Résistance Et Obéissance

l’Etat est reconnu comme seul autorité pour qui il est légitime de recourir à la violence. Weber distingue la puissance de la domination. « Nous entendons par domination la chance, pour des ordres spécifiques (ou pour tous les autres), de trouver obéissance de la part d’un groupe déterminé d’individus. Il ne s’agit de n’importe quelle chance d’exercer la puissance sur d’autres individus, parce que pour Weber, la domination peut reposer sur les motifs les plus divers de docilité… Tout véritable rapport

considérée » M. Weber. L’autorité tient au caractère exceptionnel de la personne, elle ne peut donc pas se transmettre. Le modèle traditionnel L’organisation fonctionne par obéissance des membres du fait des coutumes, des la tradition, des usages, on obéit au leader parce qu’il en a toujours été ainsi. Exemple : obéissance au roi. La logique d’action des individus est rationnelle en valeurs, leurs actions s’expliquent par leurs valeurs, il s’agit de faire comme on a toujours fait. L’autorité

Saturne au Lion nous marque l’origine d’un tel crime. Plaisante justice qu’une rivière borne ! Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au-delà » écrit Pascal. La relativité des mœurs et des conventions qui servaient aux anciens pour justifier une sage obéissance contredit à présent deux traits essentiels de la justice : son impartialité et sa stabilité (l’image de la balance). Or ce sont aussi les caractères de la Justice de Dieu. La justice humaine, elle, est donc partiale et arbitraire. Bien plus, elle

par des managers ◦ Moins dépendant d’une seule personne  Pouvoir: « Capacité à produire ou à modifier des résultats en fonction de ses objectifs et de ses besoins propres »  Domination: «La domination est la chance de trouver obéissance de la part d ’un groupe d’individus; tout véritable rapport de domination comporte un minimum de volonté d’obéir » Weber Notions différentes Pourquoi les modes de management traditionnels sont-ils remis en cause? En quoi les modes de management

politique 2. Le cas de la désobéissance civile. * A l’extrême on voit se développer des revendications de légitimité de la contestation. La désobéissance civile est théorisée par Henry David Thoreau en 1849. Elle est idéalisée comme une résistance passive opposée aux institutions par une conscience indignée « je crois que nous devrions être hommes d’abord et sujets ensuite. Il n’est pas souhaitable de cultiver le même respect pour la loi et pour le bien. La seule obligation qui m’incombe

démocratie classique est faite de deux éléments contradictoires: Le consentement à la participation au pouvoir du plus grand nombre de citoyens : Il permet une meilleure obéissance au pouvoir et donc l'assurance de l'ordre. La résistance au pouvoir : Les libertés de l'Homme ne peuvent exister que s'il existe une « résistance au pouvoir » (une loi adoptée au referendum n'est la forcement juste).

but de réduire les tensions sino-tibétaines, les Britanniques convoquèrent une conférence où les trois états se rencontrerent en 1913 à Simla. Le Tibet participait à cette conférence-là en tant que nation indépendante qui ne reconnaissait aucune obéissance envers la Chine. Mais la conférence échoua car elle la Chine ne signa pas cette convention donc cette conférence n’aboutit pas à la résolution du conflit entre la Chine et le Tibet , ce qui introduisit une incertitude sur la reconnaissance de la

l’organisation sont du ressort de la direction ; les connaissances, les normes et les outils du domaine sont du ressort de l’opérationnel (qualiticien ?) ; Garantir le suivi et la durabilité ; Surtout ne pas «succomber au désespoir » face aux résistances au changement ; Y aller doucement ; formaliser et capitaliser chaque étape ; vérifier l’adhésion active de l’équipe ; être réaliste VI – Amélioration continue ! Le droit à l’erreur ? Oui mais…(de la réactivité, exploiter l’erreur pour avancer

enseigne, qui transmet son savoir. L’élève lui s’imprègne de ce savoir, il apprend, il écoute et boit les paroles de son maître. La relation maître-esclave est différence. Le maître est celui qui est craint, à qui l’esclave doit obéissance. Même si un élève doit respect et obéissance à son maître, le but n’est pas qu’il ressente de la crainte. L’un est libre tandis que l’autre ne l’est pas. Le maître reste en revanche, toujours au dessus de l’élève/esclave. L’élève est supposé obéir, dans son but personnel

Pétain mais devant obéissance et collaboration à l’Allemagne nazie et dont la capitale est Vichy. Pétain commence alors une active politique de collaboration : -le 24 octobre 1940, il rencontre Hitler à Montoire et lui sert la main -Il applique rapidement la politique nazie dans sa zone libre : discrimination et persécution envers les Juifs puis arrestation et livraison de ceux-ci à l’Allemagne, livraison des richesses de la France au service de l’Allemagne, lutte contre la résistance… Le régime de