Reprises Nominales Et Pronominales

question. • La préface Les élèves comprennent que c’est l’auteur qui parle, à la première personne, et qu’il n’est pas Peter Schle- mihl. On l’indiquera avec un relevé sommaire des noms propres et de leurs substituts dans le texte (pronoms, groupes nominaux : « je », « nous »/ « il » ; « Adelbert von Chamisso »/ « Peter Schlemihl » ; « moi »/ « mon malheureux ami »). On notera par ailleurs que, en quelques lignes, le « grand jeune homme gauche » est devenu « un homme à longue barbe » : on verra donc

d'un verbe de dire introducteur et d'un mot de liaison entre ce dernier et le discours rapporté, indique que la reprise indirecte 3 / 17 M1 Pro – Di-Fle D. Fabienne UE 24 – Devoir Juillet 2012 (L2 n'est pas citer exactement) des propos est libre. Par ailleurs, l'effacement partiel du L1 derrière l'extrait rapporté corrobore cette interprétation. Donc, mis à part le syntagme nominal « sommet en mars » directement rapporté et ainsi typographiquement marqué par les guillemets, l'énoncé qui

renard et la cigogne, ne leur est pas si clair que ça ou que les « reliefs »... fussent-ils « d’ortolans » sont plus digestes aux rats qu’aux enfants. Et l’on songe, pour la syntaxe, à l’absence de déterminants pluriels dans certains groupes nominaux (« Rats en campagne aussitôt... »; « Bon appétit surtout, renards n’en manquent point. »...), et à l’usage des pronoms (place inhabituelle ou emploi disparu de certains tours avec l’impératif): Je l’allais aborder, quand d’un son plein d’éclat

« face ». Au vers 8, les différentes césures possibles tombent toutes sur un lien syntaxique fort. Soit à la cinquième syllabe, entre « le » et « pont » (le nom et son article), à la quatrième, entre « sous » et « le pont » (la préposition et le groupe nominal prépositionnel qu’elle introduit) ou à la sixième, entre « le pont » et « de nos bras » (le nom et son complément du nom). Cette césure impossible produit sur le lecteur une impression de manque, un effet d’inconfort et de flottement. Il y a donc

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . AU CONCOURS : exercices et analyses d’erreurs . . . . . . . . 203 209 213 218 223 227 230 234 238 242 246 254 La cohérence textuelle et l’énonciation 32 Les reprises nominales et pronominales . . . . . . . . . . 33 Les connecteurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34 Les différents systèmes d’énonciation . . . . . . . . . . . 35 Le discours rapporté . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

dans Le renard et la cigogne, ne leur est pas si clair que ça ou que les «reliefs»...fussent-ils «d’ortolans» sont plus digestes aux rats qu’aux enfants. Et l’on songe, pour la syntaxe, à l’absence de déterminants pluriels dans certains groupes nominaux ("Rats en campagne aussitôt... "; "Bon appétit surtout, renards n’en manquent point."...), et à l’usage des pronoms (place inhabituelle ou emploi disparu de certains tours avec l’impératif): Je l’allais aborder, quand d’un son plein d’éclat 

d’Isengrin a repoussé. Pour se venger, il va tendre un piège à Renart. Racontez brièvement cet épisode. Séance 17 (1h) : dominante langue, grammaire, récitation (les fables de La Fontaine vues précédemment : « le renard et le bouc ») Les reprises nominales et pronominales Séance 18 (1 h) : lecture cursive La parodie de genres en vogue au Moyen Âge : la chanson de geste et le roman courtois Textes : 1. « La pêche à la queue », Branche III, vv. 367-510, pp. 45-47 cf. annexe III 2. « Le Jugement de Renart

et d'articles où sont dénoncés avec vigueur les risques que fait courir la politique impériale des États-Unis. 1.  Le savoir linguistique L'ensemble des travaux linguistiques de Chomsky depuis 1955 se laisse décrire comme une tentative constamment reprise pour répondre aux deux questions suivantes :1. Comment caractériser le savoir linguistique d'un locuteur – Pierre, John, Mamuro, etc. – maîtrisant la langue de sa communauté ?2. Comment ce savoir linguistique, cette « langue interne » (LI) est-elle

laissant livré à lui-même. Symboliquement, ce n’est pas seulement son pays qui le fuit mais aussi son enfance. Le verbe « fuir » est important, il met en avant le sentiment d’abandon que ressent le personnage. 7. Le plan du métro est évoqué à plusieurs reprises dans cet extrait. Tout d’abord, le directeur de l’école le transmet au narrateur comme dans une cérémonie d’adoubement pour le jeune garçon. À la fin du texte, le narrateur évoque de nouveau le plan du métro qu’il sent dans sa poche. Cet épisode

puis à la République de Thiers. Dès le premier vers, la Mère est associée à cette bourgeoisie : Et la Mère (...) s'en allait satisfaite et très fière. Le verbe de mouvement « s'en allait » introduit une certaine théâtralité. Il s'agit d'un verbe pronominal, qui implique donc une notion d'auto satisfaction, renforcée par l'adverbe intensif dans « très fière. » La Mère est dès le début caricaturée, montrée comme une sorte de paon qui ne cherche que l'auto-satisfaction. Cette bourgeoisie bien pensante