Rhétorique Dilemme

du monologue et les formes qu'il peut prendre. Un monologue survient souvent à un moment de la pièce où un des personnages se retrouve confronté à une situation difficile. Il traduit souvent un conflit intérieur, et nous informe sur un dilemme auquel le personnage fait face. Dans Le Cid, Rodrigue est tiraillé par choix cornélien, venger son père et d'offenser sa bien-aimée ou de ne pas faire de mal à Chimène et de laisser l'affront que son père a subit impuni. A travers cette stance, Rodrigue

toutes les idées sont bonnes. L’étudiant de Maisonneuve est en faveur de l’utilisé comme argument. Ceux qui défendent le contraire sont soit mal informés soit trop influencés par leur société. vin point d’enseigne L’étudiant Pinville utilise le faux dilemme car il n’a que deux possibilité pour les lecteurs qui affirment le contraire de lui. Il finit après cette phrase avec un proverbe pour sous tenir son argument. Ceux qui, comme Georges W.Bush, défendent que leurs normes sont des vérités absolues sont

Sommaire: Introduction Un monologue lyrique A. Une forme poétique B. Un registre lyrique Structure argumentative A. Le dilemme de Rodrigue B. Progression de l'argumentation C. figure de rhétorique I la décision A. L'affirmation de valeurs héroïques B. L'humanité du héros cornélien Le Cid est une tragi-comédie du 17ème siècle écrite par Pierre Corneille, qui raconte les exploits de Don Rodrigue,un jeune noble espagnol. Le conflit entre Don Gormas, père de Chimène, et Don Diègue

vraisemblance : ne se confond pas avec elle mais fait partie de l’horizon d’attente du spectateur. Une forme rhétorique La tragédie serait « la mise en scène d’un dilemme négatif »[2], le personnage est pris dans un dilemme d’ordre moral qu’il ne peut résoudre positivement. Entrent en jeu la « sphère du public » et la « sphère du privé » : les interférences entre ces deux sphères créent problèmes et dilemmes. Une conception claire de la notion de tragique Le tragique du XVII° est une notion datée, attention

véritable dilemme. Pyrrhus tente d'emporter la victoire sur Andromaque rejetant sur elle toute la responsabilité d'un choix tragique. Nous étudions dans cette scène la stylistique de la persuasion qui caractérise PYRRHUS. Extrait: Scène 7 de l'acte III, cette tirade de Pyrrhus ne laisse place à aucune possibilité de réponse immédiate de la part d'Andromaque. Elle cristallise l'alternative à laquelle la veuve d'Hector est maintenant sommée de répondre. Or, ce choix est un véritable dilemme : sau

pathétique : « Malheureux objet », « mal infini » II) Structure argumentative : Rodrigue ne se contente pas de déplorer la situation, son monologue est aussi une argumentation qui progresse et le mène à la délibération A. Le dilemme de Rodrigue * Dilemme : hésiter entre deux choix douloureux. L’un aussi bien que l’autre. Il est tiraillé : il doit trancher dans une situation qu’il n’a pas choisie. Image métaphorique du combat. Combat intérieur, il devient lui-même le symbole de l’affrontement

questions et y répondent mutuellement : C’est la fonction de l’énonciateur et du destinataire. Le monologue comporte lui aussi cet échange d’idées et d’arguments à travers l’utilisation de questions rhétoriques auxquelles répond par lui-même le personnage. On retrouve ainsi ce questionnement rhétorique dans l’énergique monologue d’Harpagon (II.7) de L’Avare de Molière. Harpagon, riche bourgeois obsédé par l’argent, à l’habitude de se précipiter dès qu’il peut dans son jardin pour vérifier que les

suggérer le mouvement des personnages donc une scène dynamique présentation du dilemme folleville doit choisir de dire a manicamp qu'il ne veut pas épousé sa fille ou de se taire et de l’épouser, des exclamations, langage soutenu de l'époque scène d'exposition n'ai que une longue tirade de folleville avec des exclamions des apostrophes « oh » des questions rhétorique L3 on assiste à une longue réflexion sur son dilemme., Dans le texte 3 cette fois ci nous avons ; nom des personnages dévalorise avec

non seulement le dépit mais la colère de Bérénice Champs lexicaux de la souffrance et la séparation Les exclamatives expriment son état d'esprit, son désespoir(v.13;19;20) et dénotent le désespoir de la protagoniste Les interrogatives rhétoriques vers 13 14 21 22 28 marquent son sentiment d'impuissance face à cette décision La présence d'antithèses v21 22 23 mettent en exergue la souffrance de l'une et l'indifférence de l'autre Bérénice tente d'argumenter en exprimant sa colère

divertissement. En effet lui seul sait rassembler et émouvoir autour d'un même thème toutes les classes sociales sans distinction que ce soit la noblesse, la bourgeoisie ou le peuple. Art noble, la visée classique a fait du théâtre un art de la rhétorique formellement parfait, limitant de ce fait le théâtre à sa partie écrite, comme le dit si bien M. Arthaud (1896-1948) dans Le Théâtre et son double (1938) : « Pour nous, au théâtre, la Parole est tout et il n'y a pas de possibilité en dehors d'elle »