Rythme sinusal

fait un bilan désespérant de son existence, se montre succombant sous le poids de souvenirs pénibles, de visions étranges et macabres, se sentant accablé par Ie perpétuel ennui des jours qui s'accumulent et où l'âme s'enlise interminablement, en un rythme d'une lenteur mortelle. Formé d’alexandrins à rimes suivies, le texte n'est pas régulièrement disposé en véritables strophes. Il est fragmenté en séquences inégales, disposition typographique qui, à elle seule, donne une impression de chaos. On trouve

“triste”, tandis qu’au vers 25, “morne” se confronte à “joyeux”. On peut voir qu’au vers 5 et 6, la juxtaposition de la ponctuation ainsi que l’accentuation des verbes d’action produit un effet de rythme qui accélère la lecture. Tandis qu’au vers 7, la ponctuation est plus espacée et ralenti le rythme. Le poème marque également une forte opposition entre le bonheur: « J'appelais cette vie être content de peu ! » et la tristesse : « J'étais morne au milieu du bal le plus joyeux », et la mort de Léopoldine

hyperboles, métaphores, comparaisons, sont nombreuses, et utilisées dans une démarche argumentative, afin de solliciter l’imagination et la sensibilité du lecteur. Le poète utilise également des rejets et des enjambements afin de donner un certain rythme à la poésie. Le rejet : C’est quand on rejette un mot au début du vers suivant. Ex : Le dormeur du val, Arthur Rimbaud : p137 vers 5 à 7. L’enjambement : Début d’1 phrase à la fin d’1 vers qui se poursuit dans le vers suivant

2 fois par vers. Termes qui évoquent des termes d'inspiration avec toujours la valeur esthétique. V.11 renvoie à Baudelaire. Tercet très harmonieux par son rythme, unité dans laquelle il les englobe. Souligne le regard que l'on peut porter à un objet esthétique. Impression d'unité. Associé à ce premier tercet le dernier vers du poème : rythme ternaire de rose de rose etc. Inspiration épicurienne : les roses de la vie, insistances sur le caractère éphémère en relation avec le cours normal du temps

révolte * V.11 : « je courus » : impossibilité, on est sur la mer : là encore, évoque sans doute sa détermination, et permet de continuer la métaphore bateau / poète (poète dans l’action, qui va de l’avant, cf « ma Bohème ») * V.11-12 : brise le rythme de l’alexandrin : césure impossible. Reflète le « tohu bohu », le désordre, le mouvement provoqué par les vagues ; mais aussi et surtout : modernité du poète qui commence à refuser la versification classique * V.11 : image des péninsules (avec

temps verbaux (présent passé). Le présent insiste sur un point d’observation et de réflexion. Le passé évoque l’expérience vécue (strophe 3) On a aussi un champ lexical du temps : (« la nuit, le jour… ») Dans les premières strophes du poème on a un rythme rapide marqué par l’absence de ponctuation ce qui donne une impression de rallongement des vers. Le poète ressent comme une obsession vis-à-vis du temps qui passe, il le voit en quelque sorte comme une chose qui emporte ses moments heureux. Dans

interrogations. Dans ce poème on peut observer un mélange de poésie et de philosophie, V24 métaphore de la beauté du monde que même le crapaud peut voir, comparaison avec le poète lui-même. V32, ce vers utilise une redondance qui insiste avec un rythme ternaire et une gradation sur la dégradation humaine de l’homme. Le poète délivre plusieurs messages à travers cette poésie = 1- utiliser sa raison à bon escient prêtre, femme et enfants, 2- l’éloge, Hugo aurait voulu que P,F,E protège

dans la structure syntaxique et métrique ? • Etudiez plus précisément la correspondance entre les deux termes de la figure d’analogie. • Comment le poète a-t-il exprimé le charme et la fraîcheur de la rose ? • Comment a-t-il, par les mots et le rythme, évoqué le déclin de la fleur ? • Quels termes employés pour la rose seraient plus appropriés pour parler d’une femme ? et inversement ? • Comment s’opère au cours du poème la fusion progressive de la femme et de la fleur ? • Etudiez le système

marqué par différents procédés : - Répétition de l’adjectif « même » (v.6) ; le rythme du v.6, très régulier, vient renforcer l’effet de répétition (monotonie). Aucun moment de liberté et de détente n’est laissé aux enfants. - L’enjambement des v.5-6 marque cette continuité de la tâche. - Répétition de la structure grammaticale et du rythme dans le vers 10 : « Tout est d’airain, tout est de fer » : rythme 4 / 4 ; parallélisme de la structure grammaticale, synonymie des métaux (idée de

poésie. Il transmet à travers son poème un message double : une défense de l'écriture poétique et se défend en montrant son engagement en tant qu'artiste. → Le choix d’écriture caractérise le poète : il répond à une attaque. Conclusion : Le rythme du sonnet est cependant quelque peu bouleversé en raison de la structure choisie. Il règne une impression de liberté tout en étant dans une ligne poétique classique. C'est un sonnet bien approprié, moderne. C'est une prise de position métaphorique