Res Publica

dévouement total. Le rituel de la fidélité vient immédiatement après l’hommage. Le vassal jure sur la Bible ou les reliques des Saints d’être fidèle à son seigneur. L’époque est donc caractérisée par une quasi-disparition de l’idée  de res publica, elle connaît dans le même temps un morcellement du pouvoir. Les principautés territoriales sont issues des grands commandements militaires ou des concessions faites aux envahisseurs (ainsi la Normandie est cédée au chef Rollon en 911, en échange

-----------------------→ ROYAUTE -509 REPUBLIQUE -27 EMPIRE Royauté: le régime est dirigé par le roi qui possède le pouvoir. République: de res publica, chose publique, idée de citoyenneté, Etat, consul, assemblées... Empire: pouvoir de l'empereur, tuteur de la res poublica, dépositaire du pouvoir L'Empereur possède trois pouvoirs fondamentaux: - Autocritas: augmenter l'efficacité d'un acte juridique ou d'un droit (RDD d'un individu sur X ou un

race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée. » A préciser : une constitution est l’ensemble des lois qui organisent un pays. Nous allons expliquer ce texte : Le mot république vient du latin « res publica » : la chose publique. Cela veut dire que la république est pour le peuple, par le peuple et est du peuple. Il s’agit d’un régime politique dans lequel le peuple exerce sa souveraineté directement pu par l’intermédiaire d’élus. 1. Valeurs :

fin officiellement à la guerre. Une nouvelle Europe. Population vieillie : beaucoup de jeunes sont morts aux combats. Diktat ou paix dictée : les vaincus ne participent pas aux négociations. La République. République : du latin « res publica », la chose publique, c’est un régime politique ou le pouvoir n’est ni une dictature ni une monarchie. Symboles de la France : signes qui représentent la France : la Marianne, la Devise, le 14 Juillet, le Coq, le Drapeau Tricolore, la Marseillaise

auctoritas et la conception du pouvoir Mérovingien Dans la conception romaine, « gouverner » est différent de « dominer », le but du pouvoir est : l’intérêt général. Ce principe c’est la « res publica », la chose publique (Cicéron), par opposition à la chose appartenant privativement à une personne. Cette res publica est soumise à un droit différent de celui qui régit les rapports privés. Trois notions sont utilisées à l’époque romaine pour désigner trois types de pouvoir au contenu différent. L’Imperium

manière démagogique en s’appuyant sur le petit peuple. Cette situation est très mal supportée par les grandes familles romaines : En -509 le régime royal de Tarquin le superbe s’effondre sous la révolution aristocratique. Rome devient alors une « Res Publica ». A la tête de cette république un petit groupe ; les patriciens. Les autres citoyens romains ; la plèbe, se révoltent. Le droit n’étant réservé qu’aux patriciens, ils se sentent exclus de la société et victime d’un gouvernement arbitraire. La

de la vie publique. On ne saurait en conséquence la renégocier sans cesse, notamment au gré des fluctuations du paysage religieux ou des rapports de forces qui les sous-tendent. La puissance publique, chose commune à tous comme le dit le latin res publica, sera neutre sur le plan confessionnel : neuter, en latin « ni l’un ni l’autre ». Cette neutralité confessionnelle est à la fois la garantie d’impartialité et condition pour que chacun, quelle que soit sa conviction spirituelle, puisse se reconnaître

ensemble de personne qui accompagne un haut personne, ici c’est le roi. Naturellement le roi mérovingien est maitre de cette suite, il est uni à ses sujets par un lien personnel. Cette conception est très en retrait par rapport à l’idée romaine de res publica. Mais une telle notion est beaucoup trop abstraite pour être intelligible par des Francs, pour lesquels le pouvoir est d’abord lié au charisme du chef. Au charisme du chef auquel on doit soumission. D’ailleurs à l’origine tous les soldats lui prêtaient

particulièrement indifférent ; Le troisième, plus loin encore, au visage extatique, et devant la surprise du pèlerin qui avait encore en mémoire les paroles des deux autres, lui dit alors « moi, je construis une cathédrale ». Moi, ma cathédrale, c’est la RES PUBLICA (la chose publique) qu’en français on appelle REPUBLIQUE et dont la devise est fière à notre ORIENT : Liberté, Egalité, Fraternité » **** C’est cette lumière qui me fit, enfin, comprendre qu’il me fallait polir… mais quelle pierre ? •

Guerre mondiale, la France opte à nouveau pour le régime républicain. 1946-1958 : 4ème République -1958 : Coup d’Etat (contexte : Guerre d’Algérie) 1958-A nos jours : 5ème République (LA NOTRE) L’IDEAL REPUBLICAIN -REPUBLIQUE vient du latin res publica qui signifie « la chose publique ». =Existence d'un espace public, commun à tous les membres de la collectivité. -Espace régi par des lois qui s'appliquent à tous ! -Pour penseurs de l'Antiquité et du Moyen Âge : intérêt public qui prime sur