Roman Divertissement Réflexion

- tout d'abord le roman a pour vocation première de divertir. Il n'est donc pas "utile" et ne cherche pas necessairement à changer le monde. On peut lui donner une portée satirique, mais ce n'est pas par définition (à la différence du conte philosophique de voltaire, par exemple). D'ailleurs, les romans critiquant la société ne perdent pas cette dimension du divertissement. Si montesquieu dans les lettres persanes prend des personnages venus de loin, c'est aussi parce que le public de l'époque voulais

légitime du trône par le testament du Roi. Le roman se déroule donc sur une période qui a vu se succéder deux modes de gouvernement radica- lement différents : à l’austérité et l’autorité politique et religieuse des dernières années de règne de Louis XIV, succède une période qui semble plus illustrée par l’insouciance et la légèreté à la Cour. Pourtant c’est bien avant la mort de Louis XIV que se déroule la majeure partie de l’intrigue et les divertissements sont très prisés par la haute société parisienne

récits. L e romans permet l’évasion et la rencontre du lecteur avec un personnage aussi bien pittoresque, affublé d’une incroyable banalité, qu’avec un personnage de caractère, qui suscite passion, empathie et frustration. Guy de Maupassant choisi dans les lignes de l’excipit d’Une vie, de suggérer une réflexion auprès du lecteur : « la vie, voyez-vous, ça n’est jamais si bon ou si mauvais qu’on croit. ». Cela nous amène à nous demander le véritable but d’un roman : D’après vous, le roman est-il celui

Le style indirect permet de prendre davantage de recul et de globaliser la réflexion A-L'argumentation indirecte permet l'adhésion lecteur Le lecteur est friand de divertissement : lorsque cette demande est satisfaire, il est plus probable que son cerveau soit plus réceptif à un argumentaire aussi sérieux soit le sujet. Certains thèmes étant plus délicats que d'autres, le fait d'enrober les événements dans une histoire plaisante permet de ne pas braquer le récepteur du message (Le Petit Chaperon

d’enrichir les connaissances de l’homme vis-à-vis de son histoire, de ses traditions, du plaisir, de l’imagination afin de s’épanouir et de ne pas reproduire les déviations. Antoine compagnon a écrit un roman intitulé « La littérature pour quoi faire ? » dans lequel il répond à partir d’une réflexion objective sur le pouvoir et l’usage de la littérature. Il s’agit du discours d’ouverture prononcé par Antoine Compagnon au Collège de France le 30 novembre 2006. A partir de son discours et en s’appuyant

« S ‘engager dans un roman, c’est comme faire un voyage avec l’auteur ». Cette citation de Nick Cohn (auteur américain) nous montre que la lecture permet de s’évader, de se libérer momentanément des problèmes de la vie quotidienne. Ainsi la lecture semble bien un moyen de se divertir, d'occuper son temps libre. Dans les transports en commun, les salles d'attente, dans les parcs, aux terrasses de cafés, à la plage où à la piscine, lors des beaux jours, nous croisons tous les jours des gens plongés

 Pavie, Christophe Le roman au XIXe siècle Le roman au XIXe siècle Les romanciers utilisaient quatre cordes de l’instrument en écrivant un roman. Ces quatre cordes sont : la matière, la démarche esthétique, les personnages et les thèmes. La matière romanesque c’est les actions, l’intrigue qui forme le scenario, le plan et la structure générale de l’œuvre. L’esthétique romanesque c’est le travail sur le mot, le travail sur la phrase et sur ses articulations internes et externes.1 Les personnages

Quand elle prend la forme d’un avertissement, l’écriture s’efforce de condenser l’essentiel, pour en tirer des leçons morales ou existentielles : c’est une entreprise synthétique, a priori sérieuse. Au contraire, les écritures qui constituent un divertissement « diversifient » les centres d’intérêt : leur but est la distraction. Mais n’est-il pas simpliste de croire que, face aux sujets graves, les écrivains n’ont le choix qu’entre deux postures, l’une sourcilleuse, l’autre désinvolte ? Nous confronterons

mémoire de cette année de Master 1, j’ai choisi de travailler sur le roman de Mme de Lafayette « La princesse de Clèves » et sur son adaptation récente au cinéma avec « La belle personne » de Christophe Honoré. Quel peut être le lien entre ce roman du XVII° siècle, chef d’œuvre et précurseur pour sa préciosité classique et son côté psychologique, et ce film contemporain filmé dans un lycée parisien ? Par cette adaptation du roman de Mme De Lafayette, Christophe Honoré nous amène à nous poser la question

bouleversement économiques, intellectuels et sociales.  1715: mort de Louis XIV  1799: coup d’Etat de Bonaparte  2 courants: Les lumières et naissance d’une sensibilité littéraire: le préromantisme.  Les Lumières est un courant Européen, de réflexion scientifiques, politiques et sociales. En bref,  Le XVIIIème siècle est le siècle de des mœurs. Des auteurs rapportent des récits l’évolution de voyage. Ex. Bougainville de Diderot.  La rencontre avec d’autres cultures fait évoluer