Repère Spatio Temporels Dans Un Roman

I) Un incipit qui cherche à capter l’attention du lecteur (lignes 1 à 23)II) Un incipit qui met en scène deux personnages inattendus (lignes 24 à 46)Un roman de science-fiction expérimentaleQuelque chose qui est fondé sur de l’expérimentation, de la recherche Couches géologiques et génériquesLa nature littéraire multiple du roman est à l’image de celle des « terrains » et des couches géologiques successives ou pénètre peu à peu le trio masculin d’explorateurs. Développement :

La question du roman dans Jacques le fataliste de Denis Diderot  Problématique : JF remet-il en cause le genre romanesque et ses conventions ou le réinvente-t-il ? Comment et pourquoi ? Introduction : Tout au long de JF, le narrateur ne cesse de dénoncer l’appartenance de son œuvre au genre romanesque  «  ceci n’est point un roman, je vous l’ai déjà dit je crois et je le répète encore »(p.76). Mais qu’entend-il alors par «  roman » ? L’auteur refuse certaines conventions romanesques

identité. => figure du déraciner. Cadre patio-temporel quasi absent. Incipit déconcertant , inhabituel ou l'auteur laisse dérouler du temps dans la présentation du personnage. => 6 semaines => ellipse narrative => comme c'est toujours la même chose. Il regarde derrière lui et voit le sillage blanc que laisse le bateau => lien avec sont passé, il en éprouve de la nostalgie. Le sillage est de nouveau mentionné à la fin de l'extrait => fin des reproches temporels. Le personnage qui entre dans ce récit est

énoncé dans lequel celui qui parle s’implique. b. On observe le temps des verbes : le présent est utilisé pour exprimer ce qui correspond au moment de l’énonciation. C’est pourquoi on appelle ce présent le présent d’énonciation. Il sert de repère temporel. Les autres temps se choisissent par rapport à ce moment de l’énonciation. Temps de base : Passé composé Présent Futur ----------------------------------------------------------X------------------------------------------------------------------>

individualisée dans les actes de la vie quotidienne. →Ergonomie →Pompiers →Cours théoriques Méthodologie CRI Normes : -écrit de 8 pages -taille : 12 (écriture) -interligne : 1,5 -marge de droite : 2,5 -marge de gauche : 3 -police : times new roman -« Justifier » (texte droit et linéaire) -sommaire -paginé de 1 à 8 (sauf sommaire) -donner les références en bas de page →pour les citations de textes d’auteurs toujours ouvrir et fermer les guillemets et ne pas oublier l’Astérix et citer en

l’illusion de la réalité Þ comment ce roman s’inscrit-il dans le projet balzacien ? ß PROJETde BALZAC Titres signifiants Comment la NARRATION permet un TABLEAU DE MŒURS = VISION DU MONDE ß s’articulent : Les éléments narratifs / descriptifs Des éléments symboliques Des choix esthétiques ß Une Vision du Monde BALZAC, LA MAISON DU CHAT-QUI-PELOTE Structure spatio-temporelle Pages Durée de la Narra-tion Lieux Repères temporels 14 31 PARIS Rue Saint Denis

l’illusion de la réalité comment ce roman s’inscrit-il dans le projet balzacien ? PROJETde BALZAC Titres signifiants Comment la NARRATION permet un TABLEAU DE MŒURS = VISION DU MONDE s’articulent : Les éléments narratifs / descriptifs Des éléments symboliques Des choix esthétiques Une Vision du Monde BALZAC, LA MAISON DU CHAT-QUI-PELOTE Structure spatio-temporelle Pages Durée de la Narra-tion Lieux Repères temporels 14 31 PARIS Rue Saint Denis

qu'il définit dans Le Mythe de Sisyphe en 1942.  * *Révision rapide des valeurs de l’incipit : informer (intrigue, personnages, cadre spatio-temporel, horizons d’attente).*          L’incipit, ou plus précisément la première phrase de L’étranger est une phrase célèbre : « Aujourd’hui, maman est morte ». Célèbre sans doute par l’étrange choix que de commencer un roman par un aussi sinistre événement, mais également parce qu’elle donne immédiatement le ton de l’œuvre, et qu’elle nous fait d’emblée entrer

propres espèce). Ces bouleversements socio-culturels influencent éminemment le roman du XXème siècle qui porte les couleurs de la quête de sens et dont les codes traditionnels sont déconstruits. C’est dans ce contexte qu’est écrit et filmé Zazie dans le métro, écrit par Raymond Queneau (publié en 1959) et adapté au cinéma par Louis Malle en 1960. Bien que le lecteur, spectateur rapproche aisément le cadre spatio-temporel de l’histoire à celui de l’écriture de l’œuvre (Paris des années 1950), il ne

découvre cent mille pour les autres et enfin personne pour lui-même (d’où le choix du titre de l’œuvre). Pour ces deux auteurs, les principaux thèmes communs étaient les questions sur la folie et l’identité. Pour faire un lien entre ces deux romans, et avec le sujet donné, Paul Valéry écrit dans ses Cahiers : «  Mon idée la plus intime est de ne pouvoir être celui que je suis. Je ne puis me reconnaître dans une figure finie. » ce qui correspond au fait que si un être