Romanesque Le Realisme

du vide que va laisser la disparition d’Ellénore dans son existence. Stendhal, Le Rouge et le Noir (1830) Le contexte : dans la première moitié du XIXe siècle, deux écrivains, Balzac et Stendhal, ont donné au genre romanesque ses lettres de noblesse en l’engageant dans la voie du réalisme. Tous deux ouvrent le roman à d’autres personnages que les idéalistes du XVIIe siècle et les romantiques à la sensibilité intimiste du début du XIXe siècle. Chez Stendhal, même si l’aventure du héros reste le point

idées du romantique du début du siècle. Avec l’apparition de la photographie, la société industrielle, un journaliste de plus en plus libéral et expressif et par la pensée positiviste, les auteurs de romans deviendront réalistes. Le mouvement du réalisme est basé sur la réalité, sans la censurer ou la trafiquer, alors qu’à l’époque du romantisme, les artistes l’imaginaient et l’embellissaient. Ce nouveau courant amènera une nouvelle manière d’écrire un roman. Maupassant est un des plus grands auteurs

émerge un mouvement littéraire que l’histoire littéraire appelle le réalisme. Il s’enracine dans le milieu du XIXe siècle et donne lieu à des textes théoriques, parallèlement à une vaste production romanesque. Ce mouvement ne concerne pas seulement le roman ou la nouvelle, mais aussi le théâtre et d’autres arts comme la peinture ou la photographie, inventée à la fin des années 1830. Les genres privilégiés où s’épanouit le réalisme sont le roman et la nouvelle. Ces genres évoluent tout au long du XIXe

miroir aux alouettes. Et celui qui a déjà la sensation que sa route est trop courte n’aura de cesse de mirer le chemin comme dans un rétroviseur ; chaque étape défilant une fois encore…Les plus « timides » seront sans doute observateurs et le miroir romanesque leur permettra de voir sans être vu, de passer leur chemin comme par procuration… Le vécu de chacun apportera donc un regard

empreint de romantisme et reflète l’idéal amoureux qu’à toujours voulu atteindre Madame Bovary. Comment à partir d’une scène banale d’amour, Flaubert fait-il la satire du romantisme ? I. L’auteur tourne en dérision les personnages. II. Le réalisme s’oppose au romantisme dans cette scène. III. Le bovarysme est la déchéance du romantisme. Texte étudié : « Le tiède appartement, avec son tapis discret, ses ornements folâtres et sa lumière tranquille, semblait tout commode pour les intimités

Les formes romanesques, evolution A.QUESTION: 1. Le terme "surréalisme" apparaît pour la première fois dans une lettre d'Apollinaire destinée à Paul Dermée, en 1917. Ce courant littéraire et artistique se développe à partir des années 1920 et est sur le déclin dans les années 1940 à 1950. André Breton est l'un des premiers à tenter de le définir dans le premier manifeste du surréalisme datant de 1924: le surréalisme est un "automatisme psychique par le quel on se propose d'exprimer [...]

Faux-monnayeurs André Gide (1926) Introduction : Publier en 1925 par un écrivain reconnu le moral les Faux-monnayeurs constitue un tournant dans l’histoire du genre. A cette époque, le genre romanesque est en crise et subit notamment les critiques des surréalistes qui dénoncent les artifices et les conventions du réalisme et du naturalisme, modèle qui domine encore. C’est dans ce contexte que paraît les Faux-monnayeurs œuvre ds laquelle Gibe ambitionne lui aussi de rompre avec le modèle réaliste. Il constitue

réel. s/ tout avec le réalisme du 19ème siècle. Les critiques l’on analysé comme 1 forme littéraire original. 1) Le roman et le réel : Le roman a lgtps été accusé de donner une image fausse et vision idéalisé de la réalité => flatter le goût du publique + effet corrupteur s/ lé âmes sensibles. Rousseau => raconte dans les confessions que les « émotions confuse » qu’il a put ressentir en lisant les romans de sa mère => 1 idee bizarre de la vie humaine idéalisée et romanesque + Flaubert exprime le

se trouve l’œuvre • XVIIIème siècle, débuts du roman => âge d’or du roman : XIXème ; il est encore jusque-là considéré comme un divertissement moins noble que les autres genres. • Entre le classicisme et le romantisme (+ quelques volontés de réalisme) mais majoritairement du classicisme avec « Plaire & Instruire » même si on remarque une critique de la société à plusieurs reprises. • Citation dans l’Avis de l’auteur : « C’est rendre un service considérable au public que de l’instruire en

définir les tendances du roman contemporain sans viser l’exhaustivité, la production étant à la fois très abondante et extrêmement diversifiée. 1. La remise en cause du roman traditionnel À la fin du 19e siècle, les critiques à l’encontre du réalisme et du naturalisme trouvaient un écho auprès des auteurs symbolistes. Celles-ci se prolongent au 20e siècle, avec l’intérêt de plus en plus affirmé pour la vie intérieure, la découverte de l’inconscient et la remise en cause du personnage traditionnel