Réflexion Sur L Homme

respectueuses: A interroge B sur le contenu du livre sur le voyage de Bougainville ( explorateur français qui a fait un long périple de Nantes à St Malo en faisant le tour du monde; il a vécu au XVII-XIX ème siècles). 2. Bougainville est présenté comme un homme raffiné, qui aime s'amuser, qqun de très aimable, de véloce, de philosophe, de courageux etc... ( description à partir de la ligne 15 de la page 23). Il a l'air d'être très intelligent. En effet, il a fait de nombreux relevés lors de son voyage ( on

narratif : situation initiale ( Des Grieux : un homme vertueux) élément perturbateur (l’amour accordé à Manon) péripétie ( vole, fuite, évasion, meutre…) situation final (mort de Mano-> retour de Des Grieux vertueux)B : Le plaisir de lecture dans l’œuvre : · Personnage en marge dès le début: « parce qu’il me semble qu’elle vaut un peu mieux que ses compagnes »· Vraisemblance : - vrai prénom : « M. de G…M… » - vrai lieux «  Saint Lazare »- raconté par un homme de vertu : «  du moins lorsqu’ils sont écrits

Rousseau prend donc ses lecteurs à parti avec cette question, qui nous révèle qu’ils participent à sa réflexion. De plus, on note également la présence du pronom personnel de troisième personne « on », qui induit une certaine proximité entre Rousseau et ses lecteurs. 2. La majeure partie de cet extrait est au présent, qui est un présent d’énonciation, introduisant dans le cours du récit une réflexion venant à l’esprit de Rousseau au moment de l’écriture ; l’énoncé est ancré dans la situation d’énonciation

Eduquer est-ce libérer ? La réflexion qui découle de cette interrogation ‘Eduquer est-ce libérer ?’, nous amène à nous demander : est ce que l’homme est libre ? Autrement dit, pouvons nous dire qu’au début de sa vie, l’homme ne naît pas libre ? Si effectivement nous pouvons être amenés à penser que c’est le cas, qu’est-ce qui alors le contraint, l’enferme ? De quoi a-t-il besoin d’être libéré ? Et enfin qu’est –ce qui pourrait le libérer ? L’éducation est-elle la solution pour libérer l’homme

décision claire et évidente de la raison ». => Grâce à la raison, on peut distinguer le vrai du faux. Elle juge la vérité des propositions. L23-24 : « La raison de cela, c’est que nous sommes plus homme que chrétien » => La raison est l’essence même de l’homme. En effet, nous sommes plus homme que chrétien. II/CONVAINCRE LE LECTEUR La stratégie de Diderot repose sur la volonté de convaincre le lecteur : Le texte est structuré est veille à produire une argumentation la plus rigoureuse

que nos neveux, devenant plus instruits, deviennent en même temps plus vertueux et plus heureux, et que nous ne mourions pas sans avoir bien mérité du genre humain. Denis Diderot, Encyclopédie, article « Encyclopédie », 1751 2. Le philosophe, un homme d’action Les autres hommes sont déterminés à agir sans sentir, ni connaître les causes qui les font mouvoir, sans même songer qu’il y en ait. Le philosophe au contraire démêle les causes autant qu’il est en lui, et souvent même les prévient, et

Dans cet extrait, Les docteurs Rieux et Castel ont déjà identifier les symptômes de la peste. Ainsi dans cet extrait, camus évoque la réaction des personnages révélant plusieurs regards sur une situation historique et il propose au lecteur une réflexion sur la condition humaine. I/ La réaction des personnages révèle plusieurs regards sur une situation historique. D’une part, Camus livre une analyse de la réaction des personnages et évoque ainsi plusieurs regards sur les fléaux. En effet

montrant d’un autre œil le monde où nous vivons. * Diderot, né en 1713 à Langres, défendait la liberté de penser et l’échange des idées. C’est pourquoi, à travers ses œuvres il a toujours recours aux dialogues. Il libère en quelque sorte une réflexion sur lui-même. De plus, l’encyclopédie a lancé une grande polémique vis-à-vis de l’église. * François Marie Ayrault, dit Voltaire. né en 1694 à Paris se montre sensible à la douleur des hommes. Il apparaît d’ailleurs comme « le chef » des écrivains

sens. Le recueil est divisé symétriquement et symboliquement en deux parties entre : . « Autrefois » (1830-1843), = temps de la jeunesse et de l’insouciance ; et son pendant*, . « Aujourd’hui » (1843-1855), = temps de la vieillesse et de la réflexion sur la mort.  la mort de Léopoldine, qui occupe le centre de l’œuvre est donc irréversible (=qu’on ne peut plus changer), et la mort de l’auteur est elle irrémédiable (= qu’on ne peut empêcher) mais elle annonce les retrouvailles dans l’au-delà

vraiment singulière. Pourtant, deux oeuvres écrites à seulement deux années d'intervalle (1956 et 1958), le roman Le monde s'effondre de Chinua Achebe, et la pièce La visite de la vieille dame de Friedrich Dürrenmatt, ont une composition et des réflexions très semblables. D'un premier abord, les deux livres ne semblent pas si proches: le roman se passe en Afrique (au Nigeria) et raconte l'histoire d'un village aux traditions ancestrales qui vont être bousculées par l'arrivée des blancs imposant