Repartition Chez Malthus

de la terre. Introduction : • Problématique : Quelle est la place et le poids des européens dans l'histoire sur peuplement de l'Antiquité jusqu'au 19ème siècle ? • Notions : Peuplement = répartition de la population, les vides, les pleins, les foyers de peuplement, la densité. Geohistoire = une discipline qui étudie l'évolution dans le temps des phénomènes géographiques. Migrations = déplacements de population. I.Une longue stabilité

anonymes (telles que les sectes, la bureaucratie), * danger de soumission aux biens matériels (société de consommation), * danger lié à l'incapacité de choisir franchement entre le bien et le mal.De nombreux sociologues contemporains auront trouvé chez WEBER une source d’inspiration : * Les fonctionnalistes lui ont emprunté la notion d'action, * R. BOUDON en fait un précurseur de l'individualisme méthodologique et * P. BOURDIEU lui doit la notion de légitimité. | -------------------------------------------------

Histoire de la pensée… CHAPITRE 2 : LA THEORIE DE LA VALEUR TRAVAIL CHEZ LES CLASSIQUES. . Smith, Ricardo, Malthus, J.B Say, J.S Mill, Marx ●Analyse de SMITH de la valeur. . Smith, Ricardo et Marx sont les 3 auteurs que l’on peut rapprocher autour de la théorie de la valeur travail. Ils en formulent tous les 3 le corps théorique qui en fait l’unité de l’école classique. . Cependant, ils ont des approches différentes de cette théorie de la valeur. . A. Smith fait une analyse en terme

qui est : - Comment générer de la croissance économique ? L’économie pré-capitaliste, est une économie de survie qui est différent de l’économie d’amassement qui se présente actuellement. Une variable clé qui détermine la croissance est la répartition des richesses qui articule la dynamique de croissance économique. La croissance peut être définit comme étant une augmentation de la production, de la valeur des biens et des services produits. Or pour produire, il y a besoin de travail et de capital

(R. Th. Malthus 1798, 1ère édition de l'Essais sur le principe de population). Les objectifs de la redistribution Les objectifs économiques Les objectifs sociaux Les modalités de la redistribution La redistribution verticale La redistribution horizontale Les instruments de la redistribution Le rôle de l'impôt La protection sociale L'offre de services publics Conclusion : L'efficacité de la redistribution La redistribution représente « l'ensemble des opérations de répartition secondaire

d’une ville dépend principalement des migrations (dues à l’attrait de la ville) et aux décès. Les premiers à avoir étudié la natalité sont des économistes. En particulier, Malthus qui en 1800 sort un livre, où il développe une idée : tout accroissement de revenus se traduit par un accroissement des naissances, surtout chez les pauvres ; et de même quand les naissances croissent, les revenus diminuent. On le traduit ainsi : Il avance que la population est régulée de manière naturelle par les

est un discours qui est devenu une science au 19e siècle. A l’origine, l’économie n’est pas un corps de propositions scientifiques, c’est un ensemble de préoccupations subordonnées à d’autres questionnements. Par exemple l’économie est subordonnée chez les grecs à la pratique de la philosophie ; l'académie de Platon, et le lycée d'Aristote sont les lieux de réflexion de la philosophie matérielle. Platon est le père du communisme, il écrit dans la République comment la société doit être structurée

réunies. Mais dans la moitié des cas ces opérations sont un échec. - Les concentrations remettent en cause les principes de la concurrence pure et parfaite. Chez les néoclassiques est la condition nécessaire à l’obtention d’un équilibre général et à l’atteinte d’une situation optimale au sens de Pareto. Donc la concurrence pure et parfaite est chez les néoclassique sinéquanone à l’efficacité des marchés. De plus, en situation de monopole ou d’oligopole, les entreprises bénéficient d’un pouvoir de marché

effectivement en revenu. Dans ce sens l’épargne est un stimulant pour la croissance et non pas l’investissement qui suit seulement l’épargne. Des auteurs comme Malthus, Marx et Keynes mettent en doute cette conception. Pour Keynes, l’épargne, parce qu’elle réduit la consommation, empêche la demande d’être au rendez-vous (demande insuffisante). Chez Keynes en effet l’investissement joue un rôle crucial. C’est l’investissement qui engendre l’épargne en élevant le revenu selon le multiplicateur d’investissement

mesure de commander ou qu'il sera en état d'acheter». Au sein même du courant dit classique, il y a des théoriciens comme Jean Sismondi, qui apparaissent avec des idées peu ou prou humanistes. Malgré sa vision capitaliste, il critique la mauvaise répartition des richesses qui sont le résultat de la réunion du capital et du travail permettant de dégager une «mieux-value», comme la source de la pauvreté. Il explique de façon claire «lorsque ce partage se trouve trop en défaveur des ouvriers, il réduit