Rhétorique Dilemme

Diègue, dans un monologue est anéanti d'avoir perdue cet affront malgré son age, il regrette de n'avoir pu garder en main son épée qui lui a tant servi. Il demande à son fils Rodrigue de le venger en tuant le comte malgré son amour pour Chimène Le dilemme cornélien apparaît venger son père et perde son amante ou laisser son père déshonoré pour ménager celle qu'il aime. Mais il se résigne a tué le comte car il se dit qu'il deviendrait indigne de Chimène en ne vengeant pas son offense Dans l'acte II:

vous des batailles Ce sang qui tout sorti fume encor du courroux… ‘’ Elle réclame justice auprès du roi en évoquant les services rendus par son père à ce dernier. Ainsi donc par sa position de chef, le roi a le devoir de dissoudre le dilemme qui empêche l’union des deux amants. Pour cela, il utilise une stratégie qui conduit les amoureux à une évidence : l’amour qu’ils ressentent l’un pour l’autre. b- L’Honneur par le Devoir L’honneur est aussi un aboutissement du devoir exercé

contraint de faire un choix. Rodrigue, dans l'acte 1 scène 6, vient de s'entretenir avec son père, Don Diègue. Il lui apprend qu'il a été terriblement humilié par le père de Chimène. Il demande donc a son fils de le venger. D'une part nous verrons le dilemme Cornélien de Rodrigue, d'autre part nous étudierons la résolution du conflit . Tout d'abord, Rodrigue fait un monologue, il doit choisir entre amour et honneur. Dans ce texte on peut savoir que l'amour qu'il porte envers Chimène est

ainsi intéressant de nous demander ; En quoi les personnages de ce roman sont des héros tragiques ? Nous étudierons, dans un premier temps, le dilemme interne face auquel se trouvent les personnages pour analyser ensuite, dans un deuxième temps, en quoi ils sont tout de même admirables. Nous constatons que Madame de Cleves est face à un vrai dilemme Cornélien, caractéristique d’une tragédie classique: elle est devant un choix impossible entre deux valeurs tout aussi importantes ce qui implique

Ensuite, c’est un monologue traduisant le dilemme Cornélien, choix douloureux quasi  impossible entre l’honneur et l’amour. Effectivement, nous observons le combat intérieur au v  11­2 et le temps d’affrontement entre les deux systèmes au v1 avec un hyperbole et une  métaphore. Aussi, la construction est binaire. Nous le voyons avec l’antithèse v 12 où les deux  termes se rapprochent à la césure, avec l’opposition v 21 des mots mettant ainsi en relief le  dilemme et avec au v14  la métonymie. De plus

douloureuse problématique pour le héros II. La recherche tourmentée d'une solution III. Une prise de décision libératrice DÉVELOPPEMENT II. La recherche tourmentée d'une solution A. Dilemme entre l'amour et l'honneur 1. Double champ lexical de l'honneur et de l'amour a) «Mon père» (v.12), «honneur» (v.15), «gloire» (v.26) = honneur b) «Feu» (v.10), «amour» (v.15), «Chimène» (v.13,23

ce qu'elle exprime dans le monologue suivant, qui ouvre l'acte III. Impératif ? L'expression d'une situation déchirante Dilemme exprimée par des chiasmes (femme/fille ; époux et amour/frère et nature) Rime interne de "Horace" et "Curiaces" séparé par la césure vers2 ce qui en souligne l'opposition Antithèse entre "souhaitons" et "craignons" vers4 Dilemme cornélien = qui oppose la raison et les sentiments Opposition entre une réponse héroïque et la douleur de la réalité Opposition

Le dilemme du prisonnier Le résultat d’une négociation résultant avant tout de la stratégie adoptée par chacun des protagonistes est souvent illustrée avec l’histoire du « dilemme du prisonnier », jeu conçu et enseigné à Princeton à la fin des années 1940 par le mathématicien Albert Tucker (alors directeur de thèse de John Nash). L’histoire est la suivante : deux individus (A et B) qui ont commis un délit ensemble sont arrêtés et interrogés séparément. Chaque prisonnier a le choix entre deux stratégies

Il ne s'agit pas d'une alternative, non négative en soi et qui permet un choix entre deux options qui intéressent celui qui agit, mais d'un dilemme qui, quelle que soit l'option choisie, aura, du fait même du choix réalisé, des conséquences négatives. Ce dilemme est appelé « cornélien » du nom de son inventeur Pierre Corneille, qui l'expose dans plusieurs de ses pièces, dont les plus connues sont Le Cid et Polyeucte. Racine a mis en scène un choix cornélien dans sa pièce Andromaque, au sujet de

refuse, et du coup, doit faire un choix. Elle est face à un dilemme que cette scène met en évidence entre son fils et son défunt mari. Elle s'interroge sur la possibilité de trahir Troie, soit : oublier le massacre et oublier l'amour qu'elle avait pour son mari ou alors rester fidèle à Troie, mais en tuant Astyanax. Comment Andromaque va-t-elle remédier à ce dilemme ? Nous verrons donc ici dans une première partie la puissance tragique du dilemme qui déchire Andromaque, et enfin la puissance virtuelle