Remontrances Des Etats Du Languedoc

troubles permettent à chacun des partis en présence de s'arroger des parcelles du pouvoir régalien. Les princes catholiques sont tout puissants dans les régions dont ils ont obtenu le gouvernement comme les Guise en Bourgogne, les Montmorency en Languedoc. L'édit de Beaulieu de 1576 permet aux protestants de célébrer leur culte publiquement partout sauf à Paris. Ils peuvent occuper huit places fortes et bénéficient de chambres mi-partie dans les parlements. Ils constituent alors un véritable État

centralisation locale inaboutie A- Les pouvoirs provinciaux 1- Les Etats provinciaux Ils sont totalement calqués sur les Etats généraux, il sont crées pour consentir l’impôt au roi de France qui va demander une somme que la province va verser et va réfléchir comment la percevoir : une négociation entre les états provinciaux et le roi. La périodicité des états provinciaux est très diverse, les états du Languedoc se réunissent chaque années, en bourgogne c’est tout les 3 ans : chacun

midi de le France mais beaucoup plus lente au nord. Au nord, il y a une infrastructure coutumière beaucoup plus résistante que dans le midi. 13°, division de la France en deux zones, la zone du midi -> Les pays de droite écrit (droit romain) Languedoc, au nord -> les pays de coutume. La frontière juridique correspond à la frontière linguistique. Cette séparation en deux est à nuancer. > Le midi de la France, le droit romain pénètre plus profondément mais il ne faut pas croire pour autant

C'est l'Etat laïque qui a repris ce mot pour le transposer à certaines circonscriptions. Les élections étaient dirigés sur le plan financier par des élus, car choisi par le roi. C'est ces pays d'élection qui avait le moins d'autonomie. C'est les Etats particuliers → représentation des trois ordres : clergé, noblesse, Tiers état. Ces pays d'Etat sont rattachés plus tardivement à la couronne, exemple de la bourgogne. Pays de conquête, rattaché depuis 1648 → ils bénéficient de plus grand privilèges

Roi féodal à un Roi souverain. De plus le roi réussit à imposer de nouvelles normes, il a crée de nouvelles lois. 1) De la royauté féodale à la souveraineté royale a. le sens de l’évolution Du IXe au XVe siècle la royauté passa par plusieurs états avant de s’imposer. Etant sacré le roi s’imposa progressivement en haute de la hiérarchie du pouvoir. Mais pas la suite il n’exerça plus son pouvoir réel que sur le domaine royal. Le territoire étant restreint demeurait pourtant très riche. Mais la

 Histoire du Monde ->  Chronologie Cet article est en cours de travail ! Cette chronologie est en cours de préparation, n’hésitez pas à nous contacter, si vous repérez des erreurs !   -4000 * Premières cités états au proche orient * débuts de Troie * Sumer apparaît entre -4000 et -3000 (on ne sait pas exactement ) * au même moment (aussi peu connu) se trouve en Egypte un peuple capable d’irriguer, d’ organiser les travaux agricoles, de bâtir des bourgades et des villes

de ne pas se faire encercler par les possessions des Habsbourg. On surestime la puissance réelle de Charles Quint car malgré ses de 17 couronnes, son empire immense est éclaté et ingouvernable. Les villes et les sociétés sont représentées par des états et des diètes qui avaient un pouvoir considérable. Il s’agit d’une société d’ordres où chacun à sa place dans une hiérarchie stricte que l’on pense constituée par Dieu, issue d’un ordre supérieur du monde. Le souverain est à sa tête et domine les trois

contester. III - La catholicité du titulaire de la couronne On admettait coutumièrement l’orthodoxie du roi qui devait appartenir à la religion catholique. L’édit d’Union de Juillet 1588 qui a été solennellement accepté par Henri III et les Etats Généraux exclu par avance toute perspective d’un prince hérétique La loi fondamentale de l’orthodoxie du roi est formulée par cet édit. Cette loi fondamentale était jusqu’ici resté implicite et il est inconcevable que le roi n’appartienne pas à la

est le pape qui à le pouvoir de dieu. Cette théocratie a été présente dans les esprits au IXe et Xe siècle, époque ou le pape considérait les rois comme ses subordonnés, ses délégués. Cette vision n’est plus adaptée au XIIIe siècle, l’émergence des états nationaux. Au sein même de l’église, les ordres mendiant vont aider les souverains en contrant les ordres pontificaux et vont rappeler les goûts de richesses de l’église. Les dominicains vont détacher la société laïque de l’église et vont lui reconnaître

nobles et des bourgeois. Les nobles voulaient remplacer la monarchie absolue par une monarchie aristocratique dans laquelle ils auraient imposé au roi leur volonté, c'est dans cette intention qu'ils avaient contraint Louis XVI, en 1588, à convoquer les états généraux pour le début 1789. Les bourgeois, eux aussi demandés la disparition de la monarchie absolue, mais à leur profit et pour appliquer les idées exprimées par les philosophes du XVIIIe siècle. Ce furent, on le verra, qu’ils emportèrent. La destruction