Risque Bancaire En Tunisie

Résultats au 31 décembre 2011 Exportations Source : DPEG, HCP, Office des Changes (*) y compris Voyages, (**) Recettes des investissements et prêts privés étrangers 5 Conjoncture macro-économique 2011 Tunisie - Sénégal Tunisie: Croissance du PIB à prix constants Tunisie Croissance é C i économique quasi nulle en 2011E en i i ll raison du contexte politique local et régional Impact sur les secteurs moteurs de l’économie tunisienne (tourisme, IDE,…) Inflation maitrisée à 3 5% en 2011E

stratégie d'investissement adoptée n'est pas source de désajustements. http://www.apbt.org.tn Association Professionnelle Tunisienne des Banques et des Etablissements Financiers 2 Dans ce dossier sur l’Investissement et son Financement en Tunisie on passera en revue quelques éclairages sur une question à plusieurs facettes. I. L’INVESTISSEMENT DANS LA COMPTABILITE NATIONALE Pour l’économie nationale, l’investissement ou «formation brute de capital » correspond, à un accroissement du capital

son explication dans la nature du système bancaire tunisien qui a pour longtemps été un marché de nature anticoncurrentiel, fortement règlementé et relevant de la puissance publique, aussi bien en terme d’entrée dans le secteur, qu’en terme de fixation des règles de fonctionnement du marché. A l’heure actuelle, la déréglementation du secteur et la mise en place de la concurrence à présent réunie, conduisent progressivement à l’émergence d’un paysage bancaire nouveau. Confronter depuis peu à cette mutation

MONTESQUIEU - BORDEAUX IV ECOLE DOCTORALE ENTREPRISE, ECONOMIE, SOCIETE, (E.D. 42) UNIVERSITE DE TUNIS INSTITUT SUPERIEUR DE GESTION DE TUNIS DOCTORAT ès SCIENCES ECONOMIQUES Rim BOUSSAADA L’IMPACT DE LA GOUVERNANCE BANCAIRE ET DE LA RELATION BANCAIRE SUR LE RISQUE DE CRÉDIT : CAS DES BANQUES TUNISIENNES Thèse en cotutelle dirigée par M. Daniel LABARONNE, Maître de conférences, HDR et M. Abdelwahed OMRI, Professeur Soutenue le 14 septembre 2012 Jury: Mme Fatma Wyem BEN MRAD DOUAGI

crédits……………………………………………………………………………….20 2.2.2 Types de crédits………………………………………………………………………………………….20 2.2.3 Les cartes magnétiques…………………………………………………………………………………23 Chapitre 3  : le réseau de la STB………………………………………………………………………………………......27 3.1. Le réseau bancaire de la STB et ses types…………………………………………………………...…………28 3.2. Le réseau local(LAN) de la STB………………………………………………………………………………….28 3.3. Le réseau étendu (WAN) de la STB………………………………………………………………………………29 3.4. Fonctionnalités du réseau WAN de la STB………………………………………………………………

................................................................................6 Partie II: Finance islamique au Maroc ..........................................................................................9 Chapitre 1 : Situation du secteur bancaire................................................................................9 Chapitre 2 : Place de la finance islamique au Maroc ..........................................................12 Partie III: Perspectives et Défis de la Finance islamique

pouvoir de contrôle. Article 3 : Le montant total des risques encourus sur les dirigeants et les administrateurs ainsi que sur les actionnaires dont la participation au capital est supérieure à 10 %, ne doivent pas excéder 3 fois les fonds propres nets de la banque. Article 4 (nouveau)(3) : Les fonds propres nets de chaque banque doivent représenter en permanence au moins 8% du total de son actif (bilan et hors bilan) pondéré en fonction des risques encourus. Article 5 (nouveau)(4) : Les fonds propres

L’évaluation du risque de crédit par la technique du crédit scoring Houda Hedfi Encadreur universitaire : madame Boulila Neila Encadreur professionnel : Radhouan Cougea 2011/2012 CHAPITRE : I : PRESENTATION D’AMEN BANK ET DE LA DIRECTION FINANCEMENT : I-Aperçue général de l’Amen Bank : II-la direction financement : CHAPITRE : II : RISQUES BANCAIRE ET MODELE D’EVALUATION : LE CREDIT SCORING :

dans la Comptabilité Contrôle Audit, Strasbourg : France (2009)" LA GESTION DES RESULTATS DANS LES BANQUES TUNISIENNES : VERS UNE GESTION REELLE Sarra ELLEUCH HAMZA Maître assistant, ISCAE, Laboratoire LIGUE, Campus Universitaire 2010, Manouba, Tunisie, Sarra.ell@iscae.rnu.tn Neila BOULILA TAKTAK Maître assistant, Unité DEFI à l’ESSECT, Université de Tunis, 4 Rue Abou-zakaria Hafsi Montfleury 1089 Tunis, 216 (98) 956 121 neila_boulila@yahoo.fr halshs-00459371, version 1 - 23 Feb 2010 Résumé

paiement et de transaction…, l’externalisation dans le secteur bancaire reste pour le moment confinée à des domaines clairement identifiés. Les établissements bancaires pourraient être amenés à externaliser davantage dans le futur, les activités relatives à la gestion d’actifs, à l’analyse financière, à la comptabilité, aux questions juridiques et aux ressources humaines. Dans la mesure où l’externalisation s’accompagne néanmoins de risques importants parfaitement identifiés, la majorité des banques