Réduire La Morale Au Moeurs

-Le Rouge et le Noir (Stendhal) 4. Troisième Romantisme -La parnasse 5. Le réalisme objetif -Madame Bovary (Flaubert) 6. Naturalisme 7. Supernaturalisme 8. Symbolisme français 9. Modernité poétique 10. Bibliographie 1 «Il est impossible de réduire à l´unité tout ce que recouvre en France le mot romantisme». Que pensez-vous de cette affirmation ? Vous illustrerez votre argumentation par des exemples littéraires. Introduction Le Romantisme est un mouvement du XIX siècle où le contexte historique

sur-représentent les jeunes diplômés. Entre les jeunes d’aujourd’hui et les générations précédentes, il y a relativement peu de désaccords. Les valeurs sont très proches. Cela vient en grande partie du fait que l’évolution marquante du libéralisme des mœurs a commencé avec la génération issue de l’après-guerre et se poursuit. On constate que le cercle des intimes, avec lesquels on peut partager les mêmes choix, est privilégié pour une grande partie de la jeunesse, parfois au détriment de ceux qui n’en

conformant à des normes, il ne s'agit pas de normes juridiques. Ces comportements sont régis par des normes qui ne sont pas juridiques, généralement. Ex : obligation morale entre amis. Pour un prêt entre amis, pas de preuve littérale, on ne signe pas de contrat. C sur une relation de confiance que sera fondée l'obligation. La norme morale n'est pas juridique. -la norme juridique n'apparaît que très tardivement ds l'histoire de l'humanité. Pdt très lgtmps, les stés humaines ont été régies par des

mot correspondant exactement à ce que la langue française appelle « conscience ». Il ne faudrait pas en conclure hâtivement que les Grecs n’étaient pas conscients de ce qui leur arrivait et encore moins qu’ils ne possédaient ni vie intérieur ni sens moral. Quand on s’exprime de la sorte, on veut plutôt dire que, pour l’homme grec, l’expérience de l’individu semble davantage tournée vers le dehors que centrée sur l’introspection psychologique et la réflexion sur soi. Autant qu’on puisse en juger, ce

d’abord de préciser un peu vos connaissances sur l’homme Machiavel. J’espère même vous le rendre sympathique, car il l’était. Il fait partie des hommes du passé que j’aurais bien aimé rencontrer. Quant au machiavélisme, il pose le problème de la morale en politique, et je n’ai pas la prétention de traiter ce problème. J’essaierai cependant de percevoir avec vous les traits principaux de la philosophie politique de Machiavel, à travers sa vie et ses œuvres écrites, en gardant à l’esprit que l’homme

voyagent Usbek et Rica, et à Venise, où se trouve Rhédi. A cette correspondance s’ajoute celle entre Usbek et son sérail, c’est-à-dire ses eunuques et ses femmes. Les sujets abordés sont très variés, de même que les points de vue, et vont de la morale à la politique en passant par l’économie, la religion, ou la littérature. Ils sont le prétexte à une satire de la société, aussi Montesquieu se pose t-il seulement comme celui qui aurait par hasard trouvé ces lettres et les aurait traduites: il

progresse en se servant d'outils disponibles à chacun comme la raison et l'expérience. Physique, chimie et biologie progressent rapidement ainsi que les inventions techniques comme la mongolfière. On peut aussi prendre l'exemple de Newton qui a su réduire à un principe simple les mouvement des corps sur terre et dans le ciel. La connaissance du monde doit permettre à chacun de devenir maître de lui-même et de son existence. L'éducation est donc un bien incontestable. Le savoir est diffusé tant par

l’ultime provocation. Empreinte de lâcheté, pétrie de mauvaise foi, elle consiste in fine à laisser autrui faire le travail qui nous incomberait. Un comportement incontestablement égoïste, unanimement condamné par les apôtres de la rentabilité et la morale chrétienne. La colère : La colère, elle, est une réaction par la violence à tout ce qui nous résiste, nous déçoit ou nous blesse. A l’inverse de la patience qui fait du temps un allié, à l’opposé du dialogue

la philosophie ou science rationnelle est attaquée et réprimée dans une de ses hypothèses particulières  centrales mais elle devient victime dans son ensemble, c’est à dire dans sa prétention autonome à la vérité, de la volonté de l’église de la réduire à n’être plus qu’une servante de la religion , en faisant de là la foi et des textes sacrés (indiscutables) les guides absolus et irrévocables de la raison. Or, et c’est là le problème de Descartes, pour lui c’est la science qui a raison contre la

laquelle se trouve la noblesse face à la bourgeoisie. La normalisation suscite également les faux-semblants et la dissimulation qui marquent la société de Cour et vont de pair avec le rejet de l'anormalité qu'elle soit sociale, morale ou individuelle: L'anormalité morale est un obstacle au centralisme. La fin de Dom Juan peut donc apparaître comme l'élimination du marginal, sa mort représentant dès lors le rétablissement de l'ordre divin et monarchique tel qu'on l'a vu précédemment dans l'arrestation