Rythme biologique

le temps et dans l'espace, et un itinéraire mené avec détermination. a) La progression dans le temps Le poème débute par l'indication insistante du moment du départ (tout le vers 1 : trois notations de temps formant un groupe ternaire selon le rythme 2/2/8). Il se termine au crépuscule comme le souligne la métaphore du vers 9 ("l'or du soir qui tombe"). Le voyage occupe ainsi une journée entière sans interruption, à travers un paysage aux aspects variés. b) La progression dans l'espace Elle

sont suffisamment riches de signification. - La parataxe (absence de mots de liaison entre les propositions) prédomine; elle est également liée au désir d'adopter un style dépouiller: un aspect prosaïque est ainsi crée (à noter aussi au niveau du rythme des alexandrins binaires et réguliers) pour insister encore sur l'injustice de ce qui est arrivé à l'enfant. Cette simplicité de l'écriture est enfin illustrée par le choix du schéma des rimes : il s'agit de rimes suivies : aucun effet rhétorique

le feston et l’ourlet » ainsi que les participes présents qui montrent le mouvement en train de se produire renforcent le désir du poète qui réussit à surprendre l’apparition fugace d’une jambe. Les allitérations en »s » rappellent la souplesse. Le rythme du vers , parfait tetramètre (3/3/3/3) imite le tangage, la fluidité et la souplesse de la démarche de la passante. Ce qui ravit le poète dans cette apparition enchanteresse, c’est la douleur de cette femme. Pour Baudelaire, la douleur n’enlaidit

franco-prussiens. Compréhension générale 1ère strophe -> 1 quatrain d’alexandrins. Description méliorative de la nature, beau paysage, belles couleurs. Rimes alternées. Beaucoup d’images se rapportant à la nature. Musicalité : enjambement -> Rythme ample et lent pour décrire la beauté du paysage. 2 rejets poétiques, “Argent”(v.3) et “Luit”(v.4) -> luminosité et soleil (=beauté) Allitération en S et en R -> écoulement de la rivière. Assonances en OU -> sons clairs qui mettent en évidence la

d’alcool « vieux rhum mouille » « vaste saoulerie » « perdu tout contrôle » (comme après avoir bu beaucoup d’alcool) nous fait penser qu’une fête a lieu. « Des tiges à pulsations brèves » est une métaphore, pouvant rappeler les doigts qui sont en rythme avec la musique, la fête. « Les vierges » font directement penser aux jeunes filles. « sans tuteurs » nous montre qu’elles peuvent se lâcher, faire la fête, car personne ne pourra leur dire quelque chose, et « les feuilles entassées par terre »

du poème. Le romantisme s’exprime ainsi par l’expression lyrique du moi, la mélancolie et le sentiment de la nature. Au niveau métrique, le poème est composé d’alexandrins et d’hexasyllabes (vers de six syllabes). Les rimes sont croisées. Le rythme s’accélère avec les vers plus courts ! La ponctuation lyrique, forte est dominée par des exclamations et des interrogations rhétoriques qui accentuent le pathétique  des moments de bonheur envolés : « Quoi ! passés pour jamais ? quoi ! tout

Préparation plan de commentaire I/ Une contemplation romantique de la nature 1/ Abondance de la nature -relever des éléments du texte 2/ Une révolution timide -V.Hugo voulait une révolution de la poésie moins classique -Alexandrins rythme ternaire et non binaire II/La fuite du temps et le renouveau des saisons 1/L'aspect cyclique -L'homme naît vie et meurt -Cycle du temps -Effets d'opposition 2/La nature plus forte que le temps et la mort -Nature immortelle ==> comparaison

(qui, elles aussi, visent à instruire), ou sous la plume d’auteurs tels que Arthur Rimbaud un poète qui s’amuse à réveiller les affinités anciennes entre les vers et les proverbes. Se rapprocher du sacré : Grâce à l’importance qu’elle accorde au rythme et aux jeux de sonorité, la poésie est un moyen privilégié pour déboucher sur l’incantation et la magie. À cette fin, elle est souvent associée à la musique et aux instruments de percussion. En Inde, bien des textes sacrés sont écrits et récités

sonorités accentue la différence de l'animal au fur et à mesure du poème ce qui est renforcé par la disposition en chiasme des sonorités du vers 11.   Rythme : Le mouvement des phrases : Il prend une valeur descriptive. On notera en particulier : - Première strophe : Une ample phrase, bien balancée pour présenter l'oiseau en vol dans la Le rythme exprime l’amplitude, la liberté et le glissement sur un espace infini (le ciel et les gouffres amers ou l’océan) - Deuxième strophe : Une nouvelle phrase

dimension orale à ses poèmes, il renoue avec l’héritage québécois. Cette dimension, dans « L’ombre de l’ombre », se manifeste notamment par un jeu de sonorités à travers de nombreuses assonances et «… de subtiles allitérations [qui] lui donnent un rythme, un son, une musique, absolument singulière… ». Par exemple, l’assonance « femme ô femme petite âme petite vague » (vers 17) et « …fracassements dans mes bras » (vers18) font de la voyelle « a » une sonorité récurrente. Puis, les