Rythme biologique

retour de la mélancolie, associée au crépuscule et à la nuit. Comme le long chant modulé de l’oiseau, la phrase du poème passe par des variations thématiques qui confinent aux lignes mélodiques d’une chanson triste. Les tonalités se succèdent au rythme de la sensibilité du poète. b) Les différentes mélodies Le poème s’ouvre sur l’expression d’une souffrance, d’un mal être illustré par les termes suivants : « criards, émoi, rumeur mauvaise ». Les souvenirs comparés aux oiseaux sont porteurs

l’extrait est marqué par un rythme qui manque d’harmonie et qui renforce ce désespoir le rythme 3/5 pour les octosyllabes. Les manifestation physiques et morales de cet accablement de ce désespoir sont également présente avec « des larmes sur mes joues » « plié par un coup soudain » On voit ici une réification (contraire de personnification on considère un homme plus comme un objet). Comme le montre d’ailleurs le rythme ternaire « je suis brisé, las et triste » un rythme ternaire qui montre lui aussi

je vais travailler de mon mieux pour atteindre les objectifs  4 - j’ai besoin de me détendre a) j’attends les vacances avec impatience pour pouvoir me reposer b) comme je travaille par à-coups, j’ai des baisses de rythme de temps à autre c) après l’inventaire de cette semaine, j’ai besoin de me détendre 5 - quant à mon ardeur au travail ... a) rien de tel qu’un ultimatum pour m’obliger à travailler

élégiaque fait place à l’écriture tragique (v. 12 avenir solitaire et fatal). Le « je » est soumis à une force celle du temps qui passe. Avenir sombre qui est souligné par la cadence mineure (solitaire : 3 syll) (fatal : 2 syll) : rythme descendant. Chant plaintif rythmé par le refrain « c’est triste ». Poète hantée par cette tristesse. Tristesse de plus en plus forte. Car v. 6 : C’est triste + terme complétif. v. 9 : interjection + c’est triste + terme complétif. v : 13 : Oh c’est triste ! Poète

l'homme) → … l'Homme « grand » par rapport à la nature, sous un regard habituel de la nature ( l 37 de « Pensée » → « un tout à l'égare du néant » → … la conquête, la connais de l'espace : signe inévitable. (l 5 → énumération d'action conquérante / rythme ternaire) Mais, cette envie de conquête, de domination, peut se transformer en un orgueil, en démesure, en un aveuglement de l'Homme, lui donnant un regard irréel de ca grandeur (l 44-45 de « Pensée »), pouvant ce transformer en un désespoir

moine mendiant coupe au milieu : rythme régulier Zeugma (= mettre sur le même plan des éléments opposés ; ex.: abstrait/ concret)Tous ces détails prosaïques, se charge de poésie, puisque le poète nous propose une transformation du réel. Lire la suite: http://www.litterales.com/document_disparu.php?id=526&table=litterature#ixzz30DN6Nodzaises -v.9 : "Tendant les mains pour l'homme et les joignant pour Dieu". Il s'agit d'un moine mendiant coupe au milieu : rythme régulier Zeugma (= mettre sur le

formelle du poème la mélodie, type rengaine, jouée par l’instrument 2. L’histoire se déroule comme une rengaine 2.1 Répertoire des répétitions - « Moi », « parlaient », « je jouais », « fini » - L’effet provoqué par ces répétitions : rythme et musique 2.2 Les refrains - Les instruments qui reviennent - L’histoire qui se reproduit (effet de « coda », on revient à la situation initiale) Lien vers le point 3 : L’histoire qui recommence 3. Forme atypique et originale d’un « poème-récit »

tremble » Un oxymore : c’est une forme d’antithèse, mais les deux termes évoquant des réalités contraires sont accolés (généralement un adjectif + un nom de sens contraire) Ex. : « ce joli crime », Rimbaud  les procédés d’insistance (jeu sur le rythme, généralement) Une accumulation : suite de mots différents mais de même classe grammaticale Ex. : « Ponts, églises, palais, prisons », Scarron Ici, l’accumulation permet de mettre en valeur le désordre de la ville, de le mimer. Une anaphore

LLa poésie est un art du langage visant a suggérer et à faire connaître quelque chose par le rythme, l’harmonie et l’image. Le poète n’est pas souvent considéré comme un photographe ou un artiste devant représenter la réalité. La poésie, par ses images, par l’art de la suggestion, veut souvent aller au delà de la simple réalité, la dépasser.. Ce qui nous emmène à nous demander si lapoésie est une manière de fuir la réalité, ou simplement de s’en rapprocher ? Pour répondre à cette question nous étudierons

désigne le narrateur, nos cœurs ,notre vengeance, nos terres parlent des Français et tes blessures sont celles d’Oradour. L’anaphore (répétition d’un même mot en début de vers) qui est le mot Oradour insiste sur l’horreur qu’a vécu cette ville. Elle rythme le poème, elle est comme une litanie, une prière. Les strophes 1 et 2 sont à la forme négative, on insiste sur ce qui n’existe plus à Oradour: femme, enfants, église, amour, greniers, feuilles, meules, vin, pierres, ce sont des mots qui parlent