Rime

est la rime, qui est féminine car tous les vers terminent par un “ e” non accentué. Donc, dans la première strophe tous les vers ont la même terminaison qui est « de ». Dans la deuxième strophe la première rime (ne) se trouve dans les vers 1,3 et 5, comme brune, fortune et lune. Tandis que, dans la seconde (aise) se détecte dans les vers 2,4 et 6 ; et la troisième est la même chose que la deuxième, mais avec la différence qu’il y a sept vers avec le but de ne perdre pas le son de la rime. Par

structure : 1. Strophes : 4 quatrains ; 4 distiques (4x le même) = refrain, dimension musicale et répétitive 2. Rimes : Quatrains : abaa / Distiques : rimes suivies (« heure/ demeure », rime suffisante) / retour du premier vers à la fin du quatrième quatrain : relative uniformité sonore : emploi d’une mê rime sur Six des vingt-quatre vers du poème 3. Vers employé : Alt. vers courts / vers + longs : Quatrains : 1er et dernier vers = décasyllabes ; deuxième : quatre syll ; troisième : hexasyllabes

couleurs: noir et rouge", "les yeux s'étonnent" L'odorat : "sentir «　x2, "parfums sinistres" (oxymore) L'ouïe : "siffle", "tonnent", "bruissait", "cris", "pleure" On a des rimes entre les différents sens : "gifle" rime avec "siffle", "tonne" rime avec "s'étonne" - "sinistre" rime avec "sistre" ---> bruit particulièrement négatif ---> suggère la violence et la souffrance "Oh" : cris de douleur On a la présence de figure humaine : "le passant", "sueur humaine", "bouges" (rapport avec

est formé de 2 quatrains et 2 tercets, mais ce n’est pas un sonnet.Vers : alternance alexandrins – vers à 5 syllabes, combinance vers pairs et impairs Six rimes : les 2 premières strophes ont une rime en commun en – oile, rimes croisées sauf les 2 dernières qui sont plates, alternance rime féminine – rime masculine (originalité) Ambiguïté du sens de « mer » (vers 1 et vers 13) Trois phrases seulement, dont 2 exclamatives. Elles se complètent en s’opposant : la 2e phrase est une gradation ascendante

long des vers régulier, il est nommé alexandrin car il est employé dans le romand d'Alexandre. Tel qu'il est fixé par Malherbe, l'alexandrin, qui comporte 12 syllabes, a deux accents toniques fixes: l'un a la césure (6 ème syllabes) et l'autre à la rime. L'alexandrin est donc souvent composé de deux mesures de ces syllabes qu'on appelles les deux hémistiches. La versification classique exige que le rythme syntaxique coïncide avec celui du vers c-a-d que la syntaxe épouse la forme du vers. Il faut

données techniques en une présentation générale ; les détails sont présentés dans les pages césure, diérèse, enjambement, hémistiche, hiatus, métrique, rime, strophe, synérèse, vers, etc. Sommaire 1 Le vers 1.1 Métrique 1.1.1 Décompte des syllabes 1.1.2 Règle du e caduc 1.1.3 Diérèse et synérèse 1.1.4 Hiatus 1.2 Noms basés sur la métrique 1.3 Rime 1.3.1 Noms 1.3.2 Féminin et masculin 1.3.3 Singulier et pluriel 1.3.4 Richesse 1.4 Rythme 1.4.1 Accent tonique 1.4.2 Coupe 1.4.3 Césure

de donner une couleur franches, préfère les couleurs nuancées. Cette teinte se diffuse au delà des yeux mais aussi de la personne aimé car décrit tout l'automne Topos de l'automne est enrichi et vivifé par la rime « empoisonne » qui est nouveau, rime féminine (même avec -ent), d'habitude rime monotone (v1/3 + v6/7) Vers rimés sauf le v2 (orphelin de rimes vu que cassé en deux) Le regard était assez large avec la vision du pré, après la focalisation se ressere, d'abord sur les vaches, ensuite le

fois, l'antithèse "tout" / "moi" fait apparaître le moi comme bien seul et vulnérable ; l'énumération du vers suivant nomme les auteurs : le monde extérieur, le corps et l'intériorité, le diable. La première strophe sonne comme un aveu rejeté à la rime embrassée : "tout me tente" / "tout" m'enchante et montre les attraits du mal. Le quatrième vers du premier quatrain montre les déchirements du poète partagé entre le bien et le mal, les sentiments contradictoires ("abisme" / "enchante" ; "ébransle"

pièces dans un temps particulièrement court, à l’exemple des Fâcheux, de Monsieur de Pourceaugnac ou de L’Impromptu de Versailles . Il vante sa facilité à jouer de la rime et à adapter si aisément sa pensée aux lois de la poésie (v. 1 à 10). Il le tient pour particulièrement avantagé d’un don naturel à l’accès d’un travail si élevé de la rime, tout en le considérant comme le protégé d’Apollon (v.3). Nous constatons que Boileau ne ménage ni les mots, ni les comparaisons, ni le regard éminent qu’il prétend

à un véritable revirement de situation : la charnière s'opère entre les vers 34 et 35. Les mots à la rime « sa disgrâce », « se passe » traduisent la dissipation du sentiment d'infortune. Le drame, le vœux de chasteté laisse la place à la coquetterie comme le montre le lexique de la beauté : « habits », « linge », « coiffure » (vers 37), « parure » (vers 38), « atours » (vers 39. Les mots à la rime « atours » (vers 39) et « amours » (vers 40) instaurent une ambiance galante, badine là où régné « larmes