Rime

rimes dans cette strophe. Tout d’abord il y a la rime entre lointaines et plaines qui constitue une rime suffisante par la répétition de deux phonèmes : {ai} et {n}.La rime entre « décroît » et « croit » constitue également une rime suffisante par la répétition des phonèmes {r} et {oi}. La rime entre décroit croit et toit constitue une rime pauvre par la répétition du phonème {oi}. Pour finir la rime entre sautelle grêle et grêle constitue une rime riche par la répétition du phonème {r}, {e}

anaphore afin de le ridiculisé.Le renard quand a lui représente la ruse connaissant les usages de la Cour, il ne parle qu'après autorisation du roi.Il prétexte un rhume afin de ne pas se prononcer. Ce stratagème lui permettra de garder la vie sauve. La rime 18/20 relis L'ours et le Singe et mettent en relief leurs attitudes opposé qui ne leur empêchera pas de leur permettre d'avoir le même sort. La transposition animal permet de faire une critique à la Cour satirique, le contraste entre les thermes officiel

(incluant la tragédie comme la comédie), et l’utilisation du vers s’imposera comme la première caractéristique de la poésie, la différenciant ainsi de la prose, chargée de l’expression commune que l’on qualifiera de prosaïque Le Moyen-âge invente la rime, utilise des vers réguliers. Le rythme permet un effet harmonieux et la mémorisation de textes longs (chanson de geste) souvent accompagnés de musique et de danse. La versification naît de la nécessité d’arranger les mots usuels de même que la musique

I-Organisation du poème -la découpe des vers Six syllabes combinées sur deux vers reproduisent le rythme de l'alexandrin. Le poème se découpe en quatre strophes de quatre vers. - Les répétitions Dans chacune des strophes apparaît, en position forte à la rime ou à la césure le mot cœur. Pour éviter la raideur, le poète fait varier le déterminant qui le précède, "mon cœur", "ce cœur", "un cœur" ainsi que la position du mot dans le vers. Tout se fait écho dans ce poème ciselé comme les ballades ou les rondeaux

« yeux fermés » V.4 « éblouissent » Champ lex de la vue  sens et vision qui naît de l’odeur du corps de la femme  sens visuel + lumière I) Rivages heureux Personnification Sensation positive  l’idéal II) Heureux, chaleureux Rime Lien avec l’idéal II) « se dérouler » « « rivages » « heureux » Allitération en r Musicalité = sens auditif II) ou III) V.4 « feux » « Soleil » Champ lex de la chaleur Sensation agréable II) Automne, monotone Rimes riches  insistance

souvenir, que me veux-tu ? L'AUTOMNE Faisait voler la grive à travers l'air atone. les rimes et les sonoritées : 1- les rimes a) richesse ou qualité des rimes : Rime pauvre : un seul son commun ( ex : chanté/retiré , couteau/troupeau ) Rime suffisante : deux sons communs (ex : air/ clair, maudit/dit ) Rime riche : toirs sons commuuns ou plus ( ex : glaives/lèves , prunelles/Fraternelles) b) genre : Traditionnellement, on fait alterner rimes féminines ( terminées par un e muet

associé avec la mort. Les idées de ces vers sont aussi liées L’idée dans le deuxième vers est d'être ouvert à la vie Et celui de la sixième strophe qui finit l'idée de combattre la mort et l'oubli. «Route» à la fin du troisième vers aussi rime avec « lutte »à la fin du cinquième vers. La liaison entre ces deux mots est très importante à cause du message d'optimisme et de résistance qu’Éluard veut communiquer. Il veut encourager le lecteur de suivre la même route que Péri, de combattre

rimes sont plates(srophes 1 et 3) et elles alternent les finales féminines et masculines: FFMM FFMM FFMM Presence de rimes riches dans la premiere strophe: -(voi/ture) (aven/ture) -(ét/ourdi) (eng/ourdi) Troisième strophe: -(v/ivre) (én/ivre) Rime suffisantes: -(c/ieu/x) (mess/ieu/rs) Les strophes sont regulieres . Ce poème contient beaucoup de ponctuation.Cela créé un effet de lenteur qui aide à la compréhension et a la fluidité de la lecteur. Les points d’exclamations eux sont la pour

ensorcelante  Paresse extrêmement présente cf. chp lex (paresse, mélancolie, lit, rêve, dort, oisiveté, langueur , dormant, yeux entrouverts)  Eloge de la paresse : louange + « ce plaisir » + adj mélio précédés abv d’intensité « si » + mise à la rime « charmant/ dormant » ( attirant de dormir)  Mise en valeur de la paresse C) Lutte en sursauts  Lutte contre la paresse : sonorités dures « accablés, mélancolie, fagoté, Quichote, comme, qui, guerre, comte, langueur »  perçues comme le sursaut

ne s’agit plus ici d’un souci de construction rigoureuse mais d’une manifestation du désespoir. 2/ Dissonance entre la beauté et la vulgarité ·Paysage maritime = repos, beauté calme, cf. : les albatros sont « indolents ». Mais : 1e fissure, rime mer / amers => évocation des malheurs liés à cette beauté trompeuse. ·Les compagnons deviennent des prisonniers. Différence entre « qui suivent » et « prennent », détournement du mouvement naturel vers la captivité + « souvent » et présent de vérité