Responsabilité Et Jugement Hannah Arendt

des individus inégaux en faits », de Pierre Bourdieu D- Vers de nouvelles formes d’Ecole… II/ Les enseignants : p.20 A- Définition et évolution du statut d’enseignant au cours du temps B- La pédagogie selon Montaigne et Hannah Arendt C- Le malaise enseignant D- Les solutions proposées par le gouvernement III/ Les élèves : p.26 A- L’élève selon les sociologues B- Quelques mots de Daniel Pennac… C- La question des redoublements

expérience traumatique, avec des émotions fortes (anxiété,peur et fierté) pour consolider les enseignements reçus. L'instruction est faite de rites qui confèrent un caractère aux démarches par lesquelles chaque génération se prépare partager ses responsabilités avec celle qui suit. Dans notre société en raison de l'âge précoce auquel nous assujettissons nos enfants aux disciplines scolaires, ces démonstrations de la vie collective touchent l'individu dans ses profondeurs et elles peuvent devenir dangereuses

dimension de l’action, « action intentionnelle d'un ou plusieurs groupes ayant pour fin la satisfaction d'objectifs particuliers ou généraux »[20]. Quand elle analyse ce qui peut justifier les mécanismes d’oppression d’une majorité par une minorité, Hannah ARENDT y voit la difficulté de se coordonner quand on est un grand nombre et que le sentiment d’impuissance est entretenu par les dominants. Elle fait ce parallèle en prenant pour exemple, les exactions menées par EICHMANN durant la seconde guerre mondiale

La responsabilité de l’obéissant à un ordre militaire Et la faculté du droit pénal international à y répondre Sabir M. KADEL (Master 1, Droit comparé appliqué et théorie du droit) 1 INTRODUCTION "The deeds were monstrous, but the doer was quite ordinary, commonplace, and neither demonic or monstrous." 1 Un an avant l’accession au pouvoir d’Hitler, Ernst Jünger publiait Der Arbeiter, Herrschaft und Gestalt. Chez l’écrivain allemand, cet arbeiter est une personne « projetée »2, au sens

pensée comme pur moyen. La technique ne serait, en elle-même, ni bonne, ni mauvaise ; ni libératrice, ni asservissante ; ni épanouissante, ni aliénante ; ni utile, ni inutile ; mais seul l’usage qu’on en fait pourrait être l’objet d’un jugement de valeur. La responsabilité incomberait à ceux qui fixent les fins, un moyen ne pourrait par principe être ce qui détermine les fins. L’indétermination des fins de la technique ferait la neutralité de principe de la technique. Au contraire ne faut-il pas penser

 Responsable mais pas coupable De qui est de quoi sommes-nous réellement responsables ? Est-ce que le fait d’obéir à la loi est un acte plus responsable que d’y désobéir ? Dans le langage courant la responsabilité est définie comme le devoir de répondre de ses actes, toutes circonstances et conséquences comprises. Pourtant on peut se poser la question de la culpabilité de la personne qui émet un acte pensé comme responsable et qui ce transforme en abus ou crime. Cette question de la culpabilité

pistes de réflexion et non d’une copie type nécessairement attendue par vos correcteurs. D’autres approches, d’autres thèses et arguments sont possibles. Une fausse piste qu’il fallait éviter : Croire que le sujet avait comme enjeu essentiel le jugement moral que nous portons sur les politiques. En particulier, des développements sur les « affaires » récentes étaient peu pertinents. Non parce que ces « affaires » n’ont pas d’intérêt philosophique, mais d’abord parce que la philosophie n’est pas

p.5 B. Leibniz et la théodicée……..……………………………………………....p.6 C. Le tournant kantien et le mal radical……………………………………....p.8 III. Que faire du mal ? ………………………………………………………………..p.9 A. Epictète et l’acceptation stoïcienne …………………………………….….p.9 B. Hannah Arendt et la banalité du mal……………………………….………p.11 C. Paul Ricœur et le mal comme « pro-vocation »……………………………p.12 Conclusion………………………………………………………………………………...p.13 Bibliographie………………………………………………………………………….…..p.15 2 Introduction : « Que le monde

autorité —, je proposerai de relier la question de l'autorité à celle de l'éducation à la liberté : dans une société pluraliste et démocratique, l'autorité est mise au service de la liberté. Reprenant des analyses de la philosophe américaine Hannah Arendt, je distinguerai l'autorité hiérarchique, dont le but est l'obéissance et la docilité, d'une autorité de raison, dont le but est la persuasion et la liberté, et non la conformité. Cete réflexion s’inscrit par ailleurs dans le cadre d’un renouveau

l’origine. Cependant une réelle menace plane sur l’homme face au fait qu’il se sente dépassé et aliéné par les progrès techniques. Une maitrise de la technique est possible, elle passe par une prise de conscience de l’homme impliquant la notion de responsabilité face à la nature et face à lui-même. La technique peut être vue comme construction du monde, comme construction d’un monde spécifiquement humain. Bergson reprend cette idée du mythe de Prométhée qui fait de la technique le propre de l’humanité