Responsabilite Des Peres Et Meres Du Fait De Leur Enfant Mineur

censé affaiblir l’homme. Les garçons dès l’âge de 9 ou 10 ans sont séparés de leur mère et de leur sœur et enfermés ensemble dans la « maison des hommes » après avoir eu le nez percé. Les hommes vivent entre eux. L’émancipation sexuelle de l’homme se fait en milieu clos dans le cadre de relations homosexuelles. La vie familiale n’existe pas avec une séparation nette des deux sexes jusqu’à l’âge de la reproduction. Chez les Swazi d’Afrique du sud, la famille est polygame. L’homme ne vit pas avec

familial peut résulter soit de la filiation, donc de la parenté, soit du mariage. La filiation peut résulter, premièrement d’un lien de sang des liens charnels (liens biologiques), et cette filiation peut exister soit dans le cadre d’un mariage (enfants légitime), soit hors mariage (naturel). La filiation peut résulter d’un lien artificiel, on parle alors de la filiation adoptive. La parenté ce divise en parenté « en ligne directe », et en parenté « en ligne collatérale ». La parenté en ligne directeest

la famille. Il en résulte une ambiguïté du vocable famille. Il y a deux types: la famille désignant les liés par le sang et éventuellement les alliés; la famille entendue comme le groupe de personnes vivant ensemble dans le même foyer (parents et enfants). S'agissant du couple, ce-dernier a longtemps été exclusivement ou presque fondé sur le mariage, les époux ne pouvant pas se choisir librement alors que maintenant si. Toutefois, les conjoints ne peuvent échapper complètement aux mécanismes socioculturels

vue. Ce qui va faire que le droit de la famille est différent est l’évolution des mœurs, les idées quant à la famille, au mariage, à la filiation ne sont plus les mêmes. A côté de ces changements intellectuels, on retrouve aussi des changements du fait des progrès de la science. Le droit se doit de suivre les certitudes rendues possibles grâce à la science. Le droit de la famille change aussi car notre droit interne est sous l’emprise d’autre droit et en autre du droit de l’UE avec la convention

faculté mentale et les mineurs. I- l’incapable mineur Depuis le 5 juillet 1974 l’article 488 du code civil la loi fixe la majorité à 18 ans au lieu de 21ans. Ils sont placés dans une condition particulière. Il existe une exception l’émancipation. Chapitre 1 : le mineur non émancipé Le mineur est placé dans une condition juridique particulière, qui va se traduire par la mise en place d’un régime de protection. Section 1 : le gouvernement de la personne du mineur : l’autorité parentale

personnalité juridique lorsqu’il était condamné aux peines les plus graves. L’ancien code pénal avait prévu que l’individu pouvait être frappé de mort civil. Cela veut dire que sa succession est ouverte, ses biens lui sont enlevés et attribués à ses enfants. Il était dépourvu de droit et d’obligation. En 1854 il y a l’abolition de la mort civil. Personne vient de persona qui signifie masque et dans le pièces antiques les acteurs portaient un persona qui révélait le rôle qu’ils devaient jouer sur

Mariage et citoyenneté Seuls les citoyens romains sont habilités à conclure un "Iustum Matrimonium", une juste noce, un mariage conforme au droit avec tous les effets qui y sont attachés, notamment la patria potestas, la puissance paternelle sur ses enfants. Il ne peut pas y avoir de mariage entre esclaves ni entre esclaves et sujets libres ni même entre romains et non-romains. Le mariage est réservé aux citoyens romains, pour les autres, leur union peut revêtir la forme d'un concubinat caractérisé

qualité d’une personne juridique Personne juridique : le fait d’être titulaire de droit et d’obligations et qui de se fait à un rôle dans l’activité juridique, on dit également sujet de droit, tout les êtres humains sont des personnes juridiques. Dans le langage juridique la personne est celle apte à posséder des biens, à exercer des droits et à participer au commerce juridique en effectuent des opérations affectant son patrimoine, le fait de pouvoir participer est une capacité juridique, c’est là

personne, l’objet de ce premier bloc est le droit de la personnalité. Puis les titres V à IX, les dispositions de ce 2° bloc ne font plus apparaître la personne isolément mais dans les rapports inter individuels, entre mari et femme, parents et enfants, c’est le droit de la famille. Enfin les titres X à XII font resurgir l’individu diminué. Il s’agit des incapacités. Deux sous titres : la personnalité juridique, et les incapacités, puisque le droit de la famille fera l’objet du cours du second

texte met l’accent sur la liberté de se marier ou non ainsi que sur la liberté du consentement. A. La liberté matrimoniale Chaque personne a le droit de se marier s’il le souhaite et est libre de choisir son partenaire. Le Conseil constitutionnel a fait de la liberté de se marier, un droit a valeur constitutionnel. Aucune lois ne peuvent porter atteinte à la loi. Aucune autorité ne peut porter atteinte au droit de se marier. Pourtant, il existe des actes juridiques qui contiennent des dispositions