Régime Totalitaires Mao

Etats (l’exemple de l’URSS). Le facteur démographique a été pendant longtemps un des critères essentiels de la puissance car il détermine la force des armées, car en fait «  il n’y a de richesse que d’hommes » ont affirmé le général De GAULLE et Mao TSE-TOUNG. Aujourd’hui ce facteur est diversement apprécié suivant les Etats. Les zones de haute et basse pression démographique ont été inversées. Dans les pays pauvres, le taux de croissance annuelle est souvent supérieure à la croissance économique

militaire. PARAGRAPHE I : Localisation et sources historique : Cette famille de droit est née en Grande-Bretagne à partir de la conquête Normande dans un contexte de féodalité forte. Elle a continué à se développer parallèlement à la naissance du régime parlementaire et dont la finalité était de limiter les pouvoirs du roi pour mieux garantir ceux des féodaux et des bourgeois. Par la suite ce droit a évolué de façon contingente au fil des évènements qu’à connu la Grande-Bretagne (Grande-Bretagne

les grandes questions de la vie restent posées sur le double plan de l'individu et de sa collectivité : individu exalté à l'Ouest capitaliste qui se cherche et tourne en rond, collectivité déifiée à l'Est qui se voit enferrée dans les forceps totalitaires. Où va le monde, bien sûr, mais surtout que devient-il, qu'a-t-il fait de ses principes vitaux, vers quelle nouvelle ligne de vie peut-il s'orienter ? Qui mieux que Jacques Grand'Maison, animateur et penseur social de grande valeur, pouvait

de prévision, d’impulsion, de décision, de coordination qui appartient très généralement à l’appareil dirigeant du pays : en principe l’Etat gouvernant. Cf auteur Bertrand de Jouvenel, observe l’aspect totalitaire du pouvoir. Connaitre les causes de l’obéissance c’est connaitre la nature du pouvoir. Cf auteur Julien Freund, écrit « L’essence du pouvoir politique »,

géographie de l’inspection générale) 2008- 2009 (version provisoire ) 8eduscol.education.fr/D0012 SOMMAIRE HISTOIRE (pp.1-29) I – Les mutations de la France depuis le milieu du XXe siècle A - Question obligatoire – La Ve République, un régime politique cinquantenaire p.1 B – Sujets d’études au choix Mai 1968 p.6 La télévision, des années 1956 à la fin des années 1980 p.8 II – L’Europe de 1940 à nos jours A – Question obligatoire – L’Europe : un espace en recomposition p.10 B -

classifications : les formes de pouvoir (=formes de gouvernement) Aristote : classification très générale, d'où la nécessite de « sous classements » (=régimes politiques). les régimes politiques Montesquieu. Ce qui différencie ces deux classifications : le droit. Aristote met en avant le partage du pouvoir. A l'inverse de la classification des régimes politiques, on s'interroge sur les règles de droit qui répartissent le pouvoir → la séparation des pouvoirs (Montesquieu). 1-La classification

faute de règles internationales. Le fait d'être membre des Nations Unies participent à cette reconnaissance mais cela ne suffit pas. Par exemple la question de Taïwan a fait débat entre 1949 et 1971, en effet le gouvernement de la Chine battu par Mao s'installe sur l'île et les Etats occidentaux ne reconnaissent pas la République Populaire de Chine. En 1970 ils se rapprochent de celle-ci et en 1971 le siège de l'ONU change entre les deux gouvernements et aujourd'hui seul 23 pays reconnaissent

changement de camp social des intellectuels d’avant-garde : de ceux qui passèrent de l’opposition modérée de la bourgeoisie libérale à l’opposition prolétarienne du mouvement ouvrier naissant pour ce qui est de la critique des structures attardées des régimes de l’Europe continentale. Certes, si l’on comprend le caractère de ce mouvement comme un moteur immanent de développement du capitalisme même, ce changement de position n’était pas aussi sensationnel et historiquement déterminant que l’hagiographie

des idéologies], 1960) et Seymour Martin Lipset (1922-2006) (L’homme et la politique, 1963), ou français, tels que Raymond Aron (1905-1983) (L’opium des intellectuels, 1955), vont proclamer la « fin des idéologies ». À leurs yeux, la défaite des régimes fascistes de l’Axe au profit des pays libéraux – Royaume-Uni, États-Unis et France en tête – et du bloc communiste – essentiellement l’URSS – devait signifier la mise au rancart définitive de ce que plusieurs perçoivent comme l’une des principales

la scène mondiale où le pays a longtemps joui d’un rayonnement qui n’avait rien à envier à l’Europe. Le régime communiste a certes restitué au pays une dignité perdue et, il a, au cours de ces trente premières années, jeté les bases de son industrialisation ; mais la Chine, totalitaire et isolée, était encore en 1978 un des pays les plus pauvres du monde. Depuis lors, les successeurs de Mao Zedong ont remisé les dogmes égalitaire et privilégié la modernisation de l’économie, s’inspirant pour ce