Remords Posthume

et que de loin, grâce à ses relations, elle pousse sa carrière mondaine, nous reconnaissons en elle, à peine idéalisée, l'image chère de Mme de Berny. On dirait que Balzac a dessiné ce portrait dans un esprit d'action de grâce, peut-être aussi de remords pour les nombreuses infidélités dont eu à souffrir " la Dilecta ". Le drame de Mme de Mortsauf, c'est en effet celui de la femme déjà forte, déjà éprouvée par les amertumes de la vie et aspirant à un sentiment profond et sincère, en face du jeune

diem : Ronsard : « Hé que voulez-vous dire ? », Nouvelle continuation des amours Lecture(s) cursive(s) et documents complémentaires (en particulier iconographiques) Colletet : « Claudine, avec le temps », Amours de Claudine Baudelaire : « Remords posthume », Fleurs du Mal Queneau : « Si tu t’imagines », L’instant fatal Chassignet : « Est-il rien de plus vain » Boileau : « L’art d’écrire » (« Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement… ») Pascal, extraits des Pensées (disproportion de l’homme /

| |La légende des siècles,1859 | |La fin de Satan et Dieu, posthume | |*Pièces de théâtre : Cromwell,1827

implacables, elles ne se plantent pas au hasard. Ce ne sont pas des flèches aveugles qu'on peut espérer éviter par la chance. Elles nous visent. Elles nous sont destinées, comme les douleurs de notre vieillesse, nos regrets, nos remords, le poète ayant écrit aussi : «Connais-tu le Remords, aux traits empoisonnés, À qui notre coeur sert de cible?» (‘’L'irréparrable’’). On peut rapprocher cette image de celle du poème ‘’L’horloge’’ de Théophile Gautier : «Oui, c’est bien vrai, la vie est un combat sans trêve

‘’Une charogne’’ On peut rapprocher le poème d’un passage des ‘’Aventures d’Arthur Gordon Pym’’. ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ “Remords posthume” Lorsque tu dormiras, ma belle ténébreuse, Au fond d’un monument construit en marbre noir, Et lorsque tu n’auras pour alcôve et manoir Qu’un caveau pluvieux et qu’une fosse creuse ; Quand la pierre, opprimant ta poitrine

Mal, travail de toute une vie. Il est inhumé au cimetière du Montparnasse (6e division), dans la même tombe que sa mère et son beau-père détesté, le général Aupick. Le Spleen de Paris (autrement appelé Petits poèmes en prose) est édité à titre posthume en 1869, dans une nouvelle édition remaniée par Charles Asselineau et Théodore de Banville. À sa mort, son héritage littéraire est mis aux enchères. L'éditeur Michel Lévy l'acquiert pour 1 750 francs. Une troisième édition des Fleurs du Mal, accompagnée

d’enfance et l’invite à dîner. - péripéties : - la relation cachée de Thérèse et Laurent - la décision d’éliminer Camille - le meurtre - le temps de latence entre les deux personnages - le mariage de Thérèse et Laurent - les cauchemars et les remords dûs au meurtre de Camille - la décision d’éliminer tous les survivants de cette histoire : * meurtre du chat François * tentatives d’assassinats mutuels - dénouement avec le suicide des deux mariés - situation finale : Satisfaction de Mde

l’auteur d’une façon qui semble plus libre d’expression dans le « classique » à travers ses écrits, ses mots employés et ses réflexions évoquées. C’est une certaine « révélation de soi » qui semble plus remaniée lors d’une publication anthume ou posthume. Du fait de cette arrière-pensée, on a donc tout intérêt à savoir dans quelle catégorie on se place. Selon cette catégorie, on n’écrit pas tout à fait les mêmes choses, même si de l’une à l’autre, les principes restent les mêmes. Ainsi

L'Ennemi L'Homme et la Mer La beauté L'Idéal Le Masque La Chevelure L'Héautontimorouménos L'Invitation au voyage parfum exotique Spleen Aube spirituelle L'horloge Chant d'automne Le serpent qui danse Une Charogne Remords posthume Harmonie du soir Tableaux parisiens (18 poèmes) [modifier] Paysage ; Le Soleil ; À une Mendiante rousse ; Le Cygne ; Les sept Vieillards ; Les Petites Vieilles ; Les Aveugles ; À une Passante ; Le Squelette laboureur ; Le

l’enfance (en utilisant le champ lexical des sensations) [pic] Changement de point de vue : réécrire la scène de la visite du médecin du point de vue de la mère Séance 3 : Péché d’amour Ambivalence de l’autobiographie et pièges de l’aveu, remords et réparation. (folio, ch. XIII, p. 107 à 110, jusqu’à « confiante adoration ») Après avoir longuement évoqué dans les chapitres précédents la joie des retrouvailles entre mère et fils (une fois par an, à Genève), le narrateur s’attarde maintenant