Régionalisme Et Multilatéralisme

Donc question du régionalisme commercial. 3.3 Le régionalisme commercial 1 – Précision de vocabulaire On va distinguer multilatéralisme et régionalisme. -Deux conceptions distinctes du multilatéralisme : universalité et coopératif. Le but final du multilatéralisme est une très large union éco et commerciale. Càd avoir un espace éco parfaitement intégré. Il peut être coopératif et dans ce cas là le multilatéralisme devient une méthode (GATT et OMC) -Deux régionalisme peut être : minimalisme

l’UE. Il s’agit dans un premier temps de définir cette intégration, puis dans un second temps nous nous intéresserons aux régionalismes et à l’union douanière. Qu’est-ce que l’intégration économique. Le terme d’intégration économique à était de plus en plus employé après la seconde guerre mondiale. On parle également d’intégration économique régionale ou encore de régionalisme économique. Il est nécessaire de distinguer ces concepts de l’intégration des économies qui souligne l’interdépendance

 DOSSIER n° 1 Les grandes étapes historiques de la construction européenne Mis à jour au 20 septembre 2013 Section 1 - La Construction européenne et les développements du régionalisme européen s'inscrivent dans la logique des blocs. (1945-1991) § 1- La guerre froide entre l'obsession sécuritaire et les premières querelles idéologiques sur l'unité européenne (1947-1955) A. L'obsession sécuritaire 1. Construction européenne et idéologie euro-atlantique a) une initiative américaine directement

des paiements * Quelques ratios à connaitre b. Internationalisation des échanges de biens et de services * Evolution quantitative * Géographique * Structurelle c. Régionalisme ou multilatéralisme ? * Développement des unions régionales * Régionalisation des échanges d. Evolution des courants d’échanges * Tripolarisation des échanges * De la DIT à la nouvelle DIT 2) Globalisation financière

prolifération de ces "nouveaux" accords obéissait peu à une logique de "blocs" ou de "forteresses" et que si les effets de détournement existent, ils sont généralement faibles. C'est moins les accords de préférence qui sont à l'origine de la crise du multilatéralisme que les difficultés de l'OMC qui expliquent leur prolifération quitte à les aggraver. D'un côté, cette évolution présente des dangers : elle redonne un rapport de force plus favorable aux grands pays industriels et marginalise certains pays

américain. Concrètement il s’agissait de se déconnecter du marché mondial en reproduisant, au niveau de la région, la stratégie d’industrialisation par substitution des importations. Un tel régionalisme auto-centré peut à l’évidence constituer un obstacle à la mondialisation. Aujourd’hui, le régionalisme est plus ouvert et n’est donc pas antagonique de la mondialisation. Il ne s’agit pas de renoncer à participer à cette dernière, bien au contraire, mais de créer les conditions favorables à

respecte pas toujours les grands principes d’organisation défendus par l’OMC. L’échec du sommet de Seattle en 1999 et celui de Cancun en septembre 2003 montrent bien les limites de l’avancée du multilatéralisme, notamment en matière de propriété industrielle et de services. - L’expansion du régionalisme, décelable à travers le développement des accords multilatéraux de libre-échange ou à travers les accords bilatéraux d’investissement, peut être considérée par certains comme une violation des règles

américain. Concrètement il s’agissait de se déconnecter du marché mondial en reproduisant, au niveau de la région, la stratégie d’industrialisation par substitution des importations. Un tel régionalisme auto-centré peut à l’évidence constituer un obstacle à la mondialisation. Aujourd’hui, le régionalisme est plus ouvert et n’est donc pas antagonique de la mondialisation. Il ne s’agit pas de renoncer à participer à cette dernière, bien au contraire, mais de créer les conditions favorables à

s’appuie sur : La non-discrimination : art 1 de la charte du GATT « tous les pays doivent se traiter avec égalité. Les avantages consentis à un pays doivent être étendus à tous les autres ». Des accords bilatéraux peuvent être compris : c’est le multilatéralisme. C’est la clause de la nation la plus favorisée : les meilleurs avantages consentis à son meilleur partenaire commercial doivent être étendus à l’ensemble des partenaires. Dans les ans 1849, ce principe était déjà présent. Le traitement national :

régionaux [ACR] globaux et les traités bilatéraux sur l'investissement [TBI] fleurissent. L'approche multilatérale associe plus que deux États et a au mieux une vocation universelle. Son échec ne remet pas forcément en cause l'aptitude juridique du multilatéralisme à régir les investissements, d'autres circonstances de nature politique y ont aussi contribué. L'investissement touche à la souveraineté économique des États en ce qu'il s'affranchit des frontières des économies nationales pour les imbriquer