Remords Posthume

avait un arrière-goût de péché et de mort, de perdition et de néant : le charme physique de la femme aimée éveillait irrésistiblement l’horreur du tombeau, de la décomposition de la chair, et la hantise du péché qui prépare les longs remords. Dans ‘’Remords posthume’’, sonnet en alexandrins écrit en 1847, qui parut le 1er juin 1855, dans ‘’La revue des deux mondes’’ puis fut, en 1857, placé dans le recueil ‘’Les fleurs du mal’’, dans cette partie de “Spleen et idéal” qui est dominée par le thème

voudraient être enfin libres, ils se décident à supprimer Raquin. Un beau dimanche, sous prétexte d'une partie de canotage, ils précipitent le malingre Camille dans la rivière et, sans pitié, le noient. Leur crime accompli, aussitôt le remords les accable. Remords avivé continuellement par la présence impitoyable de la mère Raquin qui, frappée par une attaque en apprenant la mort de son fils et devenue muette, suit d'un regard haineux la vie de Thérèse et de Laurent qui s'est installé à la place

l'intérieur du manchon.Ma cliente ne pouvant pas lui sauver lavie n'a eu qu'une option: fuir. Pensez-vous qu'elle n'a pas eu de remords d'avoir commis un meurtre? Et d'ailleurs, peut-on qualifier cela de meurtre? Pour preuve de ses remords, elle a décidéd'offrir l'enterrement à la conjointe du ravisseur. Ce n'est pas pour se donner bonne conscience mais bien par remords. Pensez-vous que cette dame âgée aurait déboursé le moindre sou pour une personne... [à continuer]

Elle veut donc que Phèdre ressente de la culpabilité envers sa servante qui est aussi sa confidente. Cependant, Oenone déculpabilise Phèdre quant à la gravité de son secret. Elle minimise l’impact d’une possible révélation : « Quoi ? de quelques remords êtes-vous déchirée ? Quel crime a pu produire un trouble si pressant ? Vos mains n'ont point trempé dans le sang innocent.» (l.16-18) En employant la négation, le personnage rassure Phèdre en lui affirmant qu’elle n’a commis aucun acte criminel.

expression de la peur et du remords. - Pour Oreste, les phrases sont essentiellement affirmatives Üexpression de l’assurance, du bien fondé de ses actions. (l 6) « J'ai fait mon acte et cet acte était bon » Il utilise le futur de l’assurance et de la certitude des actes à venir (l 7) « Je le porterai sur mes épaules » - Pour Electre, on a des interrogations multiples qui traduisent son désarroi : 1ère réplique 3 questions Elle a l’obsession de la culpabilité, du remords Ensuite, elle utilise des

le monde? Ils ont des robes noires, peut-être parce qu’ils portent le deuil de toutes les vertus, de toutes les illusions. Le plus malheureux des trois est l’avoué. Quand l’homme vient trouver le prêtre, il arrive poussé par le repentir, par le remords, par des croyances qui le rendent intéressant, qui le grandissent, et consolent l’âme du médiateur1, dont la tâche ne va pas sans une sorte de jouissance: il purifie, il répare, et réconcilie. Mais, nous autres avoués, nous voyons se répéter les

Quinze mois ont passé. Les amants n’ont plus eu de rendez-vous : la mort de Camille a apaisé leurs passions. Le deuil de Thérèse est fini, elle s’offre à Laurent à la seule condition du mariage. Chapitre 17 (p.118 à 126) Laurent est hanté par le remords d’avoir tué Camille : il s’imagine Camille dans ses rêves, sa morsure le brûle au cou plus que jamais, il passe de nombreuses nuits d’insomnie. Thérèse est aussi sujette aux mêmes hallucinations. Chapitre 18 (p.127 à 132) Les deux amants sont

remplir l'éternelle promesse,Où tu foulais, monté sur une douce ânesse,Des chemins tout jonchés de fleurs et de rameaux,Où, le coeur tout gonflé d'espoir et de vaillance,Tu fouettais tous ces vils marchands à tour de bras,Où tu fus maître enfin ? Le remords n'a-t-il pasPénétré dans ton flanc plus avant que la lance ?- Certes, je sortirai, quant à moi, satisfaitD'un monde où l'action n'est pas la soeur du rêve ;Puissé-je user du glaive et périr par le glaive !Saint Pierre a renié Jésus... il a bien fait

Quinze mois ont passé. Les amants n’ont plus eu de rendez-vous : la mort de Camille a apaisé leurs passions. Le deuil de Thérèse est fini, elle s’offre à Laurent à la seule condition du mariage. Chapitre 17 (p.118 à 126) Laurent est hanté par le remords d’avoir tué Camille : il s’imagine Camille dans ses rêves, sa morsure le brûle au cou plus que jamais, il passe de nombreuses nuits d’insomnie. Thérèse est aussi sujette aux mêmes hallucinations. Chapitre 18 (p.127 à 132) Les deux amants sont

l’enfant Cet enfant est un garçon il est né en 1316 et en vertu de la règle de masculinité et de primogéniture et d’hérédité , on reconnait Jean comme roi de France ms il est mort ms il prend ds l’ordre des roi des France sous le nom de Jean 1er le Posthume Un débat pour savoir qui de Jane ou de Philipe doit régner : le pts de drt est posé Chaque camps a ses partisans Jane a pour elle la règle d’hérédité, elle est la fille du roi, en plus loi de primogéniture c’est bien la 1ère , en matière féodale