Revue française de sociologie

texte intitulé « Bérénice aux 3 pères » est un extrait de l'ouvrage : « Le sang, le nom, le quotidien », lui même écrit par Florence Weber, aux éditions « Aux lieux d'être », publié en 2005. Florence Weber est une sociologue et anthropologue française. Elle a travaillé sur le monde rural et ouvrier. L'auteur étudie les émotions, les sentiments et les liens familiaux de Bérénice, au sein du contexte juridique et historique de la France de 1972 à aujourd'hui. Le texte nous est délivré à partir

Source: Revue française de sociologie, Vol. 12, Numéro Special: Analyse de Systèmes en Sciences Sociales (2) (1971), pp. 169-181 Structure des > en science politique Author(s): Gérard Bergeron Source: Canadian Journal of Political Science / Revue canadienne de science politique, Vol. 3, No. 2 (Jun., 1970), pp. 205-240. Ceci est un qui explique le fonctionnalisme tout faisant une critique de ce concept. Author(s): Georges Lavau Source: Canadian Journal of Political Science / Revue canadienne

« Utopies Locales et Laboratoire Social : L’exemple du 13ème arrondissement de Paris » de Anne Raulin Ce texte est un article publié par Anne Raulin, qui est une sociologue française et professeur à l’université Paris X – Nanterre. Anne Raulin appartient à l’Ecole sociologique de France mais elle est membre de l’Ecole sociologique de Chicago. Elle consacre cet article sur la ville de Paris et plus particulièrement sur le XIIIème arrondissement qu’elle considère comme un « laboratoire social »

pourrait-on dire. La sociologie politique elle « désigne une approche au sens large de la science des phénomènes politiques, qui les considère à la fois sous l’angle des institutions juridiques, de l’histoire, de la géographie humaine, de l’économie, de la démographie, etc. » selon Maurice Duverger. Jean Pierre Mounier lui résume en expliquant que « La sociologie politique est la fille incestueuse de l’histoire et du droit ». (11 Cot (J-P.), & Mounier (J-P.), Pour une sociologie politique, éditions

Editorial Préférences théoriques, choix méthodologiques et recherche française en Entrepreneuriat : un bilan provisoire des travaux entrepris depuis dix ans par Bertrand SAPORTA Co-Rédacteur en Chef de la Revue La publication du deuxième numéro de la Revue de l’Entrepreneuriat, qui a quelque peu tardé pour des raisons que l’on peut aisément comprendre (la relative jeunesse de l’Entrepreneuriat comme champ disciplinaire en France), nous donne l’occasion de prolonger les réflexions que nous avions

discipline considérée par notre société de consommation basée sur la primauté de l’économie, comme étant un hobby, un passe temps qui n’intéresse pas grand monde. Une conclusion qui condamne de nombreux départements d’anthropologie dans les universités française à la restriction de budget au mieux, à la disparition lente et progressive quasi systématique. Les différents ouvrages étudiés permettent de contredire ces thèses infondées, portées par les rois du bénéfice financier et des lois de la concurrence

appropriés puisqu’ils renvoient à des phénomènes de croyance, de foi ou de pouvoir institutionnel. La domination d’une théorie est alors traitée comme un état de fait qui n’aurait guère de fondement objectif et qui relèverait essentiellement de la sociologie des pratiques scientifiques. Mais il devient sans doute tout aussi difficile, à l’opposé, de continuer de parler de “la théorie néo-classique” puisque ce serait ignorer le statut qu’elle revêt désormais de “quasi-science normale”. Une position intermédiaire

Karl Abraham, Rêve et mythe, œuvres complètes, Paris, petite bibliothèque Payot, t.1, 1977. Didier Anzieu, «Le moi-peau», Nouvelle revue de psychanalyse, n°9, printemps 1974. Antonin Artaud, « Le Théâtre et son double », Œuvres complètes, tome IV, Paris, Gallimard, 1978. Colette Assouly-Piquet, « double, mère et mort », in : Psychanalyse à l’université, revue trimestrielle, t.II, n°42, avril 1986. Paul-Laurent Assoun, Freud, la philosophie et les philosophes, Paris, PUF, 2005. Gaston Bachelard

social, éducateur spécialisé, gestion urbaine, animation sociale et urbaine) sont dispensées en IUT et en dépit de quelques conventions d’enseignement ici ou là entre quelques centres de formation et des départements d’universités (cursus de sociologie, administration économique et sociale, sciences de l’éducation…), alors que la situation est bien différente chez nos voisins européens (filières universitaires de travail social, pédagogie sociale, orthopédagogie…) ou d’outre-Atlantique (travail

que membres de l’organisation et leur comportement en dehors de celle-ci. C’est l’autorité qui confère à l’organisation sa structure formelle » (Simon, 1983). La notion de pouvoir a d’ailleurs été une question centrale dans les études sur la sociologie des organisations notamment chez M. Crozier et E. Friedberg. Dans « Pouvoir et organisation », (1964), M. Crozier parvient à une définition du pouvoir dans laquelle se dégage deux aspects. L’aspect « organisation », c’est : « il n’y a pas d’organisation