation des galaxies, les structures matérielles à grande échelle de l’Univers, l’origine des rayons cosmiques, la relativité générale et la cosmologie physique, avec l’aide de la théorie des cordes et la physique des particules. L’astrophysique relativiste sert d’outil pour évaluer les propriétés des structures à grande échelle. Pour ces structures, la gravitation joue un rôle important dans les phénomènes physiques étudiés et sert de base pour la physique des trous noirs et l’étude des ondes gravitationnelles

universalisable. Car la dissertation philosophique vise la vérité et cette vérité ne peut être reconnue comme telle qu’à condition d’être argumentée et de faire l’accord entre les esprits. Par conséquent, il faut rejeter systématiquement les conclusions relativistes (« à chacun sa vérité », « toutes les opinions se valent », « tout le monde a raison », « personne n’a vraiment tort »…), et aussi les conclusions dogmatiques : se rallier à ce qui fait autorité (il n’y a pas d’argument d’autorité en philosophie)

Si la vérité désigne ce à quoi l’on donne son assentiment, alors elle dépend de chacun d’entre nous. Affirmer que la vérité dépend de nous c’est dire, pour reprendre le titre d’une pièce de Pirandello, «chacun sa vérité». Une telle conception relativiste est défendue par le sophiste Protagoras dans le Théétète de Platon. «L’homme est la mesure de toute chose» signifie qu’il n’y a pas de vérité absolue mais une multiplicité de points de vue qui varient en fonction des individus, mais aussi en

arguments de la thèse de l’esclavagiste : - arguments historique et économique (paragraphes 2 et 3) - 4 arguments d’ordre racial (paragraphe 4 à 8) où il y a une mise en évidence des préjugés que maintiennent la religion, l’absence de pensé relativiste aprofondie, des traditions périmées et le manque de recul qu’entraine le respect démesuré pour les civilisations antiques. - arguments religieux (paragraphe 9) - arguments politique (respect de la sagesse des princes, dernier paragraphe)