Repartition Chez Malthus

vous occupera de longues années avant une maigre retraite. Certes, de jeunes professeurs dénoncent (enfin !) principes de l'économie politique et de I'impôtg, et depuis on n'a pas dit mieux. L'économie. c'est fondamentalement la question de la répartition. Pourquoi ? Parce que la question du partage est liée à celle de la rareté et que, sans rareté, il n'y a pas de problème économique. Dans les sociétés d'abondance décrites par Marshall Sahlinsg, véritables sociétés pré-économiques où l'homme

théorie marxiste. Adam Smith est à l’origine de la pensée économique (Recherches sur les causes et la nature de la Richesse des Nations – 1776). Mais on peut faire remonter la réflexion économique beaucoup plus loin dans le temps. Celle-ci apparaît chez les philosophes grecs (Aristote, Platon etc.) Au Moyen-âge, c’est la morale chrétienne qui inspire la pensée économique (Saint-Augustin, Saint Thomas d’Aquin). Entre le XVIème et le XVIIIème siècle, c’est l’ère du mercantilisme (=Objectif de profit

relevé ? Augt° de la population mondiale voir chapitre précédent Augt° de la population urbaine. Les besoins des hommes = ration de 2400 kilocalories par personnes. Tout ceci entraine une augmentation des besoins alimentaires mondiaux. Pour Malthus (économiste du XVIIIème siècle) idée que la population augmente trop et que la production agricole ne suffira jamais à nourrir tout le monde. Pourtant aujourd’hui, la production agricole peut nourrir tout le monde hors il y a encore des inégalités

Mercantilistes. Dans les Classiques les plus connus on a : Adam Smith, David Ricardo, Thomas Malthus, Jean-Baptiste Say… ce sont des philosophes, des praticiens… Le terme a été employé pour la première fois par Marx dans Le Capital. Cette école de pensée est apparue lors de l’émergence de la société industrielle et du capitalisme. Ils cherchent avant tout à expliquer les phénomènes de croissance, de développement et de répartition des richesses entre les différentes classes sociales. Contrairement aux Physiocrates

L’individu, mû par la recherche de son propre intérêt contribue indirectement au bonheur collectif. L’utilité, définie comme une notion psychologique, peut être économiquement appréhendée à travers la notion de richesse. Smith, Malthus puis Ricardo, tous contemporains de Bentham, ont influencé la pensée utilitariste notamment dans ce domaine. Pour ces derniers, penseurs issus de la bourgeoisie britannique, la pauvreté serait une situation, qui est certes peu enviable

aussi sur les conséquences économiques en Europe aujourd’hui. La question de la croissance et de la démographie sont intimement liées. Le débat ne date pas d’aujourd’hui. Dès le 19ème siècle, les termes du débat sont posés : - d’un côté, Malthus (1766-1834) (« Essai sur le principe de population » en 1878), annonçant un avenir sombre aux populations humaines qui du fait de leurs tendances à se multiplier plus vite que les subsistances sont menacées de catastrophes récurrentes, - de

nouvelle répartition des activités par secteur et par région. Dans le cas d’une nouvelle répartition sectorielle des activités, on constate que les parts relatives de la production agricole, industrielle, de services marchands ou non marchands dans le PIB évoluent régulièrement. Le calcul de la production agricole, industrielle, de services... permet de rendre compte de cette évolution. En ce qui concerne la nouvelle répartition géographique des activités, on s’aperçoit également que la répartition des

titré : un programme de survie. Ligne s'adapte à la cartographie de la sous alimentation mondiale : PED et PMA. → Aujourd'hui la famine scinde donc le monde en deux parties : d'une part ceux qui la vivent et qui en meurt encore et d'autre part ceux chez qui elle a laissé des traces indélébiles – notamment au travers de la culture.  1) Dans les pays du nord, deux choses influencent nos représentations des famines : Littérature : Zola dans La Terre parlait de ces : « épouvantables misères, pendant

solutions : La première solution est de trouver un moyen de produire plus de richesses, il faut donc de la croissance économique afin de satisfaire tout le monde (production matérielle et immatérielle). La seconde solution est un autre mode de répartition des richesses (inégalité sociale par exemple). Comment répartir différemment les richesses afin d’atténuer la rareté et les conflits entre les acteurs ? La troisième solution est la substitution d'un bien par un autre. Les économistes ont deux

pourrait aisément être débattu dans le cadre du cours de la pensée économique ou dans une introduction à l'économie. Après tout, tout le monde sait ce que c'est que l'économie et pour reprendre Viner, "Economics is what economists do". Pourtant, même chez un Samuelson qui au contraire de bien d'autres n'a pas esquivé le problème, on sent dans la définition qu'il apporte, un certain malaise. Certes, lorsque celui-ci précise ce que l'économie est ou n'est pas et qu'il définit l'objet de l’économie, son