Rotation culturale

Devoir 2 : -La seconde rotation est appliquée dans les zones irriguées ainsi que dans quelques marais tourbeux à caractère inondable en période hivernale. Le maïs est la culture qui valorise le mieux l'irrigation. C'est pour cela que le choix de la quasi monoculture de maïs a été réalisé. Mais pour permettre une maîtrise de la population des adventices, une culture d'orge de brasserie de printemps vient interrompre cette monoculture. -Maïs : La culture la plus intéressante économiquement et

souvent par un recours intensif aux pesticides dangereux. Les variétés résistantes et les pratiques culturales améliorées peuvent réduire ou éliminer de multiples maladies et parasites courants. La lutte intégrée contre les ravageurs a aidé les agriculteurs à réduire fortement le recours aux produits chimiques tout en augmentant la production. maladies, plants de pommes de terre certifiés, rotation des cultures, et compostage biologique pour améliorer la qualité des sols. Quelques-uns des ennemis

Floriculture/Horticulture Méthodes de luttes raisonnées Promotion 2010/2011 Table des matièresTable des matières 1.Introduction3 2.Prophylaxie et Prévention4 2.1.Un milieu sain4 2.2.Utilisation de semences saines et certifiées4 2.3.Rotations des cultures5 2.4.Culture mixte et plantes utiles5 a)Les plantes compagnes5 b)Les plantes sacrifiées 6 2.5.Santé des cultures 6 a)Régulation des Apports minéraux et d'humus.6 b) Eau7 c)Stress7 2.6.Mesure ministériel7 3.Lutte Curative8

L’agriculture biologique permet une bien meilleure gestion de l’environnement que l’agriculture « conventionnelle » : ainsi les opérations de désherbage sont effectuées de façon mécanique et non pas à l’aide de traitements chimiques. En outre, des rotations culturales étalées sur des périodes relativement longues (de trois à cinq ans) permettent de lutter de façon « naturelle » contre les attaques de différents insectes (qui ne peuvent ainsi s’habituer à fréquenter un même champ pour s’y multiplier).

filières agroalimentaires, cette méthode est davantage un outil d’analyse de l’existant et d’aide à la décision dans une démarche de réduction d’impact environnementaux qu’un instrument de comparaison des productions. En effet, les diverses pratiques culturales influencées notamment par la localité des exploitations d’une part, et les différents choix de modélisation d’autre part peuvent induire une grande variabilité de résultats. INTRODUCTION Les produits que nous consommons génèrent des impacts

ce sont donc beaucoup de prairies permanentes qui se situent sur ces terres. - Sols argilo-calcaires ; - Beaucoup de cailloux ; - Riches en minéraux ; - Pas d’engorgement en eau ; - Usure précoce et importante du matériel. Zone où la rotation des cultures est mise en place (cf. Fiche 4) Aspects orographiques - Zone globalement plane avec des endroits assez vallonnés - Pentes maximales de 10% - Altitude qui varie de 148m à 226m pour une moyenne de 165m Aspects climatiques - Climat

tard Gestion du sol Les rotations et le semis direct améliorent les rendements et la santé du sol Utilisation concrète des cultures agricoles destinées à la production de biomasse Changement climatique : subventions pour les exploitants agricoles –pour quand? Conseil de gestion du sol pour la fin de l'été et le début d'automne septembre 2008 Drainage Échange de crédit de carbone (crédits compensatoires) - Où en est-on? mars 2009 Effets des labours et de la rotation sur la qualité du sol, mars

....................................................................................... 3 I. LES VARIETES CULTIVEES .......................................................................................................... 4 II. LES EXIGENCES CULTURALES ............................................................................................... 5 III. CONDUITE DE LA CULTURE .................................................................................................... 6 IV. PROTECTION

d‘herbe. Lesrelevés floristiquesdressés en liaisonaveclesétudes écologiques peuvent être sur ce point d‘une grande utilité. La pâture doit être conduite de façon à éviter tout surpâturage,en limitant le tempsdeséjourdu troupeau et en assurant une rotation par le gardiennage ou la clôture (clôture électrique mobile notamment, dans lessecteurs de bonne productivité). Le débroussaillage mécanique, fauche la des refus, l’emploi desherbicides chimiques permettent d‘éliminer espèces les arbustives envahissantes

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 1.3 Principaux aspects botaniques et physiologiques . . . . . . . . . . . . . 3 2. Pratiques culturales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 2.1 Préparation du terrain . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 2.2 Plan de rotation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 2.3 Choix des semences . . . . . . . . . . . . . .