Représentation mentale

usages prescrits et les usages effectifs 7.1.2. Les « significations d'usage » 7.1.2.1. Les constructions identitaires 7.1.2.2. Le continuum de pratiques 7.1.2.3. La socialisation des techniques 7.1.2.4. L'imaginaire technique et le rôle des représentations 7.2. Les technologies domestiques et l'évolution des modes de vie 7.2.1. Le remodelage des frontières entre les sphères publique et privée 7.2.2. La technicisation de la relation de communication 7.2.3. La question du lien social 7.3. L'usager

Martine Barthélémy Anne Muxel Annick Percheron Et si je vous dis famille... Note sur quelques représentations sociales de la famille In: Revue française de sociologie. 1986, 27-4. pp. 697-718. Citer ce document / Cite this document : Barthélémy Martine, Muxel Anne, Percheron Annick. Et si je vous dis famille.. Note sur quelques représentations sociales de la famille. In: Revue française de sociologie. 1986, 27-4. pp. 697-718. http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rfsoc_0035-2969_1986_num_27_4_2350

TRANSFORMATION DES REPRESENTATIONS INDIVIDUELLES DES MAISONS DE RETRAITES ET DE LEUR DEFICITAIRE. EFFET D UNE PRATIQUE MIXTE EN APA SUR DES PERSONNES VIVANT A DOMICILE. Présenté par Laporte Syndia Sous la direction de: Anne Marcellini Année Universitaire 2006-2007 SOMMAIRE Introduction Partie I: Approche théorie 1. Le vieillissement 2. Relation entre représentation sociale et Identité individuelle 2.1 Définition de la représentation sociale 2.2 Représentation

proposition. Partie 1 : la revue de littérature 1) l’image de marque a) Définition de l’image de marque L’image c’est l’ensemble des perceptions qu’un individu entretient a l’égard d’un objet. C’est également un ensemble de représentation mentale, personnelle et subjective. Elle résulte des connaissances et des attitudes des clients a un moment donné. Une marque est un nom, un signe, un symbole qui aide a identifié les biens ou services d’un vendeur et a les différenciés des concurrents

définitions 2. Stéréotypes et catégorisation C/ Représentations sociales 1. Origines du concept de représentation sociale 2. Entre l’individu et la collectivité II Méthodologie A/ Populations interrogées B/ le questionnaire III Résultats A/ Métiers masculins, métiers féminins B/ Proximité entre image de soi et professionnel C/ Qualités requises et qualités possédées D/ Expérience pratique, représentation sociale E/ Métier envisagé, métier rêvé F/ Comparaison

peut réduire la problématique soulevé par la planche I à une simple relation alimentaire. Il semble en effet qu’à cette planche, l’évocation du fait de se nourrir(banalité selon Mme Boulanger-Banneyguier) sert seulement de support symbolique à la représentation de la relation de dépendance à l’image maternelle comprise dans un sens beaucoup plus large et en particulier dans sa dimension de bon et/ou mauvais objet. En fait, les questions que pose la planche dans son contenu latent peuvent être ainsi résumées

lèvres et de la bouche), le traitement visuel susceptible de permettre, par exemple, la discrimination de visages non familiers, la génération des noms et la reconnaissance des visages familiers. Cette dernière suppose l’existence d’unités ou représentations stockées en mémoire (les unités de reconnaissance faciale ou URF) correspondant à ces visages. L’activation de ces unités conduit à l’identification de la personne, cette dernière pouvant être suivie d’une recherche du nom dans un « lexique de

majorité des chercheurs admet que produire un mot par écrit à partir d’une représentation imagée met en jeu les niveaux de traitement suivants: conceptuel/sémantique, orthographique et post-orthographiques (Ellis, 1982, 1984, 1988; Margolin, 1984, cités par Bonin, 2007). Produire un mot sous forme écrite à partir d’une image débute par une intention de communication, intention qui nécessite l’activation des représentations conceptuelles, sémantiques pertinentes. Celles-ci consistent en différents

conventionnelle sur la surface de l'eau forme une transition entre les deux styles de représentation. La première convention est plus immédiatement liée à ce que nous voyons, tandis que la seconde est plus abstraite et plus conceptualisée — et nous est, aujourd'hui, assez étrangère —, mais toutes les deux supposent la capacité et la volonté de traduire en signes sur le papier, selon des règles convenues, des représentations qui simplifient un aspect de la réalité : nous ne voyons pas un arbre comme une

et plus particulièrement nous étudierons le concept de soi en mathématiques. Concept de soi et compétences scolaires Reuchlin en 1991, définit un concept de soi scolaire qu’il nomme « son Moi-écolier, constitué par les représentations qu’il se fait de son personnage à l’école, personnage qu’il perçoit comme capable de réussir mieux ou moins bien que ses condisciples, comme aimé ou rejeté par l’enseignant, comme satisfaisant ou non les ambitions de ses parents, comme responsable