Roman Divertir Ou Faire Réfléchir

est construit de deux parties, dont on peut appeler l'une le corps, l'autre l'âme. Le corps est la fable, l'âme la morale."  L'efficacité de l'apologue tient au fait qu'il implique un double niveau de lecture, qui correspond à sa double fonction : divertir et instruire. Ce dernier nous propose donc une histoire généralement simple, avec des personnages fictifs représentatifs d'une société. Et d'autre part il doit apporter le lecteur à s'interroger pour comprendre la valeur symbolique et les enseignements

écrits en vers pour donner une leçon de vie. La fable instruit et divertit en même temps. Comme dans la plupart des fables, l'aspect pittoresque est toujours très présent. La Fontaine cherche à divertir le lecteur pour qu'il intègre mieux l'enseignement de la fable. Dans La grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf , on assiste à une comédie divertissante, avec une chute comique qui surprend le lecteur : l'éclatement de la grenouille après avoir déployé des efforts

contenue est d’une tout autre valeur que ne le promettait la boîte: c’est-à-dire que les matières ici traitées ne sont pas si folâtres que le titre le prétendait.» (ibid.) Voilà donc le but premier de l’écrivain: appâter le lecteur suffisamment, le faire rire, pour qu’une fois dans les meilleures dispositions possibles, il puisse (s’il le désire, bien évidemment) tenter de rechercher ce que cache cet humour populaire et souvent vulgaire. Il faut «... par une lecture attentive et une méditation assidue

variées et apprend à penser (idée précise).  L’école est donc le lieu éducatif par excellence (idée générale). Le raisonnement par analogie : opère par rapprochement et par contagion. On glisse d’un domaine à un autre. Le raisonnement concessif : faire une concession à son adversaire consiste à donner dans un premier temps raison à la thèse adverse pour mieux remettre en question ensuite les arguments qu’elle emploie. Le raisonnement par l’absurde : il permet de confronter deux éléments qui n’ont

appartenir n'existe plus. Ensuite parce que les autres groupes sociaux qu'il rencontre auront de la peine à le prendre au sérieux, enfin par son statut hiérarchique qui le sépare de ceux que sa bravoure veut secourir et qui la plupart du temps n'ont que faire de son aide. Le problème c'est qu'en voulant vivre une vie de chevalier errant, Don Quichotte se doit de rencontrer des semblables, des seigneurs, des châteaux, des gentes dames... alors que tout ce contexte social a disparu. Celui qui veut jouir

l’énonciation dans le texte. Dans le texte présenté, l'auteur, Victor Hugo s'adresse aux gens de pouvoir, les législateurs. Nous observons à la fin du texte qu'il s'agit d'une préface écrite par lui même quelques années (1832) après la publication de son roman « Le dernier jour d'un condamné » (1829). On observe également que l'auteur s'adresse aux législateurs car il utilise des mots tels que « Ceux qui jugent et qui condamnent » (l 1) et en utilisant le vous, par exemple « vous objectez » (l 3), « Si vous

décors, les personnages, la parole symbolisent des lieux, des êtres, du langage que l’on retrouve dans la réalité. Le décor d’abord. Comme le montre la didascalie de l’extrait de On ne badine pas avec l’amour : « Devant le château », il s’agit de faire comme si l’on était devant un château. De même avec les nombreux décors du Dom Juan de Molière, le spectateur est convié à un déplacement imaginaire d’espaces en espaces : palais, bord de mer, forêt, etc. La plupart du temps, les décors du théâtre

Dans quelle mesure une œuvre de fiction (littéraire, cinématographique ..) peut-elle inciter à réfléchir sur le monde qui nous entoure et tout particulièrement sur les dangers qui le menacent ? Vous vous appuierez sur des exemples tirés du corpus et sur vos lectures personnelles. Dès leur plus jeune âge, les parents lisent des histoires à leurs enfants. Les personnages de ces histoires sont inventés, merveilleux et fictifs et ces instants que les parents consacrent à leur progéniture

». Sans pour autant prôner un retour à l'état de nature, de nombreux écrivains ont, par la suite, dépeint des contrées, souvent imaginaires, très éloignées des nôtres, à des fins didactiques. En quoi l'évocation de ces univers permet-elle de faire réfléchir sur la réalité de notre société ? En d'autres termes, quels éléments propres à la peinture de sociétés parfaites, très différentes des nôtres, nous renvoient, paradoxalement, à une perception plus aiguë et plus critique de notre propre civilisation

Introduction L'évocation d'un monde imaginaire permet de nous faire rêver et plaire. Mais le désir de l'auteur ne nous permet-il pas de nous faire réfléchir a la réalité qui nous entoure ? Il fait prendre conscience aux hommes d'un monde où vivent des sociétés plus proches de la nature. En quoi l'évocation de ces univers permet-elle de faire réfléchir sur la réalité de notre société ? En d'autres termes, quels éléments de sociétés, très différentes des nôtres, nous renvoient à une réflexion de