Réduction De La Dette Et Politique économique

public par création monétaire. Les Etats doivent emprunter. 2°- Il faut casser cette spirale de la dette le plus vite possible en limitant les dépenses de l'Etat au minimum, et en réduisant les taux d'imposition. Ceci permettra de rendre le pays plus libre car il ne dépend ni de ses partenaires , ni de ses créanciers, Ceux-ci, la Bundesbank par exemple pour la France, peuvent imposer une politique économique que ne souhaiterait pas le gouvernement, sous la menace de cesser tout nouveau prêt. II. Les

La dette publique, est la dette de l’État, c’est-à-dire l’ensemble des emprunts contractés par l’État (exemple des obligations d’État ou des bons du Trésor), ainsi que celles des collectivités territoriales et des organismes de Sécurité sociale. Il ne faut pas confondre dette publique et dette extérieure, la seconde représentant l’ensemble des emprunts des agents économiques à l'égard des prêteurs étrangers. Il ne faut pas confondre non plus dette et déficit. Le déficit est un solde annuel négatif

de Denis Gettliffe et Guillaume Robert UN IMPOT CITOYEN POUR UNE SOCIETE PLUS JUSTE SOMMAIRE Parler de fiscalité, c’est parler de nos choix de société .... 7 La France est-elle en faillite .............................................. 13 La dette publique aura doublé en dix ans de gouvernements de droite ! ............................................ 14 Une accumulation de règles constamment violées ........... 16 Quand et au détriment de qui la droite augmentera-t-elle les impôts ? ......

P= montant de la prestation moyenne b = nombre de bénéficiaires a = nombre de cotisants w = salaire moyen PS / PIB =( p/w) ( taux de remplacement ; facteur politique) * (b/a) ( ratio de dépendance ; facteur éco et démographique) * (aw / PIB) ( part des salaires dans la richesse produite ; facteur économique) Section 2 : crise de financement et crise de légitimité (redistribution, santé et retraites) Au cours des années 70, vont apparaitre les premières difficultés de financement

perspective de croissance économique pour 2013 qui se définie comme étant les prévisions de l’accroissement durable de la production globale d’une économie. Du 4 au 14 Octobre 2012,les assemblées annuelles du Fonds Monétaire International (FMI) et du Groupe de la banque ont tenus une réunion à Tokyo, au Japon .Cette réunion a eu pour but de traiter des grands dossiers mondiaux liés aux perspectives de l’économie dans le monde, à la lutte contre la pauvreté, au développement économique et à l’efficacité

Ebauche de corrigés et éventuelles problématiques du chapitre 7 :Intégration européenne et politiques économiques et sociales 1. Dans quelle mesure les zones régionales de libre échange favorisent-elles la prospérité mondiale ? Le régionalisme va-t-il ralentir le développement économique du monde ? Ou bien va t’il répondre aux carences du multilatéralisme ? |I L’atteinte aux principes du multilatéralisme porte atteinte au bien-être |II Ces zones sont appropriées à la situation

devenue un éléments majeures du discours politique. Pour autant, il n’y a pas de fatalité à l’inefficacité de la dépense publique, mais l’efficacité de la dépense doit être évaluée de façon permanente. Cette démarche doit être conduite résolument, tout en acceptant l’idée que l’Etat doit aussi soutenir l’activité économique et répondre aux attentes du corps social. L’évolution de la dépense publique en France reflètent à la fois des facteurs économiques et des choix sociaux Depenses publiques

Encadré par : Mr. Bousselhami Ahmed ------------------------------------------------- * PLAN : I. Les causes économiques de la crise a. La crise économique de 2008-2010 b. Ampleur de la dette publique c. Les problèmes structurels II. Première phase critique et premier plan de sauvetage (printemps 2010) d.  L'accord Grèce UEM FMI e. Prêts bilatéraux, Fonds européen de stabilité financière et la décision de la BCE III. Deuxième phase critique

L'arrivée des élections américaines met en exergue de nouvelles problématiques sur le plan global : En effet selon le résultat on verra apparaître différentes manières de considérer la politique internationale. Celle d'abord d'un dialogue entre les États pour une plus grande coopération internationale et celle néolibérale d'un relâchement du contrôle des États pour permettre une expansion sans limite du marché. Curieusement à travers ces deux logiques très opposé dans le discours mais assez peu

d’activité, qui peuvent engendrer des situations provoquant une baisse des ressources ou une hausse des dépenses (ex : vieillesse, maladie, invalidité, chômage, charges de famille...).   –       Un objectif d’équité (lutter contre les inégalités économiques et sociales): dans un souci d’assurer la cohésion sociale, les États des pays développés ont mis en place des mesures visant à réduire les inégalités de revenus, et à assurer un minimum vital à tous les citoyens. Il s’agit dans un premier temps