Résistance Et Obéissance

exclue toute liberté pour la population de ce peuple. Et c'est en s’opposant à ce régime, qu'ils peuvent retrouver une certaine liberté avec la création de lois. D'après une citation de Alain : « Résistance et obéissance, voilà les deux vertus du citoyen. Par l'obéissance il assure l'ordre; par la résistance il assure la liberté. » c'est donc résistant que les pays peuvent être libres. Selon une citation de Abe Kobo : « La liberté ne consiste pas seulement à suivre sa propre volonté, mais aussi parfois

patriotiques » contre l’hitlérisme, pour lutter contre ce dernier mais aussi pour légitimer l’importance du communisme après la guerre et préparer l’arrivée de l’Armée rouge. Les PECO ont été ensuite libérés soit par l’Armée Rouge, soit par une résistance communiste (Yougoslavie, Albanie). Les traités qui mettent fin à la guerre réorganisent l’Europe et fixent un calendrier d’évacuation des troupes d’occupation dans les 6 mois à venir d’où la nécessité d’une rapide prise de pouvoir par les communistes

la vie de plaisirs donc à un désir, sur une injonction verbale ? D’où vient la force de cette parole ? Première apparition de L’habitude L’habitude est ce qui annule la question du « pourquoi ? ». L’enfant obéit d’autant plus et mieux que cette obéissance paraît naturelle. D’où il suit une Opposition entre l’habitude et la mémoire. Celle-ci donne une présence au passé, elle le représente comme ayant été. A l’inverse, l’habitude efface les traces de sa constitution et se définit comme une capacité

Ces limites sont dans l'intérêt même de la liberté, pour éviter la tyrannie, les conflits et l'esclavage. Il faut donc obéir aux lois pour garantir notre liberté collective. D’après Alain : « Obéissance et désobéissance sont deux vertus du citoyen. Par l’obéissance il assure l’ordre ; par la résistance il assure la liberté. Il est clair que l’ordre et la liberté ne sont pas séparables, car le jeu des forces, c’est-à-dire la guerre privée à toute minute, n’enferme aucune liberté ; c’est une vie

Scène 2: Flavian, un soldat albain vient annoncer à Curiace qu' Albe l' a choisit ainsi que ses deux frères pour défendre la cause de Rome Devant Horace Scène 3: Desespoir de Curiace: il fera son devoir par dépit offrant bien moins de résistance aux voies interieures de l'amitié (qu'il a pour Horace) et de l'amour (pour la soeur d'Horace) qu'Horace. En effet Horace, quant à lui, fait preuve d'une intraitable fermeté et défendra dignement Rome sans laisser de place aux sentiments. Scène

positif, c’est l’ensemble de règle en vigueur, un moment donné, dans un pays donné. * Le droit naturel, c’est un droit idéal, de sens supérieur qui s’imposerait à l’autorité publique, lorsqu’elle édicte des règles de droit positives. Il permet la résistance à la loi injuste. Paragraphe1 : les 1er conceptions du droit naturel L’idée de droit naturel est une idée ancienne qui n’a pas cessé d’évoluer depuis l’antiquité. Elle s’inspire de principe supérieurs qui sont d’origines, diverses. A- Le

enfants d'Adam, pour voir si je pourrai découvrir ce que je cherche. Quelle est donc la cause de cet effet si prodigieux et si étrange? Mon esprit commande à mon corps, et il trouve dans le corps une prompte obéissance. Mon esprit commande à soi-même, et il trouve en soi-même une forte résistance. Mon esprit commande à ma main de se mouvoir, et elle obéit avec tant de facilité et de promptitude, qu'à-peine peut-on distinguer le commandement d'avec l'exécution. L'esprit est néanmoins un esprit, et la

qu’Etéocle, son frère également, repose en paix dans sa tombe. Il est intéressant de remarquer que dans la réécriture du mythe de Sophocle par Jean Anouilh, Antigone se pose en allégorie de la résistance. A travers elle, le dramaturge s’adresse à la France, sous le joug nazi, pour que la flamme de la résistance ne s’éteigne pas. Légitime pour certains, la désobéissance n’en reste pas moins illégale. Ceux qui font le choix de désobéir le font à visage découvert, ce qui est bien différent des actes

fait émerger l’homme. En tant qu’inséparable de la condition humaine, il est possible de pousser un peu plus loin Jonas et de confondre humanité et ambivalence. « La vérité toute simple, ni exaltante ni accablante, mais qui réclame toutefois une obéissance respectueuse, est que « l’homme authentique » existe depuis toujours – avec ses hauts et ses bas, sa grandeur et sa misère, son bonheur et ses tourments, sa justification et sa culpabilité – bref, dans toute son ambivalence qui est inséparable de

l’impôt impérial qu’elles refusent. Pour vaincre leur résistance, l’empereur emploie la violence : en 1162, Milan est détruite et ses habitants dispersés. Ceci provoque l’alliance de certaines villes qui forment la ligue des cités lombardes, soutenue par Alexandre III. Frédéric Barberousse fait élire un nouvel antipape à chaque fois que le précédent disparait. À partir de la diète de Wurtzbourg de 1165, tous les évêques du Saint Empire doivent obéissance à l’antipape. Alexandre III excommunie l’empereur[8]