Rhétorique Dilemme

dispute éclate et don Diègue insulte le comte : "Qui n'a pu l'obtenir ne le méritait pas" (scène 3). Don Diègue est hors de lui, il doit se venger (scène 4). Il demande à son fils Rodrigue de le venger en combattant le père de Chimène (scène 5). Le dilemme cornélien apparaît avec la conclusion suivante de Rodrigue : "Courons à la vengeance" (scène 6). ACTE II Le comte ne regrette pas son geste et ne craint pas la colère du roi (scène 1). Rodrigue retrouve l'offenseur de son père et réussit à le

dispute éclate et don Diègue insulte le comte : "Qui n'a pu l'obtenir ne le méritait pas" (scène 3). Don Diègue est hors de lui, il doit se venger (scène 4). Il demande à son fils Rodrigue de le venger en combattant le père de Chimène (scène 5). Le dilemme cornélien apparaît avec la conclusion suivante de Rodrigue : "Courons à la vengeance" (scène 6).


ACTE II
Le comte ne regrette pas son geste et ne craint pas la colère du roi (scène 1). Rodrigue retrouve l'offenseur de son père et réussit à le convaincre

 ils  mourront.     à Toujours  le  même  schéma  :  Médée  est  le  bras  armé,  Jason  le  responsable.       II. Le  désarroi  et  l’amour  tragique  :  le  dilemme  cornélien     a) La  mère  :  rythme  binaire  pour  l’amour  maternel   § À  la  fois  regrets  &  remords  =>  les  enfants  comme  son  frère  son  innocent.   §

dispute éclate et don Diègue insulte le comte : "Qui n'a pu l'obtenir ne le méritait pas" (scène 3). Don Diègue est hors de lui, il doit se venger (scène 4). Il demande à son fils Rodrigue de le venger en combattant le père de Chimène (scène 5). Le dilemme cornélien apparaît avec la conclusion suivante de Rodrigue : "Courons à la vengeance" (scène 6). ACTE II Le comte ne regrette pas son geste et ne craint pas la colère du roi (scène 1). Rodrigue retrouve l'offenseur de son père et réussit à le convaincre

dispute éclate et don Diègue insulte le comte : "Qui n'a pu l'obtenir ne le méritait pas" (scène 3). Don Diègue est hors de lui, il doit se venger (scène 4). Il demande à son fils Rodrigue de le venger en combattant le père de Chimène (scène 5). Le dilemme cornélien apparaît avec la conclusion suivante de Rodrigue : "Courons à la vengeance" (scène 6). ACTE II Le comte ne regrette pas son geste et ne craint pas la colère du roi (scène 1). Rodrigue retrouve l'offenseur de son père et réussit à le convaincre

crime, dilemme, devoir. 6-Le titre Le Cid est un titre donné à Rodrigue suite à la guerre gagnée face aux Maures. Ce titre signifie seigneur. 7-Une scène à part : les stances du Cid A/ Le nombre de syllabes par vers est : 10 ; 12; 12 ; 12 ; 12 ; 6 ; 10 ; 6; 10 ; 10. Les rimes sont embrassées sur les 4 premiers vers, elles sont suivies sur les 2 vers suivants et croisés dans les 4 derniers vers. B/ Un dilemme cornélien est un dilemme entre l’amour et le devoir. On remarque clairement un dilemme cornélien

qui s'interroge dans ces stances sur la décision à prendre (...) Sommaire: Introduction I) Un monologue lyrique A. Une forme poétique B. Un registre lyrique II) Structure argumentative A. Le dilemme de Rodrigue B. Progression de l'argumentation C. Structure rhétorique III) Un moment dramatique : la naissance d'un héros A. L'affirmation de valeurs héroïques B. L'humanité du héros cornélien Conclusion Texte étudié: "Percé jusques au fond du coeur D'une atteinte

Andromaque III, 8. Commentaire (Éléments de réponse) 1. Axe 1 : Le dilemme. Le personnage d’Andromaque est placé dans une situation déchirante : si elle épouse Pyrrhus, elle trahit son père, sa patrie et son mari; mais si elle reste fidèle à l’amour des vaincus, elle sacrifie son fils. Ce déchirement tragique se marque de façon sensible dans la composition même du passage : Andromaque est prise tour à tour par deux mouvements contraires qui opposent deux « souvenirs ».

Andromaque III, 8. Commentaire (Éléments de réponse) 1. Axe 1 : Le dilemme. Le personnage d’Andromaque est placé dans une situation déchirante : si elle épouse Pyrrhus, elle trahit son père, sa patrie et son mari; mais si elle reste fidèle à l’amour des vaincus, elle sacrifie son fils. Ce déchirement tragique se marque de façon sensible dans la composition même du passage : Andromaque est prise tour à tour par deux mouvements contraires qui opposent deux « souvenirs ». 1e sous-partie :

1. Le problème du choix : suspense et coup de théâtre Le dilemme qui occupe Rodrigue est centré autour de la notion de devoir. Il pense avoir des devoirs autant envers son père (en ce qui concerne l’honneur) qu’envers sa maîtresse (en ce qui concerne l’amour). Il s’exclame au vers 322 : « Je dois à ma maîtresse aussi bien qu’à mon père » ; puis, au moment où se situe le retournement de situation, dans la dernière strophe : « Je dois tout à mon père avant qu’à ma maîtresse ». L’équilibre des hémistiches