Représentation des connaissances

montrant qu'elle ne peut pas rendre compte de la connaissance. Pour rendre compte de la connaissance, il faut accorder à l'homme une manière d'être spécifique, ce qui ne revient pourtant pas à assumer la seconde thèse. PLAN Introduction 1. Le duel entre deux options A -Un simple point de vue sur l'homme B -La première thèse C -La seconde thèse 2. Réfutation de la première thèse, et idée d'une solution A -Présence et représentation B -L'esprit délimite pour lui-même la chose C -Nature

Commune Français, langue d’enseignement et littérature 601-102-MQ Littérature et imaginaire 3-1-3 2 1/3 601-101-MQ MARTIN LEMIRE A-447 POSTE 3521 martin.lemire@collanaud.qc.ca PRÉSENTATION DU COURS Énoncé de la compétence : Expliquer les représentations du monde contenues dans des textes littéraires de genres variés et de différentes époques. (4EF1) Place du cours dans la séquence Ce cours poursuit jusqu’à notre époque le survol de l’histoire de la littérature française entrepris dans le premier

la conscience de soi et la connaissance de soi. Pourtant, suffit-il de s’apercevoir, de se donner la représentation de soi-même pour prétendre être ce que j'ai conscience d'être ? Suis-je maître de mes représentations ?00 Ne me ferais-je pas plutôt des illusions sur moi ? La conscience est-elle immédiate ? N'est-elle pas immédiate et réfléchie ? Comment puis-je être à la fois sujet et objet de ma propre conscience ? Tout le problème est de savoir si nos représentations certifient ce que nous avons

Conscience Conscience, perception et connaissance de soi-même, de ses actes et du monde. Le mot « conscience » vient du latin conscientia qui signifie « accompagné de savoir ». Être conscient, c’est donc penser, agir ou sentir tout en sachant que l’on pense, que l’on agit ou que l’on sent. |2 | |DIFFÉRENTS TYPES DE CONSCIENCE | La conscience est dite spontanée ou directe si elle est intentionnelle, c’est-à-dire portée vers l’objet

de l’existence même de la réalité, de ce qui constitue les choses, les faits qui sont présents dans l’environnement et qui peuvent être perçus par tout le monde. Le problème de la connaissance est qu’on ne peut pas s’entendre sur ce qui constitue la réalité. Le problème n’est pas tant de savoir si les représentations sont vraies ou fausses que de savoir si elles sont utilisées efficacement par l’individu pour régler ses comportements. Texte classique fin : La perception est le produit de 3 facteurs :

habitués à analyser la représentation à partir d'un examen des supports médiatiques selon lequel on peut distinguer l'image et le langage, la représentation par ressemblance et la représentation par signes arbitraires. Or ce que permet la sémiotique de Peirce, au contraire, c'est de considérer les fonctions de la représentation sur un plan purement logique en évitant la réduction du support. En d'autres mots, rien n'empêche une représentation picturale ou une représentation linguistique de remplir

pas ça qui fait sa spécificité. Plan de cette année (3 problématiques) Dans le fonctionnement de l’esprit humain, quelle est la place de l’imagination ? I- Imagination envisagée comme faculté de représentation. (partie épistémologique) → La notion de représentation → La question du raisonnement par analogie → L’idée d’hypothèse et la place de l’imagination créatrice dans le raisonnement scientifique II- Imagination envisagée comme faculté de fiction

symbolique. Elle ne dépend pas de l'objet concret, mais de mon jugement autonome, Elle ne cherche ni la jouissance ni l'intérêt et ni même le bien. La beauté n'a pas d'autre finalité que sa propre forme ce qui fait que l'idée se compare à la représentation. Il se trouve que les jugements particuliers que nous portons sur la beauté sont communicables à d'autres personnes. Ils relèvent du sens commun. Bien qu'ils ne soient soumis à aucune règle ni principe objectifs, bien qu'ils soient dépourvus de

jugement de goût §1 : Quelques petites choses à savoir : Le jugement de goût n'est pas une faculté de l'entendement (logique), mais de l'imagination (esthétique) Le jugement de goût n'est alors pas un jugement logique, ni un jugement de connaissance, mais un jugement « esthétique, c'est-à-dire un jugement dont le principe déterminant ne peut être rien autre que subjectif » : le jugement esthétique a pour fondement le sujet qui l'exprime. L'imagination, chez Kant, est donc subjective

allemand du 18eme siècle Kant, aborde le thème général de la vérité, vu sous un angle précis qu’est la distinction entre phénomènes et chose en soi, d’où découle notre connaissance de la réalité. Il semblerait que la connaissance théorique que possède la raison ne provienne que des phénomènes observés, c’est-à-dire que la connaissance a priori ne se réduise qu’à l’observation d’actions visibles. Or, le problème que soulève Kant est que si nous ne pouvons connaître la chose en soi des objets, mais