Respecter Les Méchants

I. Satire de guerre 1. Parodie de l’exploit chevaleresque - Animalisation des personnages dit « méchants », vus comme des opposants p227 « il lui cassait les reins comme à un chien », « il les culbutait comme des porcs » = Rabelais image une scène assez crue afin d’interpeler son lecteur de façon à ce que ce dernier ait la même vision que lui de ces « méchants ». - Parodie générale de la chevalerie : principal argument basé sur la satire de la chanson de Geste et sur la chanson de Roland :

|(59 % ou moins) | | |L’introduction comprend les trois parties|L’introduction comprend les trois parties |L’introduction comprend les trois parties |L’introduction comprend les trois |L’introduction ne respecte pas les | | |obligatoires que sont le sujet amené, le |obligatoires que sont le sujet amené, le |obligatoires que sont le sujet amené, le |parties obligatoires que sont le sujet |règles liées aux trois parties | | |sujet

Au XVIIème siècle, les écrivains s'appuient sur des modèles antiques assignantune fonction morale à l'art. Le classicisme a comme principaux principes plaire et instruire. Le théâtre permet De plus, les dénouements qui châtient les méchants représentent des leçons morales. Dans le classicisme, la raison commande à l'art avant la beauté. Il veut présenter une image du réel mettant en avant ses caractéristiques essentielles et permanentes Les règles du théâtre classique sont début créer por

méfaits de la civilisation, fait un éloge de la vie naturelle et sur quoi repose sa force oratoire. Proposition de plan : I. Les méfaits de la civilisation : • Destruction et immoralité des colons : Diderot qualifie les hommes civilisés de " méchants " (l.8). Il utilise un champ lexical fort pour souligner cette cruauté avec des verbes comme " enchaîner ", " égorger ", " assujettir ", " se haïr ", " asservir "… Ce champ lexical renforce l'attitude des européens envers les Tahitiens et Diderot

Selon le dictionnaire le respect c’est : « 1) Sentiment qui porte à accorder à quelqu’un de la considération en raison de la valeur qu’on lui reconnait 2) Fait de respecter des règles, des usages.» Qu’est ce que le respect pour toi ? Le respect c’est ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………………………………………………………………………… Selon le dictionnaire

ce discours présente les méfaits de la civilisation, fait un éloge de la vie naturelle et sur quoi repose sa force oratoire. I. LES MÉFAITS DE LA CIVILISATION Destruction et immoralité des colons : Diderot qualifie les hommes civilisés de « méchants ». Il utilise un champ lexical fort pour souligner cette cruauté avec des verbes comme « enchaîner », « égorger », « assujettir », « se haïr », « asservir »… Ce champ lexical renforce l'attitude des Européens envers les Tahitiens et Diderot développe

les concepts de liberté et de tolérance : " nous sommes libres " (l.22). La liberté se manifeste également en opposition au terme " esclavage " et à travers le souci de tolérance : la compréhension d'autrui est marquée par l'expression " nous avons respecté l'image qui est en toi " et aussi par les questions rhétoriques des lignes 31 à 35. Un monde où la vie est simple : Diderot insiste fortement sur l'absence de superflu à la fin de cet extrait : " Tout ce qui est (…) possédons ", " lorsque nous

apprendre à être constant et responsable. Par exemple, auparavant, on apprenait qu’on ne devait pas dire de mensonges et si on le faisait, notre mère nous disputait. Si on le refaisait, elle perdait notre confiance. Il fallait donc éviter d’être méchant. En vérité, toute action entraîne une conséquence ; si on interdit à nos enfants d’aller en vacances à cause d’une mauvaise conduite, ils apprennent ce qu’ils ne doivent jamais refaire. D’autre part, il y a certaines situations où la sévérité devient

pu tout controler et tout connaitre d’avance si j’avais simplement construit des automates” (p.86). Voila pourquoi certains doute de l’existence de notre Pere, car ils ne comprennent pas que Dieu ne peut pas intervenir sur nos decisions puisqu’il respecte notre liberte. Toute sa puissance s’est divisee parmi chacun de nous. La veracite des propos de l’Inconnu font realiser au vieil homme qu’il est capable de croire en l’existence d’une divinite, mais il y a toujours une epine qui le ramene au doute

A-L'état de nature selon Rousseau L’homme à l’état de nature pour Rousseau est l’homme tel qu’il serait s’il n’était pas un être social. Rousseau dit d’un tel être qu’il serait «bon» parce qu’il serait dans l’impossibilité d’être méchant. En effet, pour être méchant, il faut vouloir le mal de son semblable. Mais pour avoir des semblables, il faut déjà vivre en société. N’ayant pas de «prochain», l’homme à l’état de nature ne peut lui vouloir ni bien ni mal. Sa «bonté» est donc purement négative