Reverie De Hugo

 Commentaire composé sur Les travailleurs de la mer (de Victor Hugo), Première partie, Livre 1, chapitre VII, « De ce qu’il lui était arrivé » […] « Le rêve est l’aquarium de la nuit». Les travailleurs de la mer est un roman de Victor Hugo qu’il a écrit pendant qu’il était exilé à l’île anglo-normande de Guernesey et qui est dédié à elle et à ses habitants. Il a été publié en 1866, après Les misérables. C’est un roman qui appartient au Romantisme. L’histoire tourne autour de trois caractères :

Laforgue & « Rêverie » Victor Hugo I La couleur des poèmes 1. Obscurité au rayonnement • Chez Jules Laforgue, on remarque le champ lexical de l’obscurité « ciel gris rayé »V2, « brume de suie V3, « ombres » V4. Chez Victor Hugo, champ lexical de l’obscurité : « brume » V2, « brouillard » V12 « ciel d’automne » V14 mais qui est accompagné par le champs lexical de la luminosité « géant rougit » V3, « jaunissant » V4, « flèches d’or » V12… Symbole de l’espoir dans le poème de Victor Hugo. Chez Laforgue

récurrents du romantisme L'amour L'amour romantique ne se réduit pas au cliché habituel. Il existe incontestablement une idéalisation de l'amour : « La réduction de l'univers à un seul être, la dilatation d'un seul être jusqu'à Dieu, voilà l'amour » (Hugo, Les Misérables). Cet amour passionnel s'oppose au mariage qui n'est qu'un arrangement froid et réfléchi excluant d'emblée l'exaltation des sentiments. Néanmoins, l'amour romantique est loin d'être idyllique : la violence de la passion est aussi la

sont deux le premier est Jean-Jacques Rousseau, qui ouvre le pré- Romantisme français puisqu'il a été le premier à écrire sur Soi. Par exemple  « Les Confessions » (rédigées entre 1765 et 1770, avec publication posthume en 1782 et 1789) et « Les Rêveries du promeneur solitaire » (écrites en 1776-1778, publiées en 1782). Un exemple de sa autobiographie est « Je veux montrer à mes semblable un homme dans toute sa vérité de la nature, cet homme ce sera moi ».Le deuxième précurseurs est Chateaubriand

Ce corpus qui nous est proposé est composé de quatre textes issue de recueil de poème de quatre auteurs de 19ème siècle. Ainsi les poème Rêverie de Victor Hugo issue du recueil Les orientales (1828); Rêve parisien de Baudelaire issue du recueil Les Fleurs du mal (1861); Sonnet Boiteux de Verlaine issue du recueil Jadis et naguère (1884) et le poème de Verhaeren issue de Les villes tentaculaires (1895) sont ici présentés. Ces quatre poème ont pour thème commun la ville. Nous allons étudier quel image

passé, puisqu’ils se réclament de Shakespeare, qui mélangeait les genres (tragédie, comédie) et les régistres (tragique, lyrique, grotesque). Cette nouvelle revendication est celle de la totalité. Les jeunes romantiques se réunient auprès de Victor Hugo pour lire et commenter Shakespeare et Byron en dénonçant les «erreurs» du classicisme. Mais ce mouvement n’est pas français d’origine, il est inspiré de l’Allemagne (Goethe, Schiller), mais aussi de l’Italie et de l’Angleterre. Mme de Staël, à travers

diversité des rimes (8 sonorités) participe ainsi à la fantaisie annoncée par le titre. Des rimes croisées et des rimes embrasées s´alternent dans ce poème. Par exemple, strophe 1 et 2. De même, dans le poème d´Hugo, Rêverie, on peut qualifier le rythme du poème de musical. En effet, Hugo a pratiqué l´alexandrin avec prédilection, et il a tiré les effets les plus divers, soit par le jeu des coupes ou des enjambements. On peut aussi remarquer que ce poème a lui aussi 8 sonorités différentes.

Le dossier proposé traite de l’ambition et de la rêverie et pose la question de l’ambition comme manifestation positive de notre aptitude à rêver. Afin d’analyser cette question, il conviendra de considérer l’ambition et la rêverie comme une force pour avancer dans la vie puis de les voir comme dangereuses et destructrices. L’ambition comme la rêverie sont des aptitudes que les hommes possèdent et se servent pour se faire une place dans la société et avancer dans la vie. Paul Valadier, dans son

Texte 1 Hugo, Les Orientales, 1829 Rêverie Oh ! Laissez-moi ! C’est l’heure où l’horizon qui fume Cache un front inégal sous un cercle de brume, L’heure où l’astre géant rougit et disparaît. Le grand bois jaunissant dore seul la colline : On dirait qu’en ces jours où l’automne décline, Le soleil et la pluie ont rouillé la forêt. Oh ! Qui fera surgir soudain, qui fera naître, Là-bas, - tandis que seul je rêve à la fenêtre Et que l’ombre s’amasse au fond du corridor, Quelque ville

Dans ce corpus, quatre textes nous sont présentés, Rêverie de Victor Hugo écrit en 1828, Rêve parisien de Charles Baudelaire daté de 1861, Sonnet boiteux Paul Verlaine en 1884 et un extrait de Les villes tentaculaires écrit par Emile Verhaeren en 1895. Tous ces poèmes ont pour thème commun la ville, décrite différement par chacun des auteurs présentés. Nous allons donc étudier quelle image de la ville se dégage des textes du corpus par les éléments positifs et ensuite les éléments négatifs. Chacun