Rurbanisation

Baby-boom », contraception, IVG, « papy-boom », activité féminine, familles recomposées, politique familiale, allocations familiales . HLM, grands ensembles, banlieues pavillonnaires, accession à la propriété ; cités, banlieues . Déprise agricole, rurbanisation . Croissance, dépression, crise . Plein-emploi, chômage . Société de consommation, hypermarché . Consommation, loisirs, congés payés . Télévision, livre de poche, jeux video, informatique . Etat-providence, Sécurité sociale, SMIG, SMIC, assurance-chômage

Cleveland a été durement touchée au cours des années 1960 et au début des années 1970 par l'exode rural (phénomène de white flight, caractérisé par une fuite des classes moyennes qui quittent les centre-villes pauvres vers les banlieues) et la rurbanisation, encore plus exacerbée par les mesures de déségrégation des transports scolaires requises par Cour suprême des États-Unis. Bien que ces mesures aient été abrogées dans les années 1990, Cleveland s'enfonça toujours plus dans la pauvreté, pour atteindre

d'exploitations aux USA, d'un gabarit et d'un rôle très différent Superficie moyenne des exploitations : 196 hectares en 1995 2.1. le "hobby farming" sur de très petites fermes agriculture de détente à la périphérie des villes phénomène lié à la rurbanisation mais aussi à une fiscalité avantageuse rôle négligeable dans la production agricole 2.2. le "part-time farming" exploitations de taille intermédiaire, généralement menacées faute d'envergure économique double activité pour l'exploitant, un

et d'un rôle très différent ® Superficie moyenne des exploitations : 196 hectares en 1995 2.1. le "hobby farming" sur de très petites fermes ú agriculture de détente à la périphérie des villes ú phénomène lié à la rurbanisation mais aussi à une fiscalité avantageuse ú rôle négligeable dans la production agricole 2.2. le "part-time farming" ú exploitations de taille intermédiaire, généralement menacées faute d'envergure économique ú double

qu’ils soient politiques, économiques ou sociaux. Ainsi, ces entités publiques ont pris la mesure des effets négatifs dérivés de la pratique d’une urbanisation effrénée tels que les phénomènes d’étalement urbain, d’artificialisation des sols et de rurbanisation, de mitage urbain (qui ferait reculer tous les dix ans de près de 600 km², les surfaces agricoles disponibles, d’après l’Institut Français de l’Environnement , devant les inextinguibles besoins de centres urbains accueillant une population en constante

périurbanisation désigne l'extension des espaces urbains dans l'espace rural. On peut parler d'« interface villes/ campagnes ». L'espace périurbain est à distinguer de la banlieue, qui reste ancrée dans l'aire urbaine densément peuplée. Le terme de « rurbanisation », qui désigne l'installation des citadins dans les zones rurales, est plus spécifique, car la périurbanisation peut aussi englober des espaces urbanisés anciens. Le phénomène, observé dès les années 1960 autour de l'agglomération parisienne, touche

de loisir. L’espace rural se repaît de « migrants du quotidien ». La ruralité, hier agraire, se fait urbaine. Il est question de « rurbanisation », ce néologisme désignant « le processus d’urbanisation rampante de l’espace rural, d’imbrication des espaces ruraux et des zones urbanisées périphériques » (Pierre Merlin, Françoise Choay, 2000, p. 741). Avec la rurbanisation la ville se construit à la campagne et donne un contenu à la boutade d’Alphonse Allais. L’urbain s’insinue partout. En conséquence

individuel, et cela même loin des villes. On parle d'urbanisation de l'espace rural, ou de rurbanisation (DUBOST y voit une colonisation de la campagne par la ville). Durant les années 70, l'industrie automobile connait un bond quantitatif phénoménal, qui explique cet éloignement progressif d'une partie de l'habitat urbain. Les grands réseaux autoroutiers naissent dans les années 80. Cette rurbanisation, qui est une dispersion (contre laquelle on lutte désormais), ne transforment pas les habitants

de population urbaine était de 78,1 (en comptant les départements d’Outre Mer). Ainsi, on déduit que le taux de population rurale s’élevait à 21,9. Selon Europe 1, le XXe siècle fut celui de l’exode rural, le XXIème pourrait être celui de la rurbanisation, le retour vers les campagnes. Entre 1999 et 2006, la population a progressé de 0,7 % par an. La période noire de dépeuplement des zones rurales, entre 1962 et 1975, appartiendrait donc au passé. Les espaces ruraux avaient alors perdu presque

urbanisés est de moins en moins tranchée. Les hab de l’expansion périurbaine ont un mode de vie urbain mais ils ont choisi une habitation plus éloignée de la ville, pour un cadre de vie plus agréable à des prix moins élevés. Le phénomène de « rurbanisation » désigne l’installation dans des communes rurales de gens venant de la ville migrant quotidiennement. Elle se traduit par la construction de pavillons, isolés ou groupés en lotissement. La politique de la ville : la loi d’orientation